L'atmosphère s'était directement alourdie et je me sentais dans son bureau plus qu'oppressée.
J'avais également remarqué le changement d'émotion de monsieur déterminé: il était passé d'un homme sur de soi a un petit garçon j'ai la trouille du grand "patron".
Ce qui dans une autre circonstance m'aurait bien fait rire mais à cette instant précis, j'avais juste envie de courir loin de lui comme le garçonnet avant moi.L'imposant homme derrière son bureau m'indiqua d'un regard de m'asseoir en face de lui.
Ce que je fis aussitôt: trop peureuse de le contrarier.-Bien, bien, bien qu'avons nous la.
Je vois que privilégié tu as rempli ta tâche comme je te l'avais strictement formulé malgré que tu as environ 6,5 secondes de retard.
Quand à toi, dit-il en m'observant de bas en hautj'espère que nous n'aurons pas de problème.
Je me demande encore comment tu as pu vivre seule dehors aussi longtemps et également comment tu as pu évité mes gardiens qui fouillaient tout de fond en comble.Durant tout son discours, il me fixa d'un regard qui aurait pu changer n'importe qui en pierre, ses yeux me donnait la chair de poule et c'est à cette instant précis que j'avais compris à qui j'avais à faire.
Derrière ses prunelles foncées, se cachait un manipulateur calculant tous ces fait et gestes me faisant douter encore plus de lui.
Ce si peut de confiance m'intima de ne répondre à ses questions bien trop douteuses et révélatrice de ma vie passée.
Je répondis simplement:-C'est sûrement juste le hasard et la faute à pas chance, n'est-ce-pas ? Et puis vous savez j'essaie tant bien que mal d'oublier le passer.
-Oh bien évidemment, et puis arrêtons de remuer ce qui appartient à la vie d'avant et consacrons nous au futur c'est cela qui m'importe depuis toujours.
Le tout raconté avec un sourire des plus faux destiné à mon égard.
-En parlant de ça, que va t'il se passer pour moi maintenant ?
-Oh ma chère, cela va se dérouler exactement comme toutes les autres personnes avant toi: je vais t'attribuer un numéro qui te sera propre et pour toujours, tu seras transféré dès ta sortie de mon bureau au zoo numéro 100 et la bas on s'occupera de toi.
Je n'ai pas le temps nécessaire actuellement pour t'expliquer tout le fonctionnement de mon systèmes et du dernier zoo.
Ah et j'ai failli oublié, as-tu un handicap, une grosse maladie ou une quelconque malformation ?Alors ça, je m'attendais à toutes sortes de question mais c'est vrai que celle-ci m'avait énormément surprise.
- Euh nan, je suis en parfaite santé et bien entière.-Très bien pour toi, tu seras donc une dominée.
Et sache également que j'ai était plus que ravie d'avoir fait ta connaissance; madame prude. finissait il en souriant sournoisement.Je voyais rouge et je ne sais d'où cette élan de courage et d'affrontement met venu mais je me leva précipitamment de mon siège, le faisant tomber au passage, ne réfléchissant pas à mes actes et me foutant complètement que ce soit le grand "patron" je cria dans la pièce:
- JE NE SUIS PAS UNE PRUDE MERDE, je me respecte un minimum c'est tout !!!!
Vous voulez quoi ? Que je vous montre mes seins ? Bah voilà ?!!!Dans un élan d'adrénaline je leva mon débardeur et dévoila ma poitrine à l'homme avec le visage décomposé et surprit se trouvant devant moi.
Et je finissais en exclamant:- Alors c'est qui la prude maintenant ?!!
Avant de quitter précipitamment le bureau suivit de ma brute qui sous le choque ne sortait pas un mot.***
On marchait déjà depuis un petit moment dans les couloirs pour se rendre à l'extérieur, la où un voiture m'attendait, lorsque pour la première fois depuis de longues minutes monsieur déterminé encore sous le choc s'adressa à moi:-Tu lui as montré tes seins ?!!!
- Mmmh, oui, on peut dire que oui je lui ai montré mes seins. répondis-je simplement le sourire scotché sur mon visage et la culpabilité grandissant doucement en moi petit à petit du à ma baisse d'adrénaline.
Il secoua simplement la tête en levant les yeux au ciel et on continua à marcher en silence jusqu'à la porte d'entrée.
Arrivée devant, j'étais accueillit par un sorte de médecin en blouse blanche tenant dans sa main un fer gravé et j'espérais avoir tord sur la suite...Avant que je n'ai eu le temps de bouger un cil deux grosses brutes me tenaient déjà.
Je criais à m'en déchirer les poumons.
La dernière chose que je vis avant de perdre connaissance, du à la douleur extrême que j'ai ressenti lorsque le fer brûlant se mit en contact avec mon poignet se fut se connard de patron me regardant souffrir sadiquement.
Puis le trou noir.^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
Hey,
3ème chapitres, comme les précédents j'espère qu'il vous a plu.
N'hésitez pas à me donner vos avis pour que je puisse m'améliorer.
À plus...❤
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Humans' Zoo: number 100
Science FictionAnnée 2100, cela fait maintenant dix ans qu'a eu lieu la troisième guerre mondiale. Après l'utilisation des bombes nucléaires, la grande majorité d'humains a disparue si bien que les survivants ont été regroupé dans des parcs servant à préserver l'e...