Chapitre 11

3 0 1
                                    

15 ans plus tard,


J'étais partie vivre à Paris une fois que mon père s'était en aller, les souvenirs sont parfois durs à supporter. Il est plus facile de commencer ailleurs que de recommencer au même endroit, ne croyez-vous pas ? J'avais commencé des études de médecine et j'étais et je le suis toujours autant passionnée par la médecine, l'anatomie, s'en est magique. J'avais finir par devenir médecin car ce métier est un des plus beau et des plus complexe, et qui vous donne la chance de pouvoir sauver des vies, ou le privilège d'essayer. Laure était revenue me rejoindre au bout de un an, car je lui manquais terriblement, en tout cas c'est ce qu'elle m'avait dit en rigolant, comme gêner presque. Elle me manquait aussi, il est vrai. Jacques, avait fait des études dans le monde de la finance, et cela ne nous avaient pas surpris, Laure et moi. Les chiffres sont pour lui sa première passion, enfin si l'on ne compte pas la chasse. Laure, avait décidé de devenir institutrice, car elle ne voyait pas plus beau métier que de pouvoir donner à des enfants des connaissances mais surtout une raison de sourire ; et Laure avait finalement réussi son pari, faire sourires les autres. Depuis que j'avais connus Laure, nous nous n'étions jamais séparer, et aujourd'hui nous sommes mariés. J'y avais invité Jack et Anita, qui était devenus eux aussi inséparable. Ma mère y était aussi, je m'en rappel, je ne l'avais jamais vu autant heureuse que ce jour-là, j'étais fière qu'elle soit ma mère. Rowan aussi était venus, je ne l'avais pas reconnus au départ tellement il avait grandi, changé, et son ballon dégonfler maintenant tenais dans les bras de son fils. Jacques était devenue mon meilleur ami, mais je crois que finalement il l'a toujours été, et qu'il sera toujours ; il est devenue le frère que je n'ai jamais eu. Joyce avait fait le déplacement, elle aussi depuis Boston qu'elle n'avait d'ailleurs pas quitté. J'avais mis du temps au départ à la connaître, à la comprendre puis aujourd'hui je l'aimais comme si elle avait toujours été là, présente, et finalement irremplaçable.

L'endroit où j'ai écrit ce journal, ce texte que vous lisez, je l'ai écrit à mon endroit magique qui l'est toujours, ces arbres sont devenus plus âgés, robuste avec le temps mais leur branches toujours dansante sur le vent, la mer elle aussi n'a pas changé. Les sensations que j'y ai, je peux les sentir, les vivres depuis que je suis tout petit et je les ai encore aujourd'hui alors que j'approche bientôt la quarantaine, imaginez. J'y emmène parfois mes deux enfants, Cécilia, et James, puis l'on fait des piques niques au soleil couchant à cet endroit qui m'a changé la vie lorsque nous venons pendant les vacances. Avec Laure, qui est devenue ma femme, nous leur apprenons les constellations dans ces étoiles lumineuse et indiquant des croyances millénaires. J'ai appris à construire une famille, ma famille, comme je le rêvais. Je donne l'amour à mes enfants, comme j'aurais aimé moi-même le recevoir lorsque je l'étais et à Laure, ma moitié, ma meilleure amie, ma femme si extraordinaire, je l'aime et je lui le montre chaque jours, et je le ferai toute ma vie. J'aimerais ma famille que j'ai construite toute ma vie, jusqu'à que le temps s'arrête pour moi. Ma vie, n'est pas incroyable, mais ce sont les choses que j'ai faites, et surtout mes rêves qui font qu'elle l'est devenue, en tout cas pour moi. J'ai appris à aimer ma mère comme si il elle avait été parfaite, car au fond d'elle, au fond de son cœur il y a une femme extraordinaire, qui est juste magnifique, et peu de mot suffirait à décrire ce qu'elle peut représenter. Mon père, était une personne lui aussi remarquable, car il avait tout fait pour que je sois le plus heureux possible alors qu'il ne l'était pas lui-même. Mes parents sont seulement deux personnes, qui remplisse les sept milliard d'individu, mais qui comble mon monde comme ces sept milliard d'individu qui comble notre monde à tous. Laure et mes enfants, mon appris énormément de chose, mon meilleur ami aussi et mes amis, car sans eux je ne serais pas la personne que je suis. C'est grâce à eux, à toutes les personnes que j'ai pu connaître, aimer, ou parfois même détester, que je suis devenue, moi. La vie est unique, belle et follement incroyable. Il faut faire ce qui nous rend heureux, il faut croire en quelque chose qui nous rend vivant. Ce monde a besoin de personne vivantes qui réalise ce qu'ils veulent, pour devenir eux même. Ne perdons pas notre temps avec de la colère, de la méprise ou encore même de la tristesse mais remplissons la avec de l'amour, partageons ce que nous pouvons et aimons de tout notre cœur, pour le remplir de milliers de petit moments de bonheur aux personnes qui sont présente à notre monde. Soyons émerveiller par l'impensable, par la simplicité et par nous-même. Apprenons à nous émerveiller. Il faut du temps à le faire, à le comprendre mais parfois nous avons besoin d'aide pour l'apercevoir, pour voir que tout est possible, qu'il faut croire en nous, en ce que nous sommes, et en ce que nous serons. Une dame, que j'ai connus plus tard m'a permis de l'entrevoir et j'ai pu le réaliser en partie grâce à cette remarquable persone. Je repense parfois à ma vision du bonheur lorsque j'étais encore qu'un enfant, et ce même à dix-huit ans, mais finalement il y avait du faux, et il y avait du vrai. Etre heureux dépend de nous, et uniquement de nous-même, même si je le suis aussi grâce à Laure et à mes enfants, en partie. Réaliser mes rêves a été mon moteur, mon salut, mon sauveur, et l'est toujours aujourd'hui. Ne cessez jamais d'avoir des rêves, car ce sont d'incroyables ressources qui ne demandent qu'à émerger, apparaître au grand jour, à notre propre lumière. J'ai pu accomplir ce que je voulais devenir, ce que je voulais accomplir. Essayer de faire le bien autour de nous et rendons le meilleur si nous le pouvons. Avant de rencontrer Laure, il y avait des questions que je n'aurais jamais su répondre. Savez-vous qui vous êtes ? Savez-vous où vous aller ? Et savez-vous avec qui ? Aujourd'hui je sais où je vais, je vais vers ma vie, et surtout je sais avec qui. J'y vais avec ma femme aussi belle de l'extérieur que de l'intérieur, avec mes enfants qui représentent tant pour moi, une sorte d'accomplissement et aussi mes amis, à qui je dois énormément. Ces personnes, vous, vous en êtes la plus belle réussite que l'on peut espérer, et ce pour toujours.

Antoine Thyssen


Living MemoryOù les histoires vivent. Découvrez maintenant