Lorsque que je me réveilla je sentis immédiatement une forte douleur à l'intérieur de mon poignet gauche.
En l'observant, quelques larmes de tristesse et de rage s'échappèrent de mes yeux et je savais que c'était le début de quelque chose de tout nouveau pour moi, quelque chose que j'avais essayé d'éviter à tout pris: la captivé.Et malheureusement pour moi ma peau encore boursouflée et rouge allait me le rappeler pour le restant de mes jours et le numéro 100 201 hanterait mes pensées pour l'éternité.
***
Je regardais mon poignet comme ceci durant quelques heures avant de me décider que j'en avais marre de pleurer ce qui fait que pour la première fois je levais les yeux et je regardais autre chose que la boursouflure qui restera la indéfiniment.Je n'eu pas de mal à remarquer que je me trouvais encore une fois dans une cave mais cette fois-ci j'étais belle et bien en captivité puisque preuve du contraire je me trouvais dans une cellule.
J'étais entrain de me demander qui était le connard qui m'avait une nouvelle fois enfermé lorsque celui ci arriva devant la grille métallique.
C'était un homme magnifiquement sombre accompagné d'un autre encore plus beau et intriguant.
Le premier avait la peau dorée, les cheveux bruns foncés et d'etonnants yeux: ils étaient vairons l'un était châtain et l'autre vert.
Le second était tout aussi parfait: il avait lui au contraire d'incroyable yeux bleus/ gris, captivants et envoûtants.
Une peau qu'on on aurait pu confondre avec du caramel , et il avait également d'adorable boucles brunes en batailles sur sa tête et qui lui descendaient aux pommettes.En détaillant leur visages je pu distingué que le bouclé avait une petit bouille de bébé tandis que l'autre avait des pommettes saillantes et des traits fins.
Les deux jeunes hommes avaient de fascinants tatouages qui recouvraient certaines parties de leur corps et je me demandais depuis combien de temps ils étaient ici puisque je ne voyais pas comment ils auraient pu se les faire faire.
On peut dire que j'étais sur le cul, je m'attendais à tout types d'hommes sauf cela.
J'étais presque intimidé par tant de beauté.
Comme ils n'avaient pas l'air de se décider à parler je pris moi même cette initiation:-Pourquoi je suis enfermée ici ?
-Parce que je ne te connais pas. répondis simplement le brun.
- Ce n'est pas une raison, il fronça les sourcils et je repris bah oui, moi non plus je ne te connais pas pourtant tu n'es pas enfermé.
Je voyais le bouclé à côté de lui pouffer de rire, ce qui fit ressortir d'adorables fossettes des deux côtés de sa bouche.
Il essayais tant bien que mal de garder son sérieux et de se contrôler, j'esquissais alors moi aussi un sourire sur mon visage qui disparue lorsque l'inconnu répondit durement:-Je vois que je vais avoir du fil à retordre avec toi.
Mais heureusement pour moi je ne vais pas devoir m'occuper de toi et te montrer tout le fonctionnement de mon Zoo durant une semaine, n'est ce pas Ethan ? Dit-il malicieusement un sourire au coin en regardant le bouclé.Celui-ci se contenta d'hocher la tête.
Et moi je souriait niaisement et débilement dans ma tête: je vais passer une semaine avec l'homme aux yeux verts se trouvant devant moi.- Ah et j'ai failli oublié reprit le basané je suis Noah, le Privilégié, le chef de ce Zoo, je te demanderais donc à l'avenir de me vouvoyer sous peine d'être puni.
Je vais maintenant te laisser, tu es entre de bonne main avec Ethan je n'en doute pas une seconde me dis-je à moi même, Noah se retourna vers le bouclé; lui donna des instructions que je ne pouvais entendre et partit ensuite.Ethan déverrouilla la serrure grâce à son trousseau de clé et ouvra les barreaux.
Il s'approcha de moi, et m'intima de me lever. Ce que je fis avec peine.
Une fois debout, je me noya dans ses yeux.-Tu as pleuré ? me demanda t'il soudainement.
Je répondit honteusement:
-Nan, du tout, je n'ai pas pleuré, je ne pleure pas.Malgré ma réponse négative, il fronça les sourcils, mordit légèrement sa lèvre et scruta mes yeux.
Le bouclé apporta ses mains à mon visage et essuya les larmes pas encore sèches de sous mes yeux.J'appréciais ce contact: ça faisait longtemps que quelqu'un n'avait pas eu de geste aussi doux à mon égard.
Ça remontait même à une dizaine d'année.////Flashback 2090 ////
La petite fille était assise sur son lit.
Du haut de ses 7 ans elle comprenait déjà la situation, elle savait.Malgré, qu'elle était dans les bras de sa maman, elle était peureuse, elle avait peur de l'avenir, elle avait peur des bruits de l'extérieur, des bruits traduisant la violence et l'horreur.
Les gens criaient dehors , s'affolaient, depuis qu'il l'avait annoncer: la 4ème guerre mondiale est déclaré.
Les bombes nucléaires préparées.
Les pays armées.
Et l'humanité envolé.La jeune fille sanglota, et laissa coulée sur ses joues des larmes qu'elle ne pouvait retenir plus longtemps.
-Aléna, ma chérie, ne pleure plus mon ange, tu ne dois pas avoir peur, rien de mal ne t'arrivera, je te le promet tu entends ?La fillette, inclina la tête, et sa mère mit ses mains à ses joues, et d'un effleurement léger, retira les gouttes salées de ses yeux.
D'un geste protecteur, et rassurant elle lui embrassa avec tout l'amour possible son front.
//// Fin du flashback ////
Sortant de ma rêverie, je retira moi-même les larmes qui avaient encore coulées, durant ce rapide retour en enfance.
Je me promit alors de ne plus pleurer, au moins pour ma maman.Ethan me fit réellement retourner à la réalité lorsqu'il me demanda de le suivre en dehors, de la cellule.
En sortant de la, je savais définitivement que c'était un nouveau chapitre de ma vie qui allait commencer.^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
Coucou, voici déjà le 4ème chapitre.
Je sais que je vais me répéter mais n'hésitez surtout pas à me laisser vos avis pour que je puisse m'améliorer car je sais que c'est loin d'être parfait.
À plus ❤
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Humans' Zoo: number 100
Science FictionAnnée 2100, cela fait maintenant dix ans qu'a eu lieu la troisième guerre mondiale. Après l'utilisation des bombes nucléaires, la grande majorité d'humains a disparue si bien que les survivants ont été regroupé dans des parcs servant à préserver l'e...