Un monde sans Âmes

Chapitre I : Le commencement

Le soleil brille, les moineaux volent de branches en branches en chantant à leur habitude. Les feuilles tombent une fois jaunies, de la buée se dessine sur les vitres m'empêchant désormais d'assister à l'arriver de l'automne.
Je reporte mon attention au cours de mathématiques, je regarde les chiffres au tableau, le professeur qui agite les bras dans tout les sens, je tente de comprendre ce qu'il essaye de me transmettre mais en vain. Nous sommes le 19 octobre 2020 dans le petit lycée de Colbert dans le 10e arrondissement, près du canal Saint-Martin. Il est 8h44 et je ne comprend toujours rien aux gestuelles du professeur. Giovanny Rico élève de Terminal S, voilà comment me vois l'ensemble des enseignants, pour mes camarades de classe je suis juste Gio ou bien GV, c'est mon surnom en deux lettres. J'ai du mal à suivre en cours, je passe le plus claire de mon temps à réfléchir ou imaginer. Je repense à des scènes de mon passé et imagine ce qui se serait passer si j'avais dis ou fais autrement. Plus j'y pense et plus je me dit que mon existence n'as pas de sens, de but précis. On se lève tout les matins, tout les matins je prend le métro ligne 5 de oberkampf à Gare de l'est, je fais le changement sur la ligne 7 pour enfin arrivé à Louis-blanc la station la plus proche de mon lycée. Tout les jours on commence par math puis Physique Chimie, on mange et on termine la journée avec Svt et mathématiques. Cette routine me tue à petit feu, et je me réfugie dans mes pensées. Cependant un événement marqua le debut de mon histoire, le 22 octobre 2019 je fis la rencontre de Kiara qui me changea complètement, le seule moment où je me sens pleinement réfugié du monde extérieur c'est avec elle.

Demain ça fera 1 ans que je l'ai laissé entrer dans mon esprit, cependant j'ai un mauvais pressentiment.
Le ciel s'est assombri, l'air est lourd, le cours de mathématiques prend fin et nous nous dirigeons tous vers la petite cours de notre lycée. De là j'observe le ciel devenue triste. Tout le monde parle du virus FG découvert il y a 2 ans, l'existence est inconnue mais les propriétés de ce micro-organisme sont très prometteuses : résistance au bactéries améliorer, augmentation des capacités musculaires, sens plus aiguisées...
Cependant la science d'aujourd'hui n'arrive pas encore à synthétiser les molécules qui nous intéresse, mais les recherches avances.
Un surveillant viens nous chercher en criant : "Rassemblement devant la vie scolaire, la directrice à un message important a nous faire passer"
Après que les agitations se soient calmé es la directrice s'avance, elle est petite, à lunettes et porte toujours son manteau fourrure caca d'oie. Cependant je remarquais que le comportement de notre prof de mathématiques était un peu trop anormal.. il se mordait les doigts en regardant la directrice parler, il l'a regardé avec des yeux avides, il commençait à devenir pâle, il transpirait beaucoup, ses mains tremblaient , il agitais son cou comme pour étouffer une vérité, il toussa longtemps, on aurait dit qu'il voulait vomir.. quand il eût finis de se torturés la gorges, ses yeux sont devenus blanc comme la neige, il était encore plus pâle que tout à l'heure, ses dents se sont mis à pousser d'un coup, ses ongles sont devenus aussi longs que des poignards et on remarquais une morsure dans son cou, une morsure d'un diamètre deux fois plus grand qu'un être humain adultes..
Il s'approcha habilement de la directeur et lui arracha la moitié de son cou à coup de dents, il s'empressa de se jeter sur elle déjà à moitié morte et de lui transpercé le ventre avec ses poignards. Le sang gicla sur les murs blanc, le sol était maintenant recouvert d'un manteau rouge, il lui arracha chaque parties de son corps avant de se les mettre au fond de la gorge : foie, estomac, coeur, intestins ! Je ne vous raconte pas l'affolement devant la petite vie scolaire, tout le monde courraient dans tout les sens ! Les filles hurlaient, c'étaient des cris stridents, Kiara me cria dans les oreilles en me serrant contre le torse. Tout le monde étaient devenus fou, c'était atroce je n'arrivais pas à en croire mes yeux ! Je devais réfléchir... JE DEVAIS VITE RÉFLÉCHIR..!