Héritage I Couronnement

Chapitre 21

Je me plonge donc dans le travail, j'accumule des réformes dans un coin de mon bureau. Pauline ne fait plus les repas et elle ne mange plus beaucoup, je la force certains jours. Je l'écoute invité certaines personnes à nos vacances que j'aurais espérer en couple, je prends donc mon ordinateur lorsque nous partons pour la Grèce. Je fais donc la connaissance de ses amis qui chuchotent, je le vois bien, mais elle sourit alors je ne dis pas grand chose.

Nous visitons la région et bien plus, je me cache donc derrière des lunettes de soleil puis une casquette pour être sûr que personne ne me regarde. Ce qui fonctionne très bien, je prends les photos de groupe pour éviter d'être dessus. Je profite de la piscine le matin très tôt pour faire des longueurs, l'alcool qui est omniprésent fait levée tout le monde très tard hormis pour moi. Cela m'arrange puisque je peux être aussi au calme pour travailler discrètement, trois semaines de vacances.

Mais rien ne me détresse puisque Pauline veut bien être couronné le soir ivre, et le lendemain elle refuse même le mariage. Ce qui finit par cesser de me faire parler, je suis invisible malgré que je paye leurs vacances. Je reprends donc l'avion terriblement stressé et en colère, j'imprime mon travail de retour à la maison ce qui rajoute encore des réformes sur mon bureau. Une pile, je fais ma réunion du lundi matin pour apprendre que la plupart des grandes villes de France ne vont pas appliquer ma réforme.

Je hurle si fort que même Croc vient participer à la réunion, je fais donc mettre en place une taxe pour les villes qui ne vont pas appliquer ma réforme en janvier. Je fais appel à d'autres entreprises pour construire des métros sur la route, des bus électriques, des chevaux. La somme s'élève au milliard d'euros, je négocie, si bien que la somme diminue de moitié et que l'entreprise devra se charger de la maintenance. Le patron de la ratp est si en colère qui demande un entretien avec moi, je souris et avance même le rendez-vous. Je choisis le petit salon pour le recevoir, je l'attends pour le voir arriver et ne pas s'incliner devant moi.

Charlène : C'est un plaisir de vous recevoir.

Je m'assois sur l'un des fauteuils, je fais très attention à l'allure que je dégage pour le voir s'asseoir.

Charlène : Je sais très bien pourquoi vous êtes ici.

Le patron : Nous sommes en charge du transport parisien.. Et voilà que vous faites appel à des allemands pour améliorer le réseau.

Charlène : Vous aviez l'intention de construire mes projets en vingt ans.. Eux en une année.. Ce qui vous dérange c'est que vous n'aurez plus le monopole.

Le patron : On perd suffisamment d'argent à partager nos bénéfices.

Adam : Votre altesse.. Vous êtes en face de la reine de France.. Vous lui devez le respect.

Charlène : Apportez moi le contrat.

Adam : Oui votre altesse.

Je regarde Adam qui sort avant d'attraper mon café.

Le patron : Ce n'est pas patriotique.

Charlène : C'est européen.. Voyez-vous la plupart des autres villes européennes vont elles aussi suivre ma démarche.. C'est le commerce.

Le patron : Je vais être obligé de licencié des centaines de personnes.

Charlène : Pourtant vous ne manquez pas d'argent.. Et puis ils retrouverons bientôt du travail.

Le patron : Les nouvelles lois de lignes de bus sont inadmissibles.

Charlène : Pour vous.. Vous avez refusé de faire partie du progrès.. Sans négocier.. Vous avez déchirer ma proposition.. En public.. Parce-que votre chèque de fin d'année n'est plus comme avant.