Fuir. Cette pensée obnubilait Colette.
Elle ne voulait pas mourir. Son esprit lui disait de fuir, mais la vue de cette potence la ramenait à la réalité.Ses mains liées dans le dos lui faisait mal, ses pieds étaient gelés dans ses chaussures, elle avait mal, froid, peur.
Elle voulait tant recouvrer sa liberté d'autrefois, le temps de sa jeunesse, avant la guerre, où elle était encore une jeune fille insouciante et non pas une criminelle promise à la mort...
Elle était maintenant face au mur en brique devant la cour du village, - ce même mur où petite, elle avait dessiné à la craie avec des amies - ses mains été toujours fermement liées dans le dos, et ses yeux étaient clos. Elle pensait à sa mère, à son père, à toutes ses personnes qui allaient mourir sous les balles... Elle pensait à elle, à ce qu'elle aurait pû faire de son futur, elle voulait se marier, avoir des enfants, voyager et rire !
Or, ses perspectives d'avenir allaient s'arrêter là, elle allait mourir fusillée, à 18 ans tout juste...-Vorhanden Waffe ! Hurla le supérieur.
Les larmes de Colette lui montaient aux yeux, elle voulait crier, s'enfuir, vivre.-Ziel ! Aboya t-il, et un petit clic se fit entendre.
Non elle ne voulait pas mourir, pas maintenant, pas comme ça.-Feuer ! Cria t-il comme un mécanisme, une détonation puis un souffle se firent entendre...
《Voilà pour ce chapitre assez court mais plutôt direct. Merci aux quelques personnes qui votent pour mon histoire, j'espère avoir bientôt des commentaires pour me dire les améliorations à effectuer.
Il y a certainement beaucoup de fautes, mais c'est un premier jet et je corrigerai tout par la suite.Pensez-vous que le fait que Colette prie dans le chapitre précédent soit le signe qu'elle va mourir ? Qu'adviendra t-il de sa mère et de son père ? ...Et la petite Sidonie ?
Dites moi ce que vous pensez du personnage de Colette, la trouvez-vous plutôt forte, nostalgique, pensive ?
En espérant que cette histoire vous plaît.》
VOUS LISEZ
Le prix de la Liberté
أدب تاريخيComment connaître le bonheur lorsque notre esprit ne vit qu'au son du travail et de la peur ? Comment rêver dans un monde dénué de sens, où le sourire n'est plus, alors que la violence à pris le dessus ? Comment Colette, fragile symbôle de l'innocen...