Chapitre 9 : Le duel contre les shonanois
Albus se tenait droit comme un piquet en face de Kaluba et des deux autres shonanois. Il avait la tête des mauvais jours et on voyait clairement les veines qui apparaissaient sur son front. En face de lui, Eric Kaluba avait reculer de deux, trois pas et était courber les mains en avant et le pied gauche en avant également. Kaluba. Il ne souriait plus désormais, il savait très clairement qu'il n'était pas en position de force. Son visage le trahissait, il était tout pale et avait le souffle court malgré qu'il voulait toujours montrer a ses hommes qu'il restait fort. Ses deux acolytes justement étaient toujours assis par terre et étaient figer par la peur, ils n'osaient pas se relever. Ils ne cessaient de fixer Albus l'ange céleste et se demandait ce que pouvait bien être cette créature. L'un des deux hommes tremblait même et avait porter sa main droite sur sa bouche. Il n’arrêtait pas de gémir. Quand a Carl, il était toujours attacher a son pilier, les mains liées par les cordes. Il avait relever la tête et lui aussi regardait Albus qui venait d’apparaître. Il avait le visage parsemé de marques de coups et de quelques traces de sang séché. Il suffoquait toujours autant et son estomac criait famine de nouveau. Mais le jeune garçon ne pensait pas a tout ça. Ses yeux s'étaient illuminés depuis l'arrivée d'Albus et il ne pensait plus qu'a une chose : sortir d'ici. Il tourna légèrement la tête vers la droite et vit que le couteau de son ravisseur était juste a la hauteur de sa jambe droite mais malheureusement il ne pouvait pas la récupérer puisqu'il avait les mains attachées. Il se demandait ce qu'allait faire Albus pour le sortir de ce pétrin. Il releva de nouveau la tête et vit que Kaluba avait changer de position et qu'il était désormais en position plus sereine, aussi droit que le pilier ou était attacher Carl et il regardait Albus avec un sourire en coin. Il entama la discussion
« J'ai compris les gars ! Pas de quoi paniquer ! Ce n'est qu'un de nos amis qui a choper un déguisement et qui fait le con avec ! Ça ne peut être que ça regardez un peu la gueule de l’accoutrement ! » Dit Kaluba d'un ton moqueur.
Les deux hommes derrière le chef se relevèrent tout doucement. Ils avaient l'air de croire a l'histoire de leur chef malgré que ce qui se tenait devant eux était vraiment très imposant ! Les deux shonanois se relevèrent et essuyèrent les traces de saletés qui recouvraient leurs vêtements. Ils regardèrent Albus de manières plus concentrées et commencèrent a rire tout en acquiesçant assez spontanément l'hypothèse de leur chef. Les rires retentirent dans la salle et même Kaluba se mit a éclater de rire.
« Allez, laisse nous travailler on se voit après avec tout le monde ! Dit Eric Kaluba
- Tu ne devrais pas me prendre a la légère ! Répondit Albus
- Ca ne marche pas je te dis ! Je sais que tu es des notres.
- Je ne viens pas de votre monde et ceci n'est pas un déguisement, c'est mon vrai corps et je suis un ange céleste du royaume célestin
- Je dois avouer que pour un mensonge c'est drolement bien travailler ! Bravo, je te tire mon chapeau, allez maintenant dégage !
- Tu ne me crois pas ? Alors regarde ça »
Les rires d’Éric Kaluba se faisaient entendre de plus en plus fort. Il rigolait tellement qu'il venait de s'étouffer, il porta la main a sa gorge et toussa vivement. Il essuya ensuite les larmes qui avaient couler car il avait tellement rit qu'il en avait pleurer. Il se décida a revenir aux choses sérieuses, c'est a dire a arracher l'Opoxcentre de l'index de Carl, lorsque tout a coup il vit le couteau qui, jusqu'à maintenant était au sol, léviter tout seul au dessus du sol. Il eut un moment d'incompréhension ou il le regardait fixement et ou il ne disait plus rien puis tout a coup le couteau fonça sur lui et s'enfonça dans sa jambe gauche. Eric Kaluba laissa échapper un cri de douleur et tomba contre le sol froid de la salle. Il tourna sa tête vers Albus et commença a lui crier dessus :
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L'Opoxcentre
FantasiaCarl est un jeune lycéen de 16 ans qui n'a pas confiance en lui et qui est rejeté de tout le monde, il n'est pas non plus aider par la nature du fait qu'il a une cicatrice qui traverse son visage. Il n'a pas d'amis et n'est apprécier que par sa fami...