chapitre 23

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Aujourd'hui je passait la journée seule avec ma fille. Cela fesait tellement longtemps que je n'avait pas passée de temps seule à seule avec l'être que j'avais mis au monde.

Mon allure un peu échevelé était identique à celle de ma fille, qui se promenait avec son verre à bec rose pendant que je fesait la vaiselle.

Je termina d'infuser mon thé sucrerie pour en faire un latté. Je m'étendit au près de Darcy, qui avait arrêté de se prommener et qui essayait de se positionner par rapport à mon corps.

Moi- La mia bella?

Darcy- oui?

Moi- Maman, doit te dire quelque chose de très important.

Darcy- eze que c'est grave?

Moi- Non, juste un peu différent.

Darcy- quoi?

Moi- Il y a des bébés dans mon ventre.

Darcy- MAIS QU'ES CE QU'ILS FONT LÀ!!!

Ma fille avait une voix tellement aigue qu'elle était, dans certain moments, à peine audible. Dans un étonnement comme celle qu'elle avait eu aujourd'hui, ça voix avait été claire et forte. Je me laissa sourire puisque son commentaire était plutôt drôle et je lui passa ma main dans les cheveux avant de lui expliquer les chose comme elles sont.

Moi- Je les protèges pendant qu'ils grossissent mon amour, parce que maintenant il sont trop petits. Un bébé prend neuf mois à devenir assez gros pour être en vie.

Darcy- Donc, si je comprends bien, si ils sortent les gens vont marcher dessus et eux ils vont toujours se briser.

Moi- eh... Non, mais oui, tu vas comprendre quand il va arriver. Bientôt, on va aller ensemble parler des bébés avec quelqu'un.

Darcy- mais comment ils sont arrivée là?

Moi- quelqu'un ma donner quelque chose de spéciale, qui à donner un bébé.

Darcy- Et bien cette personne... Elle est vraiment gentille.

Moi- Je sais...

C'est en répondant à son commentaire que je me suis rendue compte que Harry m'avait rendue service et que sans lui, je n'aurais jamais eu ma fille et que malgré se qu'il m'avait fait, il n'avait donnée une vie.

***

Le téléphone sous mon oreille émettait un son simple qui me rendait pourtant intensément nerveuse. Je jetta un coup d'œil au bout de cartons posé devant moi.  Une bruit était émis par l'autre partit de l'appareil qui avait été enclencher par une seule touche verte.

Moi- Est-ce que tu est disponible aujourd'hui, je veux bien que tu l'a voie, mais...

??- Eh, Harry est dans le douche... Mais nous allés à le restaurent in the soirée. (avec un allemand difficile.) 

Moi- oh... eh, i am sorry. Can you told him about Pheobe Blewson.

??- oh, sûre. Are you sleeping with him?

Moi- Not actually. Like almost tree years ago.

??- Why are you calling him?

Moi- Eh... Can you just told him that i call?

??- I will, but... you dont have a thing, right?

La question à se moment est... est-ce que Darcy compte comme "a thing".

Moi- No, we don't just something in the past.

??- well, that's great...

Alors que j'allais mettre un terme à notre conversation,  un bruit de porte retenti, je fit demi tour pour m'assurer que Darcy était toujours en mode sieste dans sur le sofa. La voyant sommeillé, je conclue que le bruit venait de l'autre côté du fil. 

??- Wait, Harry it's for you. 

Harry- Oh... great, Ah.... Can you give me the phone babe?

Et c'est à se moment que la pression monte.

Harry- Hi? Who...

Moi- Harrold, c'est moi, Pheobe.

Harry- AH, bonjour Pheobe.

Moi- Salut...

Silence malaisant.

Harry- J'imagine que tu m'appelle pour me parler de Darcy?

Moi- Eh... oui.

Harry- combien?

moi- je ne veux pas d'argent, je veux que tu rencontre ta fille!

Harry- Je ne m'y attendais pas... Combien de... quand?

moi- n'importe quand.

Harry- Je peux passer?

Moi- maintenant?

Harry- Oui?

C'est à se moment que je lui mon adresse et sans même le vouloir, je lui avait ouvert la porte de ma vie privée. Je commença à me préparé mentalement sans totalement tout prévoir, les images de ma  vie suspendue au mûrs, les couvertures étendue partout, les draps de mon lit défait, la lumière tamiser, rien à voir avec un lieu de première rencontre.

Il entra quelques temps plus tard. Son regard croisa Darcy qui avançait vers nous. Je n'avait pas envie de décodé les émotions derrière la façade de ses yeux. Je m'était déjà enfuit de la réalité porter par ses yeux qui m'avait fait vivre autant d'amour lors de notre passée compliqués.

Je n'avais aucun n'autre choix que de ressentir la détresse de mon cœur que je refusait de voir s'emballé de nouveau. 



La fille du coach (Fanfic)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant