AGAMUS

chapitre 14 - dernier chapitre

Chers vous,

Voici la fin d'Agamus

J'espère que cette petite histoire vous a plu...

Le titre AGAMUS est juste une traduction de célibataire ou non marié en latin

Je ne connais pas très bien le fonctionnement de wattpad, mais pour TOUS CEUX QUI M'ONT LAISSER UN PETIT MESSAGE ET/OU ON VOTE POUR CE TEXTE... si vous souhaitez l'avoir complet, je vous invite à me laisser un MP avec votre mail

Forcement, je détiens les droits d'auteur de cette histoire et demande à ce que ce scribouillage ne soit pas diffusé sur les site de partages...

Je ne vends pas, je ne suis pas éditée... C'est un choix personnel ! 

J'écris avant tout  pour mon plaisir . Vous me direz, eh bien, pourquoi ne pas partager ? La raison est simple : je ne vois pas pourquoi certains qui ne ne prennent pas le temps de laisser un message ou de voter devraient avoir un texte (avec couverture et tout et tout...), alors que d'autres membres de cette même communauté   prennent le temps d'écrire un encouragement, une critique, un simple merci et/ou on voté pour cette histoire.

En attendant, je vous souhaite une bonne lecture...

PS : ce chapitre comporte une scène à caractère sexuelle MM, pour public averti....

Chapitre 14

AHARON

Vous vous souvenez, quand j'ai commencé à vous raconter mon histoire ?

Du pathétique au grandiose, il m'a fallu du temps. Ce temps est révolu.

Mais revenons à ce moment grandiose.

Il était venu me déclarer sa flamme. J'en suis tellement resté abasourdi, que je suis resté aussi muet qu'une conne de carpe. Et puis, ma maudite bouche, je l'aurais baffée, a déversé toute ma rancune, ma colère, ma rage. Je voyais bien que plus je lui assénais une rafale de fiel, plus il se décomposait. Mais j'étais incapable de m'arrêter. Les digues de ma rancune avaient explosé.

Puis, il est parti. Sorti de mon appartement. De ma vie.

Je n'ai pas tenu bésef*, et je dois avouer que c'est la chose la plus intelligente que j'ai fait depuis longtemps. Le silence oppressant qui avait envahi mon appartement me rendit fou. Pour la première fois de mon existence, je compris ce qu'était la solitude. J'englobai des yeux mon appartement. Nickel, bien rangé, quelques trucs qui traînent ici et là. L'appartement d'un célibataire.

Je ne sais pas ce qui se passa à ce moment-là. Contempler cet appartement si vide de toute vie à deux. Je me suis senti misérable. Et ce sentiment me paniqua.

Merde quoi ! Est-ce que je vais laisser ma rancune gâcher ce début d'histoire ? Cette pensée eut l'intelligence de me galvaniser. Je me précipitais à la fenêtre. Il était en train de traverser le trottoir, se dirigeant vers son véhicule, tête baissée.

- AXELLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLLL

Il sursauta et se retourna brutalement. Levant les yeux, il me vit.

C'était à mon tour. Une étincelle de fierté tenta bien une incursion dans mon esprit affolé, mais je la balayais sans aucun remord. L'heure n'était plus à l'amour-propre, mais à l'amour tout court.

Nos regards s'affrontèrent. Je l'implorais. Silencieusement. Apres un moment d'hésitation, qui m'a paru durer des heures, il avança vers mon immeuble. Je lâchais mon souffle, que je n'avais même pas eu conscience d'avoir retenu.