Sucker For Pain ♦

Chapitre 18: I hate you but I love you.

Pour dire vrai je n'attendait qu'une chose, qu'il monte et qu'il s'excuse mais je pouvais toujours rêver.

C'était le Joker en face de moi et non un homme normal avec une once d'émotion.

Finalement je décida de me levée afin de le rejoindre pour peut-être avoir une discussion avec lui, je m'approcha de la porte et entendit :

-Ok les gars, j'espère que vous avez compris le plan et je répète, pas d'actions inutiles qui seraient susceptibles de me contrarié.

Je n'entendis plus rien et deux hommes avec une carrure assez impressionnante sortirent du bureau de mon poussin.

J'entra à mon tour mais avant que je n'ai pu dire quelque chose, il se retourna vers moi et me dit :

-Où était tu passée ma belle ?

Comme si il s'était préoccupé de mon absence, je leva les yeux au ciel et répliqua :

-Comme si tu t'en était soucié, c'est comme quand tu m'as frappée tu ne t'ai pas demandé si j'allais bien.

-Mais voyons Harley, tu sais très bien que tu comptes pour moi tu le sais ça, n'est-ce pas ma puce ?

Il sourit de toutes ses dents, comment lui résisté ? Je fis une moue et m'asseya sur ses genoux enroulant mes bras autour de son cou :

-Je le sais oui, mais poussin est-ce qu'on pourrais aller chercher mes affaires s'il te plaît ?

-On va y aller mais en vitesse hein ?

-Oh merci !

Je lui fit un bisous sur sa joue droite et quitta la pièce afin d'enfiler un legging et des baskets que j'avais récupérer dans ma voiture.

Nous montâmes dans la camionnette blanche qui nous avais servie lors de notre cambriolage et partîmes en direction du centre de Gotham.

Il se gara à l'entrée de mon immeuble et poussin mit un chapeau ainsi qu'une longue veste marron afin de ne pas attirer l'attention, on se dépêcha d'entrer dans mon appartement et je disparue dans ma chambre le laissant seul dans mon salon.

Je sortis deux gros sacs et les remplirent de tous mes vêtements et sous-vêtements que j'avais et dans l'autre mes chaussures, je savais que je ne reviendrais plus ici alors il fallait que toutes traces de moi disparaissent.

Je pris les sacs à l'aide de mes bras et rejoignis poussin dans mon salon :

-Tu as tout ?

-Oui on peut y aller.

-Oui car nous prenons un sacré risque en revenant ici.

-Effectivement Joker, tu devrais le savoir que l'on ne reviens jamais sur ses pas.

Alors c'est lui que l'on appelle Batman.