Lundi 30 juin 2014
Au Brésil,
Kaly GiroudLa France se lève pour le deuxième but marqué par le joueur Joseph Yobo contre son camp a la 90 ème minutes. Nous hurlons de joie a s'en déchirer les poumons. Théo me prend dans ses bras et nous rions. Mama Pogba nous prend aussi dans ses bras, cette femme est tellement attachante c'est fou.
Je sais ce que vous allez dire : Et Avec Antoine vous en êtes où ? Eh bien a vrai dire, nulle pars. On n'a pas parler de ce qu'il s'est passer et il n'y a pas eu de nouveau bisou. On n'a pas pu se parler beaucoup depuis car il s'entrainait tout le temps. Je ne sais pas ce que l'on es et ça me fait peur. Paul est venue souvent faire sa fouine pour en savoir plus mais rien, il semble plus déçu que moi.
Le stade se vide et les joueurs retrouvent leurs familles. Je descends l'escalier quand Paul et Pat' arrivent en courant vers moi.
"- Le pari tient toujours ?"
Le pari ?
Je me souviens alors très bien de la scène. Paul qui coupe la parole à Antoine pour imposer ses conditions. Mais est ce que ça compte à présent ? Nous nous sommes déjà embrassés alors ça ne ravivrais simplement la douleur que je ressens depuis ces derniers jours. Il en pense quoi lui ? C'est ce qui me perturbe le plus ! Je ne sais pas ce qu'il pense et encore moins ce qu'il ressent. J'ai envie de le haïr de me faire ça après m'avoir fait espérer comme ça. Que cherche t'il bon sang ?
"- On l'a perdu là. "
Je relève la tête vers les deux accolites présent devant moi, je me force à sourire en m'approchant d'eux.
"- Je ne sais pas, j'ai perdu alors ce n'est pas à moi de décider si le pari tient toujours.
- Kaly, qu'est ce qu'il le passe avec Antoine ? Ça fait quelques jours que ça va plus."Je souffle et je secoue la tête pour essayer de cacher mes larmes naissantent. J'aime ces deux garçons, ce sont mes meilleurs amis ici et des liens très fort me relient à eux. Je relève la tête et une larme coule le long de ma joue. Paul et Pat équarquillent les yeux avant de s'avancer vers moi pour, tout les deux, me prendre dans leurs bras en même temps. Je me dois d'être forte et de ne pas pleurer pour n'importe qui.
Mais Antoine n'est pas n'importe qui.
Non, il ne l'est pas et c'est pour ça que je pleurs. Ce gars est important pour moi, je l'apprécie énormément.
Vous savez aujourd'hui les gens disent "Je t'aime" à n'importe qui et pour n'importe quel situation. Ce mot pourtant charger de signification en perd toute son importance quand on l'utilise à tors et à travers. J'aimerais que lorsque l'on me dira "Je t'aime" pour la première fois ce n'est pas par pitié ou pour obtenir quelques choses. J'aimerais que la personne qui me le dira sois sincère et que rien ne la force à le faire. Mais j'aimerais aussi que ce sois lui qui le fasse un jour.
"- Qu'est ce qu'il passe ici ?"
En entendant sa voix je me dépêche d'essuyer mes larmes et de m'ecarter de mes amis. J'affiche un grand sourire pour dissimuler toutes traces de tristesse ou de mal être.
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When my turn will come - Grizi
FanfictionLe Brésil est un pays avec un énorme amour pour le football. Kaly est une jeune femme française qui possède une famille d'amoureux du football. D'ailleurs son cousin n'est autre qu'Oliver Giroud. Lorsqu'Oliver à été sélectionné en équipe de France...