Butterfly And Hopes j.kook; y.seok; n.jin

X. Good boys like bad boys

*Mino - Body*

(Je m'enjaille tellement sur cette chanson wow **)

PDV Nam Joon :

Je le regarde. Il passe entre les rangs, distribuant les copies. Sa main passe dans ses cheveux et ses mèches brunes retombent dans tous les sens. Je souris un peu.

Il est plutôt baisable comme ça. Le prof d'éco passe devant moi pour aller rendre sa copie à Soo Rin et j'en profite pour laisser mes yeux vagabonder sur ses fesses bien mises en valeur par son jean noir plutôt serré.

Je passe la langue sur ma lippe inférieure. Qu'est-ce qu'il est bandant. J'ai tellement envie de virer tous les élèves de la classe et de le prendre sur son bureau. Violemment, jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus et qu'il me supplie d'arrêter tout en gémissant très fort mon nom. Je souris perversement.

« Monsieur Kim ? Vous êtes parmi nous ? »

Je lève la tête. Mes yeux tombent dans le regard doux et chocolaté de Kim SeokJin, aka mon crush depuis le début de l'année. Je déglutis parce qu'il est sacrément baisable avec ce regard là et hoche la tête vivement.

Il a un petit sourire et me tend la feuille double.

« C'est un bon travail pour une fois. »

J'attrape la copie, m'attendant à un 10 et mes yeux s'écarquillent en voyant le 14 entouré de rouge. Merde alors, c'était quoi le sujet pour que je réussisse comme ça ?

Dissertation : les facteurs travail et capital sont-ils les seules sources de la croissance économique ?

Je fronce les sourcils. Je trouvais ça dur pourtant. Bref, je me souviens plus trop trop donc pas la peine de s'attarder hein.

Je range la copie dans mon sac, la pliant en quatre et m'affale de nouveau sur la table, prêt à mater mon prof qui parle à Su Min, un gars châtain plutôt mignon. Je fronce les sourcils. Il touche à un seul cheveux de Kim et je le détruis. C'est ma propriété privée, ma chose, il est à moi.

Le prof se redresse et va derrière son bureau, cliquant sur la souris, faisant apparaître au tableau plusieurs graphiques, anagrammes ect.

Oh putain, heureusement que c'est lui le prof sinon je sécherais tout le temps l'éco sérieux.

J'y comprends rien.

Il commence à parler, ses lèvres bougeant au rythme de son flot continu de paroles. Je n'arrête pas de les fixer, un peu déstabilisé par leurs courbes charnues et pleines. Il a des lèvres très attirantes. Que je me ferais un plaisir d'embraser de désir. Je tirerai sa lèvre inférieure, faufilant ma langue dans sa bouche, les faisant s'enrouler, se compléter.

Je passe ma langue sur mes lèvres. Oh ouais j'en ai envie. Sacrément envie même.

Au fond, je suis sûr que c'est un mauvais garçon, corps sexy et bouille innocente. Mais je vais lui retirer toute innocence et bientôt il ne voudra plus qu'être dévergondé et pervers. Comme moi, en fait.

Je ris légèrement, m'attirant le regard hautain de ma voisine. Je me tourne un peu vers elle, lui fais un sourire charmeur :

« Je suis en train de penser à la façon la plus mignonne dont je vais te dépuceler, te prenant violemment le cul contre un mur de salle de classe jusqu'à ce que tu t'évanouisses. »

Elle me lance un regard apeuré et dégoûté à la fin de ma phrase et s'éloigne de moi, mettant entre nos deux chaises le plus de distance possible, commençant à chuchoter pas très discrètement à sa conne de pote que le mec à côté d'elle est dérangé. J'ai un rictus.