L'Opoxcentre

Chapitre 10 : Une magnifique rencontre

Chapitre 10 : Une magnifique rencontre

Carl prit place dans le canapé a coté de sa mère. Il s'assit, prit une tasse de lait chaud, et souffla avant de boire car elle était plutôt brûlante. Le visage de Mme Durston avait désormais coupé entre les larmes qui coulaient de nouveau a cause de toutes ces émotions, mais également un grand sourire qui parcourait tout son visage. Elle était rassuré mais elle voulait savoir ou était passer son fils chéri durant ses 3 derniers jours. Carl buvait tranquillement sa tasse de lait et regardait ses pieds. Il était gêner mais également très troubler par la dame mais surtout par la jeune fille assise juste en face de lui. Il tremblait légèrement et était devenue tout rouge. Il levait la tête par moment et dès qu'il croisait son regard, il baissait la tête aussitôt.

«  Ou était tu passer mon chéri ? Je me suis fait un sang d'encre ! Dit Mme Durston toujours en pleurant

- Je... J'étais... Occuper, répondit Carl

- Oui, mais occuper a quoi ? Je suis ta mère ! J'exige des réponses !

- Je ne peux pas te le dire maman, c'est assez compliquer a vrai dire

- Carl dis moi ! Tout de suite !

- Je pense que vous ne devriez pas lui poser autant de questions dès son retour. » Dit la dame

Carl et sa mère regardait désormais la dame. Elle était également très jolie, elle passa sa main dans sa longue tignasse blonde avant de poser sa tasse sur la table du salon. Elle se redressa dans le fauteuil de façon a pouvoir discuter avec Carl et sa mère et la discussion repris :

« Carl, laissa moi te présenter Mme Cardreau et sa fille Lisa. Dit Mme Durston

- Salut ! Dit Lisa Cardreau d'un air enthousiaste tout en faisant un signe de la main

- Euh... Salut. Répondit Carl tout timide.

- Bonjour, après tout Carl est sain et sauf et c'est tout ce qui compte n'est-ce pas ? Demanda Mme Cardreau

- Oui, vous avez raison. » Répondit Mme Durston

Mme Durston et Mme Cardreau continuèrent a discuter dans le salon. Les deux femmes parlait désormais de tout et de rien. Le climat s'était apaiser, la mère de Carl semblait rassurer et riait même avec Mme Cardreau par moment. Pendant ce temps, le jeune garçon était monter a l'étage dans sa chambre avec son hôte : Lisa Cardreau. Carl poussa la porte de sa chambre et y pénétra avec Lisa. Il s'assied sur son lit et avait les mains jointes et il était toujours aussi rouge. Lisa se tenait debout contre la porte de sa chambre et regardait un peu partout dans la chambre du jeune garçon. Carl n'osait même pas la regarder tellement il était subjuguer par sa beauté.

« C'est mignon chez toi ! Dit Lisa

- Euh... Oui j'aime bien. Répondit Carl

- Ça fait longtemps que tu habites ici ?

- Ça fait 13 ans ! Donc oui ça fait longtemps

- Ah d'accord, moi je viens d'emménager a vrai dire. Et je ne connais personne encore, je me sens un peu seule

- Ah...

- T'es pas du genre bavard toi dis donc ! C'est moi qui te perturbes ?

- Hein ? Oh non pas du tout ! »

Carl ne savait pas mentir et venait de se faire avoir tout seul par la jeune fille. Il était encore plus rouge qu'il y a 5 minutes ! Et c'était a peine croyable vu qu'il rougissait déjà bien assez. Lisa était désormais devant lui de dos en train de regarder la bibliothèque du jeune homme. Carl se laissa prendre a regarder ses fesses, et il faut avouer qu'elles étaient plutôt jolie ! Cette jeune fille avait tout la ou il fallait. Non seulement, elle avait un beau visage, elle était sociable mais elle avait également un corps quasi-parfait. Mais malgré que Carl soit en admiration voir en extase devant Lisa, il se ressaisit et se dit que jamais une fille de son « calibre » ne pourrait sortir avec lui. Elle se retourna brusquement et vit très bien ou le garçon s'était amuser a poser ses yeux. Carl se vit prit de panique et baissa aussitôt le regard, mais au lieu de le disputer elle lui fit un grand sourire et s’assied sur sa chaise de bureau. Carl fut très surpris de la réaction de Lisa mais n'allait pas se plaindre. Il se disait que cette fille était a part et avait un caractère hors du commun. Il se laissa même a penser durant un court instant que Lisa avait de la sympathie pour lui. Mais il se dit qu'apars sa mère, sa sœur et Albus, personne ne l'appréciait.