Humans' Zoo: number 100

1. L'arrivée

Toc, Toc, Toc

-Entré !! s'exclama exaspéré le Dominant d'être encore une fois dérangé.
Un homme d'une trentaine d'année fit place dans son bureau, le visage préoccupé , les traits graves et les yeux inquiets.

Le Dominant avait le sens du détail c'est cela qui lui permit de détecté que quelque chose d'important se passait sans même à avoir à le demandé, simplement en observant.

- Dominant, on a capturé quelqu'un en dehors des Zoos, c'est une jeune fille de dix-huit ans je dirais à vu d'œil, elle se trouvait à quelques mètres du zoo 89, ce sont nos caméras qui l'ont détecté!
Elle se trouve dans la cave à ce moment même, elle a été transféré de 89 à 1, ici donc, je pensais que vous voudriez vous entretenir avec elle, et par la suite décidé de son sort.

- Très bien, je veux la voir ici, dans exactement 2h, lavez la, habillez la, et faites en sorte qu'elle soit menottée lorsqu'elle sortira de la cave.

Le Dominant avait la voix, grave, sans émotions comme toujours, et ne laissait apparaître pas l'once d'un sentiments ou quoi que ce soit pour le trahir.

- Bien Dominant, à vos ordres, elle serra ici comme demandé dans 2h.

L'homme sortit de la pièce et se dirigea vers la cave.

***

" oh putain nan, c'est quoi ce bruit ?! Je savais que c'était une mauvaise idée de s'approcher de ce bâtiment, et s'ils m'avaient aperçu ?! nan impossible, vite Aléna, trouve quelque chose...
Et puis ce bruit la qui s'arrête pas"

La jeune fille, apeurée et effrayée courrai, le cœur à tout rompre dans la forêt, elle ne savait pas où elle allait, tout ce qu'elle souhait faire en tous cas c'est s'éloigner du bruit qui l'effrayait tant.
Celle-ci courait, courrait encore, du plus vite qu'elle pu mais malheureusement pour elle, l'obscurité de la nuit qui avait commencé à tomber et la fraîcheur du mois de décembre ne l'aidait pas à se déplacer dans les branchages, au contraire.

L'innocente accélérait, elle avança aussi vite qu'elle pu: ses cheveux flottaient dans le vent, ses pieds tapaient le sol en des bruits réguliers, son cœur semblait vouloir sortir de sa poitrine tellement il battait , c'est poumons étaient en feu et c'est à peine s'ils avaient assez d'air.
Les branchages la ralentissant, à chaque passage entre les arbres, ils laissait une marque rougeâtre sur sa douce peau délicate, abîmée par le froid, le fouettement des branches et salie par la boue, le sang séché, et sûrement la sueur du à sa course folle.

On aurait dit une biche chassée par un prédateur, un oiseau volant dans le ciel, elle se déplaçait avec tellement de facilité  et d'agilité que ça en était fascinant.
Malgré tout, ce spectacle s'arrêta net.

Elle se prit les pieds dans des racines, tomba au sol, se cognant au passage la tête contre un rocher la faisant perdre connaissance.
C'est ainsi que son chemin s'arrêta, telle un lapin pris au piège, sa chance de s'enfuir disparu tout aussi tôt.

Alerter par le bruit, des gardiens du Zoo 89 étaient parti à sa poursuite.
Ils n'eurent pas de mal à la retrouver allongée sur le sol, inerte, inconsciente.

***

Lorsque j'ouvrit les yeux, ma tête se mit à tourner, elle me faisait extrêmement mal, comme si un marteau tambourinait dans mon crâne.
Je sentis une très forte pression à la tête m'obligant à la tenir et à fermer les paupières.
Une fois la douleur un peu prêt supportable, je fit attention à la ou j'étais.

Tout d'abord le détail qui me frappa était que je me trouvait dans une petite pièce: froide, sombre, et qui sentait le renfermé.
Des tâches plus foncées jonchaient également sur le sol.
Dans la salle, je pouvais seulement apercevoir, une fenêtre si petite qu'on pourrait la confondre avec un simple trou dans le mur.

Également un mince filet de lumière s'échappait du bas de la porte m'indiquant que je n'étais pas seul dans cette endroit.
J'ai voulu me mettre debout, ce qui fit une très mauvaise idée puisque je retombais immédiatement sur les fesses: les chaînes qui recouvraient mes poignets m'empêchant de faire un seul geste.

Commençant à stresser et à paniquer, je décidais d'essayer de me libéré.
Les chaînes qu'attachaient mes  mains, faisaient un mal de chien lorsque j'essayais avec énormément de mal de m'en débarrasser.

Je tirai de toute mes forces sur mes poignets dans l'espoir de les voir sortir des ces anneaux argentées les retenant de leurs liberté.
Je sentait le métal frotter et chauffer contre ma peau, et mon sang dégoulinant de celle-ci et je perdais espoir.

" En plus ça fait mal, ce putain truc, j'en ai marre, plus que Marre" finissais-je en criant.
Quelqu'un avait dû entendre ma prière car dès mon petit pétage de câble, je vis la poignet s'abaisser et un homme de 30ans entrer.

Il s'approcha de moi d'un pas déterminé et je savais à ce moment là qu'il n'était pas venu ici pour rigoler avec moi, bien au contraire.
Plus il avançait plus j'essayais de lui cacher ma tentative d'évasion.

Mais il n'était pas dupe et dès que celui-ci était arrivé à ma hauteur, il aperçu sans peine le sang s'échappant de ce qui me servait de mains et se mit à rigoler, et à ce moquer tellement si bien que je savais pas si je devais rire avec lui ou pleurer de honte.

-HA HA HA, idiote va, tu croyais réellement que tu pourrais t'échapper en tirant misérablement sur tes poignets ?! Ha ha, tu es bien naïve ma pauvre, j'avouerais qu'on a eu chaud dans la forêt, et qu'on a failli te perde mais malheureusement pour toi, ta maladresse t'a mené à ta perte.

Énervée, et excéder par ses moqueries je rétorqua:
-Je ne vois pas du tout ce qu'il y a de drôle, Monsieur Déterminé !!!
Et puis d'abord, si j'ai eu ne serais-ce que l'infime espoir que de te tirer sur mes frêles poignets pouvait les libérer je ne vois pas en quoi ça vous regarde, c'est mon problème.
Maintenant je vais vous posez une question bien simple suffisamment pour que vous puissiez me répondre malgré votre maigre intelligence.
Où suis-je et qui êtes vous ?!!

L'homme semblait surprit de mon soudain changement d'attitude et il ne rigolait plus du tout à présent.
Il m'observait avec haine et répondit durement.

-Ce n'est pas à moi de répondre à tes questions, j'ai juste eu pour ordre de te laver, t'habiller et de t'emmener menotté jusqu'au bureau du Dominant !!!

Je le regardais horrifié, j'avais bien entendu ?! Il devais Me laver et M'habiller ?!!!
Il en était hors de question, je le laisserai pas me mater et encore moins me toucher !!!
Malheureusement pour moi, malgré toute mes tentatives pour y échapper, je devais me résoudre à le laisser faire, avec énormément de honte et de colère.

Je marchais à présent suivi de près par  monsieur déterminé dans les couloirs de ce qui je pense était une cave, jusqu'à la douche.
Il me tenait fermement le bras, si-bien que je sentais mes plaies se réouvrir du à la pression exercer sur celles- ci.

Soudain, il s'arrêta net devant une porte me signifiant qu'on était arrivé.
Monsieur déterminé allait abaisser l'a poignet lorsqu'une voix le coupa dans son action...

^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
Hey, tout le monde j'espère que ce premier chapitre vous a plu, je posterais un chapitre toutes les semaines je pense. Ils feront tous la même taille que celui-ci.

N'hésitez pas à réagir en commentant, je suis ouverte aux critiques CONSTRUCTIVES, cela ne pourra que mettre bénéfique et cela permettra de m'améliorer.

A la semaine prochaine ❤