La lumière du soleil réchauffant la ville endormie me réveilla, un peu de bonne heure, mais la vue que j'avais était splendide, le ciel rosé se levant sur la Tamise, et Laure qui dormait paisiblement, tout près de moi que je pouvais en sentir sa respiration calme. Je la regardais dormir, et c'était la deuxième fois que je la voyais ainsi, comme fragile et que je me devais de la protégé, comme une fleur d'hibiscus, prenant soins d'elle chaque jour. Je lui caressais la joue du revers de ma main, et ses yeux, clignèrent, paisiblement puis s'ouvrirent, laissant rentrer la lumières se refléter sur son iris d'un bleu océan. Elle me regardait et souriait, je lui souriais aussi puis l'embrassa sur sa joue rosée et légèrement froide. Quelque temps plus tard, nous décidions d'aller prendre le petit déjeuner dans une salle situé au deuxième étage ; car le valet de la vielle attendant que l'heure tourne en regardant les taxis noirs défilé devant la devanture nous avait bien signalé que tous les déjeuners, dîners ou petit déjeuner ce faisait dans le restaurent de l'hôtel, donc pas dans les chambres avait-il rajouté sur un regard qui se voulait sévère. La salle pour le petit-déjeuner était vide à ce moment, car il était un peu moins de sept heures lorsque j'avais regardé sur la pendule accroché au mur du couloir. Il y avait un buffet avec plein de choses, du pain, des croissants, du lard frit, des baked beans, c'était des haricots blanc cuit dans une sauce tomate, des saucisses grillée et même des bubble and squeak ; Laure m'expliqua que ce plat était composé de reste de légumes frits avec un rôtis. Cela me surpris ce que les Anglais pouvait bien manger le matin, mais j'avais décidé de manger typique alors c'est ce que nous avions fait avec Laure. Au fil du repas, les gens arrivaient, certain accompagnées, d'autres ne l'était pas et c'en était la plupart ainsi. Je n'avais jamais mangé de chose salé au petit-déjeuner, car mon père préparait souvent des croissants et parfois j'arrivais dans la cuisine où moment juste de la sortie du four et cela sentait bon et ils étaient chaud. Cela me manquait en repensant à tout cela, à mon père qui maintenant devait sûrement s'inquiéter ou être en colère contre moi d'être partie ainsi, un peu comme ma mère l'avait fait finalement, du jour au lendemain, comme un oiseau chassé subitement par une cartouche d'un fusil, suspendant son vol. Je regardais Laure qui était là, en face de moi, occuper à manger son plat, ne s'occupant de rien d'autre, en pensant probablement à rien. Ce que j'aimais chez Laure, et ce que je crois ça a été la première chose que j'ai pu aimer, c'est sa nature confiante, sa douceur naturelle, et sa façon de vivre sa vie comme elle l'entend, sans doute ni peur. Nous finissions nos plats, en regardant le buffet ce vidé à mesure que les clients rentraient. Nous avions pris la chambre seulement pour une nuit, et nous avions jusqu'à onze heure pour avoir le droit de l'occuper. Pendant que j'étais dans l'ascenseur gravissant les étages, et écoutant le bruit métallique sur les câbles tendus tel une corde à un arc prêt à lâcher la flèche, je pensais à ce que j'allais faire après, je veux dire quelle était mon plan maintenant ? Je ne savais pas, mais la vie étant plutôt bien faite et le destin souvent au rendez-vous avec un timing presque parfait, j'allais le savoir très vite. Laure me devança à la sortie de l'ascenseur, avant de laisser passer un couple âgé, cherchant probablement à occuper leur journée avec des musées et des souvenirs pour avoir de quoi raconter à leur retour de vacances. Nous rentrons dans notre chambre qui ne l'étais que pour quelques heures encore, et j'aperçu sur le bureau situé en face du lit revêtue d'une couverture grise et soyeuse, un petite papier pliée en trois ; une sorte de lettre. Je demandais à Laure si elle savait ce que c'était et m'avait regardé de ses yeux interrogateur comprenant que je ne savais pas non plus qui avait mis cette lettre. Je m'approchais, Laure s'approchait elle aussi, et ma main attrapa le papier du bout de mes doigts, et déplia fébrilement le morceau de papier. Une seule phrase, écrite au stylo noir, probablement avec un stylo plume, devinant les traits d'écriture et les belles lettres couchées sur ce papier. Laure, regardait par-dessus mon épaule et je pus lire « rendez-vous au SIS Building, au tout a commencé », elle était signé de Jack. Quesque pouvait être ce bâtiment, je regardais la lettre et regardait Laure qui se tenait dorénavant en face de moi. Elle me disait que c'était le siège des services secrets britannique, elle rajoutait que son oncle, celui travaillant dans la mode, rappelez-vous, était anglais et lui en avait parlé une fois au cours de leurs moments familiaux, pour Noël je crois. Nous avions maintenant un plan, un endroit où aller, peut-être pour encore être perdue à nouveau mais tout n'étais pas terminé, mon espoir, recommençait à naître, tel un phœnix renaissant de ces cendres. Jack, qui la dernière fois que l'on avait, Laure et moi était en France, cela voulait dire qu'il était rentré à Londres car j'imaginais que c'était lui qui avait cette mit cette note dans cette chambre d'hôtel. Je venais de penser comment pouvait-il savoir que nous étions là, personne ne le savait hormis nous-même. Nous décidions de partir, je rangeai mes quelques affaires que j'avais sorties et Laure aussi, puis je regardais une dernière fois la vue de Tate Britain, les souvenirs de cette nuit aussi incroyable qu'inoubliable. La porte claqua, nous remettions les clefs au valet qui n'était pas le même que la vielle ; il devait faire sûrement des roulements, comme des gardes. Etre dehors me faisait du bien, j'avais l'impression de mieux respirer, comme si à l'intérieur il n'y avait pas assez d'air. Dehors j'avais cette sensation que mon esprit étriqué pouvait se libéré, qu'il pouvait aller où il voulait, sans limite. Curieusement, notre hôtel où nous avions passé la nuit était près du MI6, plus précisément, nous devions longer la Tamise pendant au moins dix minutes puis nous étions arrivé, nous étions là. Cet immense immeuble imposant, avec deux sortes de colonne comme faisant face à un quelconque adversaire et de couleur verte foncé puis ces fenêtres carrées, terrifiantes et angoissantes étaient là, elles aussi. C'était ici que tout avait commencé avec dit Jack, alors je m'approchais de la grille parfaitement noir, prêt à un nouvel affront avec ma vie. Laure était là aussi à contempler cette immense structure, et nous étions tellement petit, tellement fragile à côté de tout ceci. Un bruit sec se fit entendre puis un grésillement qui je crois sortait du petit interphone situé sur le coin du portail se fit entendre, disons que nous pouvions rentrer. Les portes s'ouvrirent et permettait de voir un espace vert, avec des bancs, une fontaine même qu'on ne pouvait distinguer de l'extérieur à cause des barrières protégeant ce lieu des secrets extérieurs. Une femme nous attendait en haut des marches qu'il fallait gravir pour atteindre la porte principale. Elle était habillé d'un tailleur noir et semblait intimidante, elle avait des lunettes elle aussi noirs et ronde. Elle ne parlait pas, sauf pour nous dire de la suivre à travers l'immensité du lieu. L'entrée était grande, avec des grands carrelages sur les murs, des lumières ternes et éclairant tout ceci de leur couleurs blanches tel une lumière artificielle sortant d'un puit sans fond traversé par des couloirs obscures. Des hommes, en costume faisait place, droit, et certain possédait même une arme attaché à leur ceinture ou mis en bandoulière. Cela m'impressionnait, et Laure avait l'air aussi subjugué que moi par cet endroit qui ne paraissait pas autant stricte de l'extérieur ; je suis sûr que Jacques aurait aimé être à notre place glissai-je à Laure discrètement ; il adorait les films d'actions, les espionnages en tout genre et par-dessus tous les armes. Nous arrivions dans un petit couloir, où la dame qui nous accompagnait avait dû taper un code pour pouvoir passe la porte. Nous entrâmes dans une pièce, différente de celle des autres, elle était en boiserie fine, peut-être du merisier pensai-je ou un autre bois de ce type. Une table, ronde, avec des sièges en cuir et confortable, différentes boissons trônaient ainsi devant nous une fois que nous étions assis, Laure et moi. Pendant quelque instant nous étions restés seul, et je regardais cette pièce lumineuse, dont un lampadaire verte en éclairait la grandeur. Avant que je puisse dire quoique ce soit à Laure, un homme fit interruption dans la pièce, en costume, puis Jack entra, en disant à cet inconnu bien vêtu de quitter la pièce en nous laissant tous les trois, pour une deuxième fois en peu de temps. Jack s'installa en face de nous, la chaise grimaça sous son poids car il s'était laisser tomber dessus comme un rocher tombant d'une falaise faisant un bruit sourd résonnant au creux des collines. Il nous regarda de son regard, comme il l'avait fait la première fois ; je lui disais que nous avions vu Anita la vielle, et que cela ne s'était pas très bien terminer lui dis-je hésitant comme confessant une erreur irréparable. Il savait tout cela me dit-il, à croire il nous faisait suivre depuis que nous étions partis, s'en étant à la fois effrayant et stupéfiant. Il nous regardait maintenant d'un regard calme et compréhensif, je remarquais qu'il avait une tasse de café dans sa main, avec une inscription écrite en gros disant « hey » avec deux points d'exclamations ; je pensais que ce muge à café n'allait pas du tout avec sa personnalité et s'en était plutôt drôle. Il posa la tasse, et mis ses mains jointe sur le set en cuir disposé sur la table, et commença à nous dire, que nous ne devions pas perdre espoir de devoir retrouver ma mère, car personne ne savait ici pourquoi elle était partie mais la réponse la plus évidente était que le conflit en Afrique du Sud avait été délaissé, ma mère était sûrement repartis pour finir ce qui lui tenait le plus cœur ; en disant cette phrase Jack eu une mimique presque d'horreur. Car, y retourner y signifiait peut-être une guerre civile. Je lui demandai comment tout ceci était arrivé, je veux dire depuis le début, je voulais entendre le premier mot de cette histoire, un penchant de vérité et non pas des parties de l'histoire insignifiante. Jack commença à nous raconter « tout a commencé en 1652 avec les colons néerlandais qui on eut l'idée de séparer les populations en fonction de leur origines, de leur « races ». Puis les colonies britanniques sont venues et ont fait la même horreur. En 1948, le parti national de l'Afrique du Sud a mis en place ce qu'on appelle l'Apartheid, c'est-à-dire une différence légale entre les blancs et les noirs. Ce que voulait le MI6 était réparer son erreurs et mettre fin à tout ceci et à des siècles de séparation. Mais certaines population ne voulait pas de l'égalité et préféraient garder leur statut. Nous, le MI6, avions décidé de les arrêter mais en contrepartie cela à déclencher des massacres des populations noirs et surtout des enfants. La seule condition pour que cette abomination ne cesse, c'était de partir, alors au départ certaines personnes chargé du programme de la mission son rentré en Angleterre, puis ce fut le cas d'Anita, de moi puis finalement de ta mère. Elle ne la jamais accepter et c'est pourquoi une fois revenue, elle est partie en France refaire sa vie avec l'homme qu'elle avait rencontré au Cap, puis nous n'avions plus jamais eu de nouvelle jusqu'à deux mois, comme Anita te l'as dit. Je le regardais, j'avais écouté, j'avais essayé de comprendre, et maintenant que fallait-il faire lui demandais-je. Jack, baissa les yeux sur sa tasse de café, puis disait avec une voix grave faisant résonner les murs alentours, que nous devions y retourner, et mettre fin pour de bon à cette vision d'horreur des plus bas humains. Je voyais Laure à côté de moi qui commençait à douter un peu mais je lui pris la main pour la rassurer. Cela voulait dire que ma seule chance de retrouver ma mère était de partir en Afrique, qui était le plan de départ mais en même temps de mettre un terme une abomination. Je demandais à Jack, qui buvait son café comme s'il venait d'annoncer la météo prévue pour les jours à venir et j'en comprenais mieux le choix du muge ; comment nous allions faire, je veux dire ils n'avaient pas réussi avant alors pourquoi allaient-ils réussir maintenant. Jack nous dit qu'il valait mieux parfois se mettre en retrait pour mieux réattaquer par la suite, un peu comme un lance-pierre, la corde tendue vers l'arrière permet d'en augmenter la vitesse et la puissance. Cependant, ce lance-pierre que nous étions était plutôt l'espoir de la dernière chance, le dernier caillou lancé, le dernier ricoché sur une eau limpide avant de sombrer dans la profondeur. Il était décidé que nous partirions dans la nuit en avion, le soir même car d'après Jack, il était urgent d'en arrêter les rouages rouillées et rongées par le sang d'innocents. Après tout ceci, j'avais décidé de sortir de ce bâtiment avec Laure, et nous avions décidé de penser à autre chose, à ce qui nous attendait là-bas, quelque part ailleurs qu'ici. A la sortie, le vent s'était levé, le temps s'en était un peu refroidi, comme en présumant l'avenir. Les cheveux blonds de Laure s'envolaient sur son cou, virevoltant, en douceur, puis retombant, tel les ailes d'un papillon venue d'éclore laissant ses somptueuses couleurs en battre leur beauté. Le ciel s'était lui aussi un peu assombris, les nuages envahissaient l'immensité du haut. La Tamise que nous traversions par le pont Vauxhall Bridge, était elle aussi devenue un peu agité, comme tremblotante, frémissante à cette idée de notre destin funeste. C'était la deuxième fois que j'avais, je crois peur de là où j'allais, peur de découvrir, peur de faire face mais je me disais que nous n'avions pas le choix et qu'avant tout c'était pour le bien de milliers d'enfants. Je venais de me rendre compte que j'allais me battre pour ce quoi ma mère s'était tant battue, pour un pays que je ne connaissais même pas, pour une vie que je n'avais même pas. J'allais là-bas pour un espoir, tout simplement. Avec Laure nous arrivions vers un remblai, une sorte d'avancée sur l'eau, enjambant la marée et nous restions là, à contempler la vue, les quelques bateaux qui naviguait avec calme et cela me rappela la discussion avec Laure, lorsque nous étions à mon endroit favoris, où un voilier avait fait face. Je me rappel du calme intérieur lorsqu'elle m'avait raconté ses balades en mer avec son père, je l'avais imaginé sur le bateau et je la voyais sourire et heureuse. Au moment où elle m'avait dit que son père ne voulait plus naviguer, je m'étais senti triste pour elle, car elle adorait ça. Je lui demandais si elle s'en souvenait et elle n'avait pas répondu, elle avait juste hoché la tête signifiant un oui. Elle m'avait dit que cela lui manquait, car c'était un moment simple, mais c'était un moment rien que elle et son père puis il avait appris que un de ses amis avait eu un accident en mer et qu'il n'avait pas été survécu attend, malheureusement ; c'était pour cela qu'ils avaient cessé d'y aller. Elle souriait, de ce sourire qui signifie l'insignifiant, des choses que l'on ne peut prévoir, qui sont hors de notre contrôle. Il est vrai, beaucoup de chose sont parfois hors de notre porté, que nous ne pouvons contrôler, mais le mieux à faire comme j'avais dit à Laure est d'essayer de faire le mieux pour nous même et d'en accepter les choses ainsi, comme de ramasser une fleur toute juste éclose et aussitôt fanée, de la prendre tel qu'elle est. Parfois il est nécessaire de ne pas chercher à comprendre, certaines choses dans la vie arrive pour une raison que personne ne peux expliquer, tel que les rencontres que nous pouvons faire. Je n'aurais jamais osé parler Laure s'il n'y avait pas eu Jacques, si j'avais été attentif en classe, si je n'avais pas. Si je n'avais pas fait tout ça, je serais passé côté de la plus belle de mes rencontres, Laure. Mais parfois les moments ou bien les personnes que nous vivons ou rencontrons ne sont pas les plus inoubliables. La vie est parfois curieuse, nos idées que nous nous la faisons ne coïncide presque jamais à son évolution, et parfois il en est difficile d'en voir l'utilité, d'en voir quelque chose de plus beau que nous laissons ainsi. Avec le temps j'ai appris à concevoir que peu importe les efforts que nous y mettions, il est compliqué de garder pour acquis une personne, une chose qui nous importe. On n'aime des personnes qui peuvent ne pas nous aimer, nous pouvons être aimé et ne pas aimer en retour. Il est je pense rare de trouver une personne qui nous est destiné, mais existe-t-elle en réalité ou bien est une pensée illusoire car ne pas être aimé par la personne que l'on aime fait mal. On se rabat sur l'avenir, sur des espoirs, des rêves qui nous maintienne à la raison car il nécessaire de souhaiter le bonheur à toute personne même si nous n'y faisons pas partie. Finalement c'est une question de timing, être au bon endroit au bon moment, comme laisser guider par la magie alentours émergeant de nulle part autre que l'Univers. Nous aimerons plusieurs personnes au cours de notre vie, nous serions peut-être aimés par plusieurs personnes mais une seule personne restera dans notre cœur, c'est celle qui y aura laissé son empreinte, mais cela nous ne pouvons le savoir. Le principal avant tout est d'être prêt à aimer, prêt à le vivre, comme un chemin parcourue à l'ombre des bois, marchand sur la mousse humide et la terre parfois boueuse pour arriver à une prairie caché qui se laisse apparaître seulement après tout ce chemin parcourue, comme une apogée transcendante. La vie est ainsi, parfois difficile il est vrai mais les personnes que nous rencontrons nous permette de la voir sous un autre angle, en changeant le point de vue, ils nous permettent d'avancer. Il est important d'apprendre à être heureux seul, c'est à la base de tout, car cela veut dire que nous serions que plus heureux accompagné, comme un loup solitaire cherchant du réconfort, au coin de la pleine lune, sur une falaise sonnant à pic. La vie est toutefois belle, magique et incroyable, les moments de bonheur en emplisse notre cœur, lui permettant de battre à son rythme. Laure me permettait de faire battre mon cœur à son propre rythme, lui permettant de battre qu'importe les moments que je pouvais traverser, qu'ils soient bien heureux ou parfois durs. Je l'aimais vraiment, chaque petit détail je pouvais le voir graver dans ma mémoire, me rappeler ses mimiques, son rire, son sourire ; elle faisait partie intégrante de ma vie, de moi. Elle était moi ; enfin pas au sens propre, mais je la voyais comme cela, une âme tombé de nulle part sauf du plus improbable endroit. La vie a un sens et il est nécessaire d'être patient pour en voir toutes les subtilités, attendre la bonne personne, et avec Laure le timing avait été parfait, comme la plus belle perfection en a été du moment le plus imparfait.
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Living Memory
RomanceIl se redressa de son dos courbé, me regarda de ses yeux brillants, et me souris, enfin ce n'était pas le grand sourire où l'on distingue toute les dents et qui remonte à la moitié du visage, mais juste le sourire qui signifie merci. Il se raclait l...