Un monde sans Âmes

Chapitre XIII : Loïs

Qu'est ce qui m'arrive.. mon corps est lourd et mon ventre me fais mal. Oú suis-je...
-Tu ouvre enfin les yeux dit Carlos avec mépris.
Je me sens faible, mes yeux ne fonctionnait pas très bien... je ne voyais que des nuances sombres de lumières.
Mes bras et jambes sont immobiles... qu'est ce que c'est que ce merdier !
-Carlos.. c'est quoi tout ça pourquoi je suis attaché ?? Ma voix ne portais pas, depuis combien de temps n'avais-je pas manger ?
En effet j'étais attaché par des cordes au niveau des chevilles et poignets. Ma vue se remit à niveau et je distinguais la pièce où j'étais emprisonné. Les murs étaient rouges, le sol noir, les grande fenêtre blanches se faisait pénétrer par la lumière lunaire. La salle était éclairée par un lustre de bougie rouges, le parfum qui s'en dégageaient me mis tout de suite mal à l'aise.
-Tu sais que depuis le lycée je suis amoureux de toi Loïs. Tu es si brillante et si froide, on dirait presque une sculpture.
Il s'approcha du mur où j'étais attaché en croix. Il s'approcha de moi et posa sa main sur mon épaule nue. Je m'aperçus alors que je n'étais vêtus que d'une chemise blanche, sans boutons et prête à tomber au moindre coup de vent.
-A quoi tu joue pauvre type ?!
Mon poux s'accéléra, j'avais très peur !! C'est un putain de pervers ce mec, est ce qu'il va... est ce qu'il va me violer..?
-Ah là là... Loïs. Regarde toi comme tu es sexy quand tu t'énerves, tes yeux bleu virent au rouge, ton souffle se disloque et ton regard inspire la haine.
Il s'approcha de moi, prit mes cheveux dans la paume de sa main, et les renifla avec attention. C'est écœurant !!! Putain c'est qui ce fou !
-Arrête... laisse moi tranquille Carlos..
Pourquoi je n'arrive pas à être forte ?.... ce que je pense et ce que je dis sont deux Loïs différentes...
-Allons du calme on ne fais que commencer la soirée, ma douce. Me dit il dans l'oreille ! La chaleur de sa bouche m'écœura encore plus !
-Je ne suis pas à toi relâche moi immédiatement !!!
A mes mots, il se transforma en hybride son bras gauche avait la forme d'une lame qu'il plaça sous ma gorge.
La tristesse, le dégoût, la haine, la peur et l'envie de mourir fit naître en moi un sentiment de terreur et de tristesse.
-Oh mais que vois-je notre invité est en train de pleuré ? Dit il en ricanant. Peut-être qu'avec ça elle aura une vrai raison de pleuré !!
D'un seule coup de lame, il déchira ce qui me servais d'habit et commença à m'embrasser de force.
J'ai envie de crever, tout mais pas ça, qu'est que j'ai fais au monde pour mériter ça... je vais devenir folle ! Ce pervers de Carlos me scrutait le corps. Ma poitrine, mon cou, mon ventre, mes cuisses absolument tout mon corps était à nue devant lui....
Faite que je meurs avant qu'il n'ai eu le temps de me violer davantage.
- Ho Ho mais c'est qu'il sont bien ferment ceux la.
Il posa ses mains répugnante sur ma poitrine et commença et les frotter.
-Tsss arrête de pleurer comme une conne tu m'énerve !
Alors voila... j'allais vraiment passé cette nuit avec ce fou ? Est ce que c'est ma punition pour n'avoir jamais dit ce que je pensais ? J'abandonne la vie, elle est sournoise et toujours vainqueur...
J'abandonne l'espoir.
Carlos continuait de disposé du corps de Loïs quand soudain les vitre explosèrent !!!
-Putain c'est quoi ce bordel ?! Cria Carlos
Qu'importe j'ai été salie, je ne veux plus croire en l'espoir.
Dans La pénil se dessina une silhouette, cette silhouette avait une arme à feu et tira sur Carlos qui s'était déjà transformé.
Les rafales de balles ont faille me toucher !! En effet un balle coupa une de mes cordes tandis que les cordes vocales vibraient de toutes leurs forces.
Carlos soignais beaucoup ! La silhouette n'abandonna pas, elle continuait le feu ! Bientôt la petite chambre ressemblais plus à un vestige de guerre qu'a une chambre érotiques.
Carlos crachais tout son sang.

Tue le, achève-le, transperce lui la peau, anéanti-le !

Quel est ce sentiment étrange ? Pourquoi je pense à ça.

Laisse moi le tué !! Laisse moi lui faire des trous, laisse moi lui prendre sa vie, laisse moi lui prendre son âme !