[2] « À L'ENCRE DE NOS MÉMOIRES »

«cinquante-deux

Aïcha, Djibril et Maya étaient partis à l'hôpital pour la journée, afin de tenir compagnie à Jennah.

J'étais dans la cuisine pour préparer le repas de mes petits princes.
Maintenant ils pouvaient manger des petits légumes.
Je mixe plusieurs légumes ensemble et leur prépare un bon petit repas.

Ajay fait manger Tajar tandis que moi je fais manger Adîl.
Le cadre familial que nous formions était magnifique.
Qu'est-ce que je les aimait.
Puis, nous avons installés Adîl et Tajar dans leur parc.

On s'est mit un film.

« Ça avance pour la maison, à la fin de la semaine on peut commencer à s'y installer !

- Oh vraiment ? Trop contente Ajay, merci! Merci à tes parents

Il se contente de me sourire

- Et aussi, deuxième bonne nouvelle ! Demain j'ai rendez-vous dans un garage automobile, le fils d'un ami de mes parents veut bien me prendre pour un CDD pour le moment, je m'y connais bien en mécanique donc voilà

- Oh parfait, j'espère qu'il va finir par te prendre en CDI et moi je reprends mes études normalement dans quelques mois

- T'oublies que ta ma descendance en toi ?

- Justement ! C'est pour ça que j'attends!

- Au fait, si c'est encore des jumeaux je te quittes ! rires

- Essaye !

- Tu sais très bien que je n'y arriverai pas

Je lui souris

- Je t'aime, t'es la femme de ma vie, la mère de mes enfants

Je m'approche de ses lèvres et l'embrasse.
Il me bascule sur le canapé, m'allonge sur dos, s'installe au dessus de moi et me sourit.

- Je pourrais te faire des milliers d'enfants, là tout de suite maintenant, rires

Il caresse ma longue chevelure et dépose quelques long baisers chaud dans mon cou.
Nos respirations s'accélèrent, je l'aime, je l'aime, je l'aime !

Il passe sa main sous ma tunique et me caresse le ventre en descendant ses baisers vers le bas.

- Ajay... je... y'a les jumeaux !

Il se redresse, m'embrasse le front.

- J'ai faim, prépare quelque chose non ? »

Je m'exécute aussitôt, c'est vrai que mon ventre gargouillait aussi

. J'avais horriblement envie de poulet mais bizarrement en sortant les cuisses du congélateur, elles m'ont dégoûtés et je suis allé immédiatement au toilettes pour vomir.

Je sens une présence me tenir ma longue chevelure qui venait s'interposer sur mon visage, Ajay me tient les cheveux puis se met à rigoler.

On décide alors de manger à l'extérieur, dans un petit restaurant pas loin, aux spécialités italiennes en prenant nos deux petits princes.

Ce fut une superbe après-midi pour une fois entre nous.

Une fois qu'Aïcha, Djibril et Maya sont rentrés, nous leur avons racontés toute notre journée ainsi que nos nouvelles.