Chapitre 8 : Entre bagarre et torture

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Chapitre 8 : Entre bagarre et torture

Carl faisait désormais face a une horde de brigands qui étaient bien décider a lui en faire voir de toute les couleurs. Carl se posait plein de questions dans sa tête comme si il devait utiliser l'Opoxcentre pour se sortir de cette fâcheuse situation ou si il devait se débrouiller par ses propres moyens. Mais dans ces cas la, comment faire ? Il était jeune et fragile, n'avait pas d’alliés et faisait face a des ennemis non seulement plus fort que lui physiquement mais également plus nombreux. Sans s'en apercevoir, le visage du jeune homme fut parsemer par des larmes qui perlaient le long de son visage. A force de trop paniquer, Carl était en train de perdre le contrôle de ses nerfs. Ce que Kaluba et ses hommes ont vu et ils n'ont pas hésiter a se moquer de Carl. Les rires retentirent devant la tour et le garçon se mit a rougir de colère. Carl était en train de prendre enfin conscience d'une chose, qu'il ne faut pas se laisser faire dans la vie, et qu'il ne faut reculer devant personne même pas devant ceux qui sont plus forts que toi. Le visage de Carl avait changer de couleur et était devenu rouge écarlate. Il avait les sourcils froncés et le regard en disait long. Carl était très en colère ! Lorsqu'il entendait les « Oh regardez moi ce gosse, il a même pas de couilles ! » ou les « Que se passe t-il petit ? Ta maman te manque ? » le jeune homme se sentait monter tout seul en pression. Les larmes coulaient de plus en plus et de plus en plus vite, le jeune homme baissa la tête, serra les poings et les dents et ne pouvait s’arrêter de pleurer. Ses pleurs était mélanger a de la colère et a de la frustration mais la peur qu'il ressentait s'était entièrement dissipé et il était bien décider a se venger mais comment ? C'est alors que Kaluba prit la parole :

« Regardez moi cette larve ! Ton père te verrait il aurai honte de toi ! » Dit le chef de la bande.

Ces mots étaient de trop pour Carl. Il releva doucement la tête vers Eric Kaluba, il avait un regard noir. Un regard comme il n'en avait encore jamais eu ! Ses yeux étaient également gonflés de larmes mais il ne pleurait plus désormais. C'était encore pire, Carl se mit a trembler puis il explosa

« Mais pour qui tu te prends CONARD ?? Mon père est mort t'as compris ? Et c'était le meilleur de tous les pères alors je ne te laisserai pas dire ne serait ce qu'une seule mauvaise parole sur lui tu m'as compris ? Et si t'as un problème viens te battre je t'attends ! » Dit le jeune Carl enrager.

Le silence était désormais de mise. Ni Kaluba ni sa petite bande ne parlait désormais. Le seul bruit qu'on pouvait reconnaître était les soufflements de plus en plus haletants du jeune Carl. Le garçon ne cessait de fixer Eric Kaluba mais il commençait seulement a réaliser ses paroles. Il avait dit ça sur le coup de la colère mais bien sur si il n'utilise pas l'Opoxcentre il n'a aucun moyen d'en venir a bout. Et avec tous ces gars et le si peu d'espace qu'il avait c'était impossible pour lui, de plus il voulait conserver ses vœux pour des moments plus appropriés. Après un long moment de silence, les hommes de mains de Kaluba se mirent a glousser les uns après les autres. Les rires se faisaient de plus en plus intenses jusqu'à faire un brouhaha énorme. Carl n'avait que faire de toutes ses moqueries, non seulement car c'était devenu habituel mais également car il n'avait d'yeux que pour un seul homme et c'était Eric Kaluba. D'ailleurs, ce fut le seul dans toute la troupe qui ne fit pas le moindre rire. Au contraire, il avait le visage pale et plutôt grave, il ne cessait de fixer Carl. Il devait être plutôt choquer de la réponse du jeune homme. Il faut dire qu'il avait surpris tout le monde, même sa propre personne. Carl put apercevoir des immenses veines apparaître sur le visage du chef des shonanois, il était tout simplement en train de laisser exploser son coté impulsif. Il serra les mains si fort sur sa batte de base-ball qu'il finit par la faire se briser. Les rires se stoppèrent instantanément. Kaluba cria de colère puis sorti un énorme couteau de sa poche tout en s'approchant de Carl a pleine vitesse. Tout de suite, le jeune homme n'en menait plus très large et se mit a courir en arrière. Kaluba courait plus vite que lui et commençait a le rattraper lorsqu'il trébucha sur une branche et tomba au sol. Carl se retourna et vit son ravisseur tomber, il était tellement content qu'il ne regardait plus devant lui et ne s'aperçut pas qu'un autre malfrat venait de faire le tour de la place pour se retrouver devant lui. Au moment ou le garçon tourna la tête, il fut trop tard et il se fit attraper par le maillot. Kaluba eut donc tout le temps qu'il lui fallait pou se relever et s'approcher de Carl. Il lui mit le couteau sous la gorge et lui parla :

« Alors, t'as perdu le peu de couilles que t'avais ? Je croyais que tu voulais te battre ? C'est pas ce que t'avais dit ? Demanda Kaluba

- Va te faire foutre ! » Lâcha Carl

Après avoir entendu ces mots, Eric Kaluba ne se controlait plus, il demanda a son associé de mettre les bras de Carl derrière lui et de lui attacher. L'homme prit les mains du garçon et commença a lui ficeler mais c'est alors qu'il fit remarquer a son patron que Carl avait un anneau peu commun sur l'index droit et que la société pourrait en tirer un bon prit ! Kaluba y jeta un œil sans trop faire attention avant de se retourner de nouveau vers Carl. Il lança son poing et lui mit un premier coup dans le thorax. La respiration de Carl fut couper puis il lança sa jambe et lui metta un énorme coup de pied au visage. Le jeune suffoquait de plus en plus fort et pleurait de douleur désormais. Le sang perlait de son front jusqu'à son cou et gouttait sur le sol. Carl releva doucement la tête vers Kaluba qui se baissa pour lui parler.

« T'as compris qui on est maintenant ? On va te faire payer pour la dégradation sur la vitre et pour ton insolence petit con ! »

Carl regardait fixement Kaluba. Il étaient tous les deux baissés et a la même hauteur et c'est a ce moment la que le jeune homme en profita pour lui cracher au visage. Kaluba essuya vite ce crachat et était encore plus en colère il se releva, regarda l'homme derrière Carl, il dit « Amenez le dans mon bureau » et il lui mit un dernier coup de poing qui assomma le garçon.

[…]

Carl se réveilla un peu plus tard dans une grande salle délabrée avec d'immense pilier un peu partout. Il faisait extrêmement froid dans cette salle et le jeune homme était d'ailleurs attaché a un des piliers. Il se demandait si il avait dormi plusieurs jours car il avait extrêmement faim. Le sol était également très sale et la majorité des fenêtres sur le coté était brisé. Il était ligoter et essayait tant bien que mal de se défaire de ses cordes mais en vain. Il était a bout de force. La porte principal s'ouvrit et Kaluba entra suivit de deux de ses hommes de mains. Les deux hommes de mains se placèrent de chaque coté du pilier et Eric Kaluba faisait face a Carl. Il remonta ses manches et commença a parler.

« Tu es plutôt robuste sal gamin ! Tu as dormi pendant 3 jours sans te réveiller et donc sans rien avaler. Je suis étonner que tu sois toujours en vie. Bref, tu as un anneau très étrange au doight, si tu nous le donnes on te laissera la vie sauve. On pourrait en tirer un bon prix, t'es partant ? Proposa le chef de la bande

- Je... je ne peux... pas l'enlever. Dit Carl tout en suffoquant

- Ah et pourquoi ça ?

- C'est... un cadeau de mon père

- Et tu y tiens plus qu'a ta propre vie ?

- Oui... »

Kaluba fut très surpris des valeurs de Carl, il s'approcha tout doucement du jeune homme. Il prit sa main dans la sienne puis il toucha vigoureusement l'anneau et tira de toutes ses forces. Le garçon avait horriblement mal mais il était tellement faible qu'il ne pouvait même pas crier de douleur. Après quelques minutes d'effort, Kaluba lâcha prise de dépit et demanda a ses hommes d'essayer. Ils prirent la main de Carl chacun leur tout et tirèrent. Sans succès. Kaluba reprit la parole :

« Tu nous caches quelque chose gamin, l'anneau est impossible a retirer que se passe t-il ?

- Je... n'en ai pas la moindre... idée

- Tu me fatigues ! Tenez ! Coupez lui le doight et ensuite je l'achèverai » Conclut le chef tout en tendant son canif vers ses hommes.

Carl se mit de nouveau a sangloter. Le premier homme prit le couteau et approcha la lame de l'index de Carl. Le garçon fermait les yeux et priait pour lui, il se disait qu'il vivait ses derniers instants. Quand tout a coup, l'homme lacha le couteau et hurla de peur :

« Chef ! Chef ! Derrière vous ! Il y a un mooooonstre !! » Dit l'homme affolé

Le deuxième homme recula également tout en se demandant ce qu'il voyait. Quand a Kaluba, il se retourna lentement et ce qu'il vit le figea sur place. Un grand homme tout de blanc vêtu avec une grande barbe, les ailes et les griffes de sorties se tenait devant lui d'un air assez mécontent. Carl releva la tête et vit Albus qui venait d’apparaître a sa rescousse. 

L'OpoxcentreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant