Mitsu & Mino, jeunes filles banals, l'une à 20 ans, l'autre 15 ans.
Cette correspondance sur internet deviendra par la suite une réalité, leurs petit délires écrit sur un seul et même sujet, les mangas, leurs points en communs qui les ont unit. Ce p...
Cela deviens de plus en plus inquiétant au fur et à mesure que nous avançons dans la forêt obscurcis par les ombres des arbres cachant chaque parcelles de soleil.
Tout devenait si triste, les bruits de la foule de la Paris Game Week n'était plus audible. L'impression que j'avais que chaque pas nous emmenait vers quelque choses d'étrange, me faisait hésiter toujours un peu plus. Cela faisait assez longtemps que nous marchions sans aucun but précis suivant cette personne. Je décide de prendre le bras de Mino et de l'emmener avec moi pour faire marche arrière, je n'allais tout de même pas continuer sachant que nous ne pourrons plus retrouver notre chemin. Le garçon continue, je pense que Mino avait penser la même choses que moi à ce moments là vue qu'elle ne me posait pas la question de pour quoi nous partons et laissant seul de garçon. Au retour mon impression du faite que l'on était observer devenait angoissant. Sur le chemin Mino et moi nous ne nous parlons pas comme si les murs avec des oreilles et qu'au moindre sonde notre voix ce garçon ne retrouverai et qui sait ce qu'il nous aurait fait. Le temps avait passer et nous étions dans un petit stand de boisson dans la Paris Game Week. Mino et moi parlons de tout et de rien, comme si le temps c'était arrêter.
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Le temps passait tellement vite qu'il à fallu ce quittée... Vous aurez surement compris que nous le GANG NOTSU! Nous n'avons...SI ON A PLEURER!!! Bouhou...
En rentrant à l'hotel, mon cœur ne fit qu'un tour certaines chose savait été déplacer. A moins que ce n'était quand faite que mon imagination qui me jouais des tours, du à ma forte fatigue.
Je pars me changer et ouvre mon lit deux place ou je n'oublie pas de prendre dans mes bras mon nounours en peluche et de me recouvrir, pour une fois qu'il n'y a pas de coq qui hurlent.
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Je m'endors tranquillement mais soudain quelque bruits bizarre se mirent à résonner dans la pièce. Des bruits de pas... Cette impression que l'on touchait à des choses, cette choses qui se rapprochait au fur et à mesure. Je me cache sous la couette et sors juste mon bras pour allumer la lumière, une fois cette forte lumière allumer je scrute l'horizon. Rien dans ma chambre, je prends ma peluche avec moi et sort du lit pour vadrouiller dans les couloirs tout en allumant à chaque fois la lumière. Rien dans la salle de bain. Rien dans le salon. Rien dans la cuisine. Je décide de repartir me coucher sachant qu'il n'y avait rien. Mais voilà que la porte de ma chambre fut entre ouvert et sans lumière, mon cœur se mit à battre de plus en plus fort, je savais qu'au fond de moi j'avais bien fermer la porte et avait allumer la lumière, quelque choses ou quelqu'un était là juste derrière je le savais au plus profond de moi même.
