Chapitre 9: Kenei
Base:Point Réserve:601 Jours de captivité: 1 mois et quelques jours
Lorsque ces hommes sont entrés dans la pièce, ils m'ont attrapé si vite que je n'eu pas le temps de réagir. En faite ce du être le choc de ce que j'avais découvert sur une petite feuille gribouillée de rouge qui m'a le plus choqué. Ils m'ont attrapé et m'ont ligoté si vite qu'en quelques secondes je me retrouvais des menottes dans le dos et sur les chevilles!
Un homme aux gros bras s'avance vers moi, étendu sur le sol après que les autres m'ont lâché. Je me met en boule malgré mes mains attachées dans le dos. Il va me frapper? Me tirer dessus? Mais non, il m'attrape par les pieds et me traîne hors de la pièce. En me faisant traîner, je laisse une longue traînée de sang derrière moi et certains ont peine à cacher leur dégoût. Je remarqua qu'un seul homme est resté dans la pièce, le regard assombrit après que celui qui ressemble au chef lui ait parlé. Je ne pu distinguer l'ordre à cause du bruit que fait mon corps mou sur le sol mais j'entendis plus tard des coups de feu. À ce moment là, je relève la tête, intrigué mais si au fond je sais ce qui vient de se passer. La dernière chose que je vis fut une botte frapper le côté de ma tête.
...
Le son d'un moteur.
Des voix basses, d'humain.
Une faim grandissante.
Leur odeur appétissante et leurs gestes attirants.
Je bouge pour m'approcher, comme un fauve maladroit et sa proie énorme en criant des cris dont je me connais pas la raison.
Un nouveau coup de botte...
...
J'ouvre les yeux si vivement que le soleil me donna mal à la tête. Que s'est-il passé pour que je me retrouve ici? Il y a de ça un moment, j'étais dans la base où on venait de m'enlever... Le coeur.
Je porte une main à mon torse, j'essai plutôt. Mes mains sont attachées à des barreaux! Je tourne la tête, étonné. Je suis dans une sorte de cage un peut plus basse qu'un homme adulte, déposée sur le sol. Autour de moi se trouve un camp de grandes cabanes beiges faites de toiles pour empêcher l'eau de pénétrer. C'est à cette réflexion que je remarque la pluie qui martèle le barreaux de haut de ma "cage". Des humains courent un peut partout pour serrer des choses dans divers abris en criant des ordres aux plus jeunes. Les arbres qui nous entourent ont des teintes orangées et jaunes. On est en octobre! Déjà? Mais oui, des feuilles recouvrent le sol et l'air plus froid refroidit mon corps dont celui qui le dirige ne s'en occupe pas. J'inspire profondément mais je n'y arrive pas. Ça ne fonctionne pas. L'air rentre mais je n'y voit pas l'intérêt de respirer si je ne le sent pas nécessaire. Tout à coup, un homme arrive devant moi. Je le dévisage de mes yeux gris et il me renvoi le regard avant de s'accroupir sous son parapluie noir. Il ressemble au chef de la petite troupe qui est venue me chercher. Jusque là assis les mains dans le dos, je me redresse pour avoir le dos droit et le fixe. Il essaye de me provoquer? Ses yeux bleus entourés de cernes portent leur regard scrutateur sur mon seul vêtement (mon jean sale et déchiré) et puis sur mon visage et mon torse dont le trou est recouvert d'un bandage autrefois blanc.
-Oh Keji! Je suis si heureux de te revoir après tout ce temps! Il s'exclame en montrant ses dents blanches.
J'ouvre les yeux, surpris. Comment connaît-il mon nom? Ce n'est pas commun en plus! Je plisse les yeux et essaye de m'approcher pour mieux l'observer, sans grand succès. Il fait une mine déçue devant mon interrogation.
-Jacques Blackthorne, ton oncle!
-Ja...Jacques! Je dis avec difficulté devant la mine heureuse du grand frère de mon père.
On le croyait mort durant une patrouille autour de la réserve et pourtant il est là, devant moi! Il me sourit en disant qu'il est contant de me voir. Je ne sais pas trop quoi en penser. Peut-être pourrait-il m'aider. Pour l'instant, le seul fait de le voir me fait "sourire". Je souris mais mes dents sales et comme aiguisées le surprend. Il se ressaisit et m'explique.
-J'imagine que tu demande ce que tu fais ici, n'est-ce pas? (hochement de tête) Je te présente le camp où tous ceux ou presque qui se sont sauvés de la réserve se trouvent. On se trouve dans une forêt au sud de la base Point. Ici, on se protège contre les zombies et en même temps nos familles. Dis-moi, Keji... Sais-tu pourquoi tant de patrouilles ont disparut ces temps-ci? C'est...
Un caillou me vole alors sur l'épaule et je tourne la tête, ignorant mon oncle qui essai de m'expliquer je ne sais quoi. Un adolescent au visage couvert de cicatrices accompagné deux deux autres me regardent en riant avant de me lancer d'autres roches.
J'essaye de me dégager. Je grogne en maudissant les menottes et cette cage qui m'empêche de rejoindre mon oncle à l'expression effrayée devant mon changement d'humeur.Mes grognements attirent alors des curieux et Jacques s'éloigne à pas lourd, me laissant seul. Commenthbh il ose? Il vient me saluer et s'en va! Quel égoïste!
-Qu'est-ce qui se passe?
-Il est réveillé!
-Regardez-le, il essaye de se dégager!
Des exclamations sortent de partout autour de moi mais je les ignorent en tirant de toutes mes forces. Lorsqu'ils voient que je n'y arriverait pas, tous commencent à rire. Je les regardent, la lèvre tremblante et les cheveux dans le visage à cause de la pluie. Ces rires... Ils tournent autour de mon esprit tel des corbeaux autour d'une carcasse... J'ai envi de les frapper ou bien de fuir, je n'en suis pas certain. Ils me regardent de leurs yeux avec cette étincelle de vie qui ne m'appartient plus. Ils se moque de moi... arrêtez... Je n'ai rien fait!
Je ramène mes jambes à mon torse et les serres contre moi comme pour me protéger de leurs moqueries. J'y pense! Le Keji d'avant se serait défendu. Il aurait répliqué ou menacé les autres! Mais non, je reste à me cacher au fond de mon corps sans vie en attendant que ça passe... Que je suis misérable! J'ai envie de pleurer mais je n'arrive pas à distinguer l'eau qui coule sur mon visage des larmes qui chauffent mes yeux ternes.
Les jours passèrent et mon oncle ne revint pas. Peut-être trop honteux de son neveux attaché dans une cage. Quel naïf j'ai été de penser qu'il voulait m'aider, ou bien qu'il était compatissant! Je le hais. Il devrait comprendre ma détresse, non? Je suis de sa famille! C'est lui qui m'a dit d'ignorer les autres quand ils rient de mon style ou de mes gestes, c'est lui qui m'a encouragé le plus durant ma vie difficile et voilà qu'il m'abandonne dans un endroit que je ne connais pas. Je crois que je n'ai jamais eu aussi mal sauf le jour où j'ai... été séparé de ma famille. Le seul fait de penser à ça me serre le coeur. Plutôt non. Me serre le trou à la place du coeur. Je baisse la tête sur mon torse pour observer mon bandage imbibé de sang séché. Peut m'importe qu'il soit sale, propre, trempé ou mouillé. Je m'en fiche, tant que mon coeur est là et me permette de me sentir pas aussi vide ça me va.
Des pas.
Mon corps balancé vers l'avant au dessus de mes jambes est parcouru de spasmes mais je me serre pour les arrêter avant de lever la tête sur l'homme, ou plutôt l'adolescent. Ses yeux marrons foncés observent mon bandage mais n'y prête pas davantage attention. Il part et revient avec une bûche dont il se sert pour s'assoir. La clarté du jour commence à apparaître donc il est le seul humain que je peux voir entre les cabanes beiges et les arbres qui m'entourent.
-Salut. Il dit d'un ton neutre.
-Sa-salut. Je répond d'une voix rauque.
-Oh! Tu parles!
Il y eut un moment de silence avant qu'il ne paraissent mal à l'aise. Je le vit dans son regard fuyant et dans son geste maladroit lorsqu'il passât un main dans ses cheveux blonds hérissés sur sa tête. Il me tendit alors une conserve dont le couvercle est ouvert. Je lui fit les gros yeux et il parût mal en se rappelant que mes mains son attachées dans mon dos et sur un barreau de la cage.
-Ah je suis désolé. Je me présente, Kenei, 16 ans. Il m'adresse un sourire devant ma perplexité à entendre son nom. Vois-tu, tout le monde garde son nom de naissance ici mais moi je n'ai pas envi de me rappeler qu'un jour un couple m'a donné un nom avant de m'abandonner seul avec des inconnus à l'âge de 3 mois. Avant je m'appelais Kevin, puis ma deuxième famille m'a appelé Anthony, puis elle est morte. Bien fait pour eux.
Je ne le comprend pas trop en faite. J'adresse un regard confus à Kenei. J'ai l'impression de l'avoir déjà vu. Serait-ce celui à qui le chef a parlé avant les coups de feu?
-Oh je suis désolé de te mélanger! On m'a toujours dit que je parle trop!
-N-non. Pas ...pas du tout.
Un sourire apparaît sur son visage pâle. Il paraît heureux en faite.
-Mais toi, quel est ton nom? La curiosité fait place. On m'a dit (il paraît sarcastique) que t'es pas vraiment un zombie. Mais j'ai qu'à te regarder et j'en suis certain. Regarde toi! T'as même pas l'air de vouloir me manger! Je suis certain qu'au fond de toi tu réfléchis. Pas comme les autres morts qui ne fond que nous regarder et claquer des dents (je claque des dents au même moment et il rit presque).
Je ne sais que dire de cet étrange personne qui se tient devant moi. Il m'a l'air amical mais je ne sais pas si je dois lui faire confiance. Sa façon de tirer des conclusions m'effraie et m'impressionne en même temps...
-Ke... Keji Blackthorne.
-Pardon?
-Mon... (J'avale ma salive) n-nom.
-Oh cool comme nom! Où est-ce que tu as eu cette idée?
Est-ce qu'il se moque de moi? Oh je viens de comprendre!
-V-vrai nom. C'est... Mon vrai nom.
Il s'excuse en passant une main dans ses cheveux blonds. Un homme arrive alors en courant vers Kenei qui se raidît en le voyant arriver. J'ai l'impression de l'avoir déjà vu... Mais oui! C'est lui qui m'a traîné et frappé la tête à la base Point!
Je grogne. C'est lui qui m'a emmené ici. Lui qui m'a empêché de partir. Lui qui m'a assommé d'un coup douloureux sur la tête pour m'emmener ici. D'un coup, je me sens bousculé de mon corps. Comme si une autre personne en prend possession.
J'hurle, tire sur mes chaînes en regardant cet amas de chaire fraîche en me désintéressant de l'autre humain qui est effrayé sur place. Je ne vois plus que son visage aux yeux menaçants. Je veux le frapper, l'assommer, lui ouvrir le torse et le dévorer en entier pour satisfaire ma faim et ma soif de vengeance! Viens ici, l'homme qui pu la sueur, qui me regard comme une proie... Insère toi dans ma mâchoire, que je goûte à ton sang chaud.
-------
Réserve:114
Cela fait une semaine que j'ai fais ma "fugue" comme les autres appellent. Même si je n'y comprend pas grand chose. Je n'ai pas revu Andrew. Ou plutôt je n'ai pas osé sortir de ma chambre ou de la maison et le croiser... J'ai peur de ma réaction si je croisais son regard. Les cours sont finalement recommencés (enfaite ils recommencent aujourd'hui) dans notre réserve mais ici c'est 5 jours par semaine car il n'y a pas trop de monde et bah... J'imagine qu'ils ont envi de nous faire passer le temps!
Je me réveille en sursaut à cause du réveille-matin qui lance son cri affreux dans la pièce. Frustrée, je lance un oreiller dessus ce qui le fait tomber au sol. Bien fait pour lui! Et je me recouche au milieu de mon grand lit super confortable. Au bout d'un moment, j'entend des pas dans l'escalier au bout du couloir. Des pas lents et réguliers. Jean-Médérique. Ils cogne à ma porte et je me cache sous mes couvertures pour ne pas l'entendre. Aucune envie d'aller en cour. Lui au moins c'est sa dernière année de secondaire! Il va avoir 17 ans en décembre. Moi je suis coincée en secondaire 3 avec des gens détestables, si on peut dire. Il ouvre lentement la porte mais sa présence est trahis par les grincements du plancher et son odeur de parfum pour gars. Je ris presque en voyant son visage étonné lorsque je me tourne face à lui.
-Lève toi Alyce. À moins que ne le veuille arriver en retard?
-Et si je-je disais oui?
-Alors là je devrais te tirer hors du lit et t'obliger à t'habiller.
Il y a du rire dans sa voix ce qui me fait sourire et je le chasse de ma chambre en désordre d'une.
La froid de la pièce me donne des frissons donc je me change vite pour échapper à ça. Une paire de jeans noirs, mon chandail de Stars in Stereo trop grand donc je l'attache avec un élastique sur le côté et ma tonne de bracelets. Certains me demandent comment je fais pour les endurer toute la journée sur mes poignets. Moi je répond à ça: c'est l'habitude!
Un déjeuné fait de toast m'attend dans la cuisine. Personne ne me salue, trop concentrés sur leurs cellulaires. J'pense que c'est plutôt ça qui nous rends zombies.
En sortant dehors avec les autres, un froid nous surprend. Plutôt étrange comme température. Voilà un peut plus d'une semaine, j'étais en short et là en jeans! On se dirige vers le coin de la rue où passera notre bus. Mon ipod en main et mes écouteurs aux oreilles, je n'écoute pas mes cousins et le voisin discuter de certaines filles qui vont peut-être être dans leurs classes. Cette année, pour la première fois, je ne suis pas dans un groupe fixe. Personnellement j'aurais préféré qu'il n'y ait plus de cours du tout mais faut ce qui faut! Je stresse à savoir avec qui je serais. J'ai quelques amis donc j'ai peu de chances d'être avec eux. Pas comme ces filles avec des amis tout autour et des gars leur courant après comme des chiens.
C'est en soupirant que j'entre dans le vieil autobus qui passe dans notre coin. Au moins je suis rassurée, on ne passe pas dans le coin avec l'immeuble où habite Andrew et sa troupe. Je m'assis sur le banc en avant de celui à côté de la sortir de secours (une fenêtre au milieu) comme à mon habitude depuis secondaire 1 et 2. Les gars s'en vont au fond en saluant un peut tout le monde. On est sûrement dans les derniers à entrer.
-Hey! Alyce! Me lance une fille en courant vers moi.
Elle se jette dans mes bras et me serre si fort que j'en ai du mal à respirer. Je n'ai jamais vraiment apprécier cette marque d'affection (enfaite toute marque de ce genre) et la repousse aussi vite qu'elle est arrivée. Ses cheveux tombent en boucles blondes sur ses frêles épaules et elle affiche un sourire radieux à me voir enfin arriver. C'est Roxane, une amie depuis secondaire 1. Je vois une petite gang arriver et leur fait un signe de la main. Ça fait du bien de savoir qu'il sont encore vivants! En arrivant devant moi, je me sens un peut différente. Tous habillés de couleurs, je suis de noir. Mais ce n'est pas vraiment ça qui dérange, n'est-ce pas?
Nous entrons lorsque les grandes portes de devant s'ouvrent et je soupire en pensant que la vie à l'école n'a pas changé, elle. Même si l'humanité se fait bouffée, les cours ont quand même lieu. On se met en file pour recevoir notre agenda et notre horaire avant le commencement des cours. J'écoute les autres parler de leur été en notant qu'aucun n'est allé en voyage, évidemment. On est séquestrés à l'intérieur des murs! Pas étonnant que nos étés se ressemblent tous. Depuis bientôt un an on est à l'intérieur et j'en devient folle. Lorsque l'annonce que des murs vont nous entourer pour nous protéger d'une certaine maladie, je ne l'ai pas prise au sérieux jusqu'à l'annonce que des gens sont demandés pour nous défendre. Pourtant je suis peut-être la seule ici qui pense à la menace qui nous entourent. Un seul homme contaminé pourrait tous nous tuer! Une voix me tire de mes réflexions.
-Alyce, c'est ton tour. Me chuchote Roxane en me mettant un doigt dans les côtes.
La femme assise à la table devant moi me regarde bizarrement, à croire qu'elle n'a jamais vu quelqu'un dans la lune! Elle remonte ses petites lunettes en forme de demi-lune comme si elle attendait quelque chose.
-Aah, Alyce White, secondaire 3, régulier.
Elle me sourit comme si j'étais bête et me tend un cahier et une feuille d'horaire. Je la regarde un moment avant de partir et de regarder ce qui est écrit.
Prénom: Alyce Nom: White
Secondaire: 3 Élève n. 602
Français: 32
Mathématique: 36
Science: 39
Univers Social: 31
Art Plastique(obligatoire): 32
Anglais langue seconde: 38
Éducation Physique: 32
Au dos de la page j'y trouvais un plan avec des flèches pour ne dire où est mon casier et mes classes. Je laissais tomber les autres pour me rendre à mon casier à l'autre bout de l'école puisque les leurs sont pas aussi loin. J'espère au moins qu'on va se croiser quelques fois. Après quelques minutes de tournage en rond, je le trouvait dans une sorte d'endroit où il n'y a que des rangées de casier. Je fus heureuse de voir qu'il est au fond, sur le bord d'une fenêtre car j'ai un petit problème avec les endroits tassés.
-Ah, te voilà!
Jean-Médérique se faufile entre les gens qui bavardent et me rejoint. Je lève les yeux vers son visage.
-À ce que je vois, tu es heureux de tes classes, Jean-Mé'?
-Ouais, vraiment! Et toi? (Il me prend l'horaire des mains) Haha, t'as ce gros de M.Bouc comme prof de français et d'histoire! Tu vas avoir du fun avec lui.
Je vois bien qu'il est sarcastique. Je m'apprêtais que je m'en fichais, que je voulais seulement que l'année scolaire se finisse aussi vite qu'elle est arrivée mais la cloche sonna et il me tapota le dos avant de partir.
Arrivée dans ma classe de français, je m'assis à la place qui m'est assignée par un professeur aux allures médiévales avec sa sorte de barbe fournie et ses épaules carrées. Ce doit être M.Bouc.
Je grogne en voyant que je suis assise presque en plein milieu de la pièce mais ne fais pas de commentaire. Après un moment la cloche sonne et les petits groupes qui s'étaient formés se séparèrent, sans pour autant arrêter de bavarder. Je soupirais en pensant que cette année je serais seule puisque les autres sont dans des programmes spéciaux tel que sport-étude ou art dramatique. En espérant qu'on ne fasse pas trop de travail d'équipe... J'en ai toujours eu horreur car chaque fois il faut s'entendre avec l'autre personne ou bien tout lui expliquer. Je m'aperçu alors qu'on m'observe. Je relève ma tête accotée dans ma main vers le professeur. Ce n'est pas lui mais pourtant je sens un regard peser sur moi. Je tourne la tête vers la gauche et l'homme commence sont "discours de bienvenue" qui consiste en grande partie à expliquer les règlements.
Je tourne mon regard vers la droite et mes yeux croise son regard vert. Le choc me donna le vertige et je serrais pour me ressaisir. Il est assis devant, à droite complètement, le dos contre le mur jaune-beige de la classe. Il me regarde avec un regard surprit mais je n'y voit que menace.
VOUS LISEZ
Phase Finale
HorrorKeji est un adolescent, mais pas comme les autres. Il est en Phase Finale dite aussi Zombie. Le monde est divisé en 1840 réserves, anciennement de grandes villes tel que Montréal au Québec ou New York aux Etats-Unis. Mais maintenant les seules front...