Millitar school.

Q U A R T O Z E

Nda: chapitre court par manque d'inspiration, voilà. Bonne lecture.

Je suis bien ici, même bien mieux que chez moi ou que dans cette stupide rue.
C'est bizarre ce sentiments de sécurité qui m'entoure, alors que je suis allongée dans le lit de celui qui m'a violé la bouche quelque jour plus tôt.

Il faut peut-être croire que j'en suis réduit à ça; préférer dormir chez des inconnus que chez moi.

La douleur que je ressent en moi est sûrement la pour me dire "Hey regarde Sierra tu arrives à triste". Triste. Je pense que le mot triste d'ecrit parfaitement l'état dans lequel je suis depuis que j'ai ouvert mon téléphone, et que j'ai vu que personne ne m'avait envoyé de message, et donc que personne ne s'inquiétait pour moi.

C'est des cfs moments là que je prend conscience de qui sont les personnes qui tiennent à moi, c'est-à-dire: personne.

Je finis par m'endormir avec pour seule compagnie: ma tristesse.

Cette tristesse qui restera pendant longtemps, j'en suis sûre, ma seule et véritable amie.