Chapitre 14 : L'enlèvement et la punition
Timothée Cardreau fouilla dans sa poche et en sorti les clés de sa voiture. Il les rapprocha du contact et sur le coup de la précipitation, il les fis tomber par terre. Alors il se baisse pour les ramasser, et en se relevant, il se cogna la tête. Il laissa alors échapper un petit « putain de merde » et pu enfin mettre les clés et démarrer la voiture. Il se regarda une dernière fois dans la vitre avant de démarrer. C'était un homme de corpulence moyenne mesurant a peu près 1 mètre 85. Il avait les cheveux bruns et les yeux bleus, un visage rond, et était actuellement habiller en uniforme de police. C'était en effet le père de Lisa et donc le mari de Mme Cardreau. Ce qui pouvait expliquer son étonnement et son interrogation quand a la vue de cette vidéo. Il prit la route. Mr Cardreau avait un peu de route a faire car il avait environ 30 a 35 minutes avant d'arriver a la maison familiale. Le code de la route stipulait de rouler a 70km/h mais il n'en avait que faire et faisait du 100km/h sur les petites routes pour rentrer plus vite tellement il était abattu par toutes ces questions qui lui traversait l'esprit. Il fit quelques minutes de route tout en ne pouvant cesser de s'essuyer le front, les gouttes de sueurs perlaient a gogo. Il rentra dans le quartier le plus mal fréquenter de la ville, celui ou jadis, était occuper par les shonanois. Il ne prêtait guère attention aux gens sur les côtés qui regardaient la voiture de patrouille d'un mauvais œil. Il continua sa route jusqu'au feu suivant lorsqu'il vit quelque chose qui le fit ouvrir grands les yeux. La route était barrer par une dizaine, voir même une vingtaine de voitures. Les voitures étaient d'ailleurs dans un bien mauvais état. Vitres éclatées, portes cabossées, pneus dégonflées, carrosserie usée était de mise sur ces voitures. Le policier Cardreau stoppa la voiture juste devant le barrage et après avoir observer la scène depuis sa voiture durant 15 a 20 secondes, il se décida a descendre pour aller voir cela de plus près. Il descendit de la voiture et ferma la porte a clé. Il se disait bien que tout cela pouvait être un piège mais il ne se méfiait pas tant que ça se disant qu'après tout il était policier et qu'il avait une arme sur lui le protégeant. Il s'approcha au plus près du barrage et regarda a droite, a gauche puis ne vit personne aux alentours. Il se dit que tout cela n'était qu'une mauvaise blague après tout, et il voulait retourner a la voiture. Mais c'est alors qu'il aperçut un homme allonger dans une des voitures en ruines. Il s'approcha au plus près de lui et commença a lui parler
« Monsieur, monsieur ! Vous allez bien ? »
Mais pas de réponse de la part de l'homme, on entendait juste le souffle court de la personne qui agonisait et avait du mal a respirer. Mr Cardreau se dit que le temps jouait contre l'homme et il se décida a ouvrir la portière mais malheureusement, celle ci ne voulu pas s'ouvrir. Alors il lança un « Couvrez-vous ! » a l'homme, mais si il savait que ce dernier ne pouvait l'entendre, et il s'élança et casse le peu de vitres qu'il restait a coups de matraque. Il passa ensuite sa main a l'intérieur de la voiture et ouvrit la portière. Il porta l'homme dans ses bras et le posa au sol. Il essaya tant bien que mal de lui parler, mais il ne semblait pas du tout réceptif a ce que Timothée lui disait. Alors il porta l'homme et le ramena jusqu'à sa voiture. Il rouvrit les portes et l’allongea a l'arrière. Il se gratta ensuite la tête tout en se demandant si il devait d'abord l’emmener a l’hôpital ou s'assurer de la véritable situation de son état. Et il se rappela alors qu'il avait une trousse de soins dans le coffre de la voiture. Alors, il s'approcha du coffre et l'ouvrit d'un coup sec. Et a ce moment précis, un homme sorti du coffre ! L'agresseur sauta au cou de l'agent et le plaqua au sol. L'agent Cardreau était désabuser parce qui était en train de se passer et l'homme le frappa au visage a deux reprises. Après quoi il se mit a l’étrangler de toutes ses forces. L'agent de police commençait clairement a voir ses forces l'abandonner puis il eut assez de force pour prendre son tazer qui se situait dans une poche a l'avant de son pantalon et il en mit un coup sévère a son agresseur de façon a l’immobiliser. L'agresseur tomba alors a la renverse en lâchant Timothée Cardreau. L'agent de police se releva tant bien que mal assez essouffler et il avait la tête qui tournait ainsi que son visage et son cou qui lui faisait grandement mal a cause des coups. Il regarda l'homme qui l'avait agresser puis se mit face a lui de façon a identifier son agresseur. Il vit que l'homme avait un tatouage dans le cou qui devait le rattacher a un gang. Il était assez grand, maigre, portait un débardeur blanc et un pantalon de couleur noir. Il avait les cheveux très gras et les dents extrêmement jaunes. Il portait aussi des grandes lunettes de soleil qui cachait ses yeux. L'agent de police se résigna a parler a son agresseur.
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L'Opoxcentre
خيال (فانتازيا)Carl est un jeune lycéen de 16 ans qui n'a pas confiance en lui et qui est rejeté de tout le monde, il n'est pas non plus aider par la nature du fait qu'il a une cicatrice qui traverse son visage. Il n'a pas d'amis et n'est apprécier que par sa fami...