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phil perdait espoir.

il avait passé cinq jours dans cette pièce petite, terriblement froide, et extrêmement lumineuse. la puanteur était horrible, de manière à ce que n'importe quelle personne normale se bouche le nez et fasse n'importe quoi pour en sortir, mais lui était coincé.

phil n'était pas plus proche d'être une personne normale que de pouvoir sortir. son ventre se retournait, à chaque seconde, chaque minute, une douleur aigüe passant à travers son corps. il ne pouvait pas manger, et même si il essayait, tout ressortait, et il finissait par avoir la nausée et vomir dans la commode ouverte fixée dans un coin.

c'était dégoûtant, comment son estomac était rentré, ses os étaient faibles et ses cheveux collés sur son front, ses lèvres gercées. ses yeux lui brûlaient, des poches noires s'agrandissaient sous ses yeux et sa peau avait perdu toute sa couleur.

chaque seconde qui passait était plus dure que la précédente, et la douleur était presque insupportable, enlevant chaque notion de l'optimisme qu'il restait chez lui. il ne pensait pas qu'être enfermé dans une petite pièce pouvait influencer ses pensées à un point où il voulait en avoir fini avec la vie.

ce n'était pas particulièrement horrible, mais il n'y avait rien à faire. les mauvaises pensées et l'anxiété étaient à leur maximum, frappant phil avec des vagues d'émotions difficiles pour lui d'éviter.

peut-être que c'était pour cette raison qu'être retenu en captivité était atroce. la paranoïa consumait l'homme, rongeant le cerveau comme un castor, et c'était terrifiant, ces pensées qui pouvaient pousser une personne à faire des choses, et à quel point ils pouvaient se faire du mal.

il n'était pas sûr de vouloir continuer.

est-ce qu'être avec dan valait la douleur qu'il supportait ?

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(est-ce qu'être avec dan vaut la douleur qu'il supporte ?vous avez 4 heures)

snapchat//phan (Français)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant