chapitre 18

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Deux ans. Deux ans que je ne l'avait pas vue. Deux ans que j'élevait notre fille. J'avait déjà passer plus de temps sans lui que j'en avait passer avec lui. Mais l'année que j'avais passer avec lui avait tout changer, à tout jamais.

Un lourd dossier frappa le comptoir, m'échappent de mes pensées. La femme, dans la jeune cinquantaine, me souffla sagement une offre à laquelle je répondit en allemand. Une langue ronde et grave.

Durant les deux dernières années, j'avais été, Maman. La mère de Darcy Styles, qui était aujourd'hui une petite fille qui marchait et parlait, à défaut de faire les deux simultanément. Une petite blonde, avec les frisous de son géniteur. La totalité de ses bouclettes n'était pas la seule chose qui me rappelait de son père chez elle, j'y voyais aussi c'est beau grand yeux vert émeraude.

Pour ma part, j'était devenue commis dans une petite boutique hipster où j'était également interprète en anglais et en français et où ma relation avec les trois autres commis était la plus parfaite des parfaite. Après 18 mois à habité la charmante petite maison de ma famille d'accueil, j'avais trouvé ce job et emménager avec une l'autres fille qui y travaillait, Ema.

Notre appartement, sobre et chaleureux, ne composant pas particulièrement de pièce fermer, se situait sur la trente quatrième avenue.

J'avais une vie, juste pas celle que j'avais espérer.

À la fin de ma journée de boulot, j'avais plier bagage vers chez moi. Mon large sac à main sous le bras et mon latté au pain d'épice à la main. Le ciel tombais magnifiquement en neige sur mon long mentaux noir et le bout de mon nez. Quelque chose de plutôt rare, de la neige dans ma ville de Bonn.

J'était impatiente de rentrer à la maison, prendre mon bain et m'engloutir sous mes draps pour écouté un film avec ma petite, rester au lit de longue heure et allé souper avec ma famille allemande.

J'entra dans cette petite garderie stylé et me rendit à la réception pour remettre mon chèque pour les mois à venir qui n'était pas encore couvert. Elle me remercia et poursuivit en m'indiquant la route vers la pièce ou je me dirigeait à toutes les soirs depuis près de quatre mois. La même pièce dans laquelle je l'avait laisser à la fin du dîner.

Moi- Darcy, mon amour!

Darcy- Maman?

Elle se releva de sa mini chaise et vint me rejoindre en courant, me racontant sa journée, avant de commencer à perdre l'équilibre. Je lui tendit mes bras pour la rattraper en la serrant dans mes bras comme preuve d'amour.

Moi- On va aller mettre notre manteau et nos bottes, ok mon amour?

Darcy- Oui maman.

Je traîna mes bas gris à coeurs sur le sol de bois de la garderie, ma main jointe à celle de ma petite fille.

J'enfila rapidement mes longues bottes de cuire et me pencha gracieusement pour ne pas laissé voir ma culotte sous ma petite robe.

Darcy- maman? J'ai aussi fait un nouveau z'ami. Il s'appelle Tom.

Moi- chérie, c'est bien intéressant ce que tu me raconte, mais on est entrain d'attacher notre manteau pour ne pas avoir froid sous la neige.

Darcy- Il neize!? On va zoué?

Moi- Darcy, ton manteau.

Darcy- à oui! Zé vrai!

Elle passa ses bras dans son manteau et joint les deux partie pour que je les attache. Je la pris et nous nous dirigeâmes Vers l'extérieure.

Je la plaça dans son banc d'enfant après avoir rejoins ma voiture. 

Afin arrivée dans cette chaleureuse maison dans laquelle j'avais passée plusieurs mois. J'y respirais l'aire agrémenté par l'odeur de la nourriture qui patientait au coeur du four. Le souper se déroula à merveille.

Arrivée à mon appartement, je revêtie mon pyjamas qui se trouva être un t-shirt court et un jogging calvin klein. Ensuite, j'aida Darcy à mettre le sien.

On s'installa sur la sofa, Ema patientait sur son cellulaire à nos côté et me montra des photos de mannequin présent dans sa revue. Ma progéniture, installer dans sa couverture sur moi, commença à s'endormir devant Sherk. 

Elle tomba sur une page qui me perturba. Malgrés tout j'avais passé des mois en m'endurcire pour les voir sans émotion, mais la vérité restait, l'homme qui n'avait donné ma fille était une vedette mondiale.

Ema- lui! On l'habille lui! Là semaine prochaine.

La fille du coach (Fanfic)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant