Endless Love

Chapitre 12

- La chambre de Antoine Griezmann, s'il vous plaît

- Vous êtes de la famille ?

-Je suis sa copine.

-  Chambre 112

Je me précipitai vers celle-ci avec le médecin à mes côtés.

- Mr Griezmann, votre copine est là. dit-il

je souriais intérieurement.

il sortit, nous laissant seuls.

- Ma copine ? dit-il en souriant de toutes ses dents

- Je devais trouver quelque chose de convainquant, ça va toi ? lui demandais-je

- J'ai un peu mal à la tête.. mais ça peut aller, tu dois pas travailler?

- Si, mais je voulais te voir d'abord.. dis-je en souriant

-T'es trop mignonne bébé.

-Bon..euh.. je dois y aller, contente que tu ailles bien. dis-je en rougissant

- À plus ma belle ! on se voit ce soir.

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J'étais super contente de voir que Antoine allait bien, maintenant il faut que j'ai la force de lui dire que je veux être avec lui.

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Ellipse jusqu'à ce soir

Antoine était revenu, tout le monde était content, j'attendais le bon moment pour lui parler.

- Tu va lui dire ? me demanda-Paul

- Comment tu sais ça déjà toi ?

-Olivier m'en a parlé Ahah

-Le traitre...

Antoine, est sortit prendre l'air, je pense que c'est le bon moment...

-Hey.. dis-je timidement

-Approche, tu veux me parler ?

-Ouais...

- Je t'écoute.

Pdv Antoine

Cette fille me rend fou, quand je la vois j'ai envie de l'embrasser..

Mais elle m'a clairement fait comprendre qu'elle voulait attendre..

- Je t'écoute.  lui dis-je

- Antoine.. je.. je crois que je suis amoureuse de toi..

Elle est tellement mignonne..

-quand t'étais à l'hôpital.. j'ai pris conscience que je tenais vraiment à toi .. et .. je veux être avec toi. dit-elle en souriant

- Je ne fais qu'attendre ça bébé.

Je l'embrassai langoureusement.

-Mais par contre on devra garder ça secret...le temps de la coupe du monde..avec la FIFA et tout..

-Oui, t'inquiète, je comprend, on rentre ?

- je te suis.

-Homme soumis. dit-elle en rigolant

- T'a trop vite pris la confiance toi !

- Ahah.

Je m'arrêta, me tourna vers elle, pris son visage entre mes mains, là regardai dans les yeux, et lui dit :

- Je t'aime Yoëla Giroud.

Elle avait les larmes aux yeux, je l'a pris dans mes bras, et on marchait comme ça.

- Je t'aime aussi, Antoine, tellement.

- Je sais. dis-je en la taquinant

- Oh prend pas la grosse tête, quand même !

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On retourna, à l'intérieur, en faisant semblant de n'être que des amis, ça me fait vraiment marrer..