Quelques semaines plus tard...
Mon cellulaire sonna comme à la même journée toutes les semaines depuis, ça... Harrold avait encore fais exactement la même chose et je n'aurais tellement pas dû, lui faire de nouveau confiance.
Flash-back...
Il la regardait depuis un bon moment. J'imaginais que se fut assez un long moment pour réfléchir à ce qu'il était entrain de faire. Son regard changea de tendre à... en fait je ne savais pas quoi. Puis il me regarda, recula de quelques pas. Je me résigna à lui demander comment il allait. Dans une simple phrase, il ne dit pas la réponse que je ne voulais entendre.
Harry- J'aurais peut être du laisser ça derrière... Je suis désolé... Je ne suis pas prêt s'était une mauvaise décision, ce n'était pas digne d'un homme... Je... au revoir.
Et la porte avait claquer, il était ressortit aussi vite qu'il était entrer. et depuis il m'appelais 2 fois par semaines, j'imagine que ce qu'il souhaitait était une réponse. Mais c'était plutôt ce que moi je voulais.
Fin du flash-back...
Darcy avait également frapper son terrible two. Elle était tellement de travail, tout sa en quelques semaines. Aujourd'hui, je crois bien avoir pris ma décision, je ne dit pas que je ne la regretterais pas, mais je devais le faire pour assurer une sécurité à mes enfants.
J'attendais anxieusement que qui que se soit prononce mon nom. Je ne voulais pas plus penser pour avoir le temps de changer d'idée, la raison devait emporter sur le coeur.
Pheobe Blewson, je n'était frenchement pas assez préparer pour ça. Mais qui peut vraiment se préparer à quelque chose de tel? Qui peux vraiment se préparer à perdre un combat même pas commencer?
La première choses faite fut de me faire bombardée de question, comme si on voulait que je sorte par la porte ou j'était entrée sans même mettre posée sur la chaise.
Mais se n'était pas se que j'allais faire. J'allais me faire respecter.
Le respect se traduit mal, assise sur une chaise d'hôpital les cuisses inconfortablement trop ouvertes. L'écran de l'autres côté était incontestablement impossible à regarder. La dedans, des petites vies en devenir se décrochait semi facilement pour disparaître de là.C'est dans se moment, où je pleurer trop, mais pas excessivement, que le technicien informa le medecins, qui lui me demandais si je voulais arrêté, ce que je continuais de refuser. Parce que je devais assurer la sécurité de la famille que j'avais déjà.
C'est seulement bien longtemps plus tard que le génécologue mis fin au suplice, avec seule paroles, c'est fini.
C'était à moi, de me convaincre tant bien que mal que j'avais fais preuve de courage et que ce n'était pas du simple égocentrisme.
Doc- vous avez quelqu'un pour rester près de vous?
Moi- oui, mon ami va me porter à la maison.
Doc- Et chez vous, vous êtes seule?
Moi- non, j'ai une colocataire.
Doc- Donc,!
La liste de recommendation fut longue mais fini par se terminer. Et c'est Alex qui arriva et me transporta jusqu'à chez moi, où je pria Ema pour coucher la petite par elle même et partit m'effondré dans mon petit lit double.
***
Je me réveilla au beau milieu de la nuit avec une grande douleurs au ventre. Le haut de mes jambes était humide. Je partie à la recherche de mon cellulaire sous mes draps fleurie. Je mis la main sur mon téléphone et le sortit. À ce moment je paniqua. Ma main était recouverte de sang.
Moi- Ema!
Je retira ma couette et ragarda l'énorme quantité de sang que je venait de verser. C'est à ce moment, que Darcy ce réveilla. Je me retrouvait avec la gestion de ma fille quand je n'arrivait même pas à gérer mon stress.
Moi- Non, ça va mon bébé, maman va bien.
Je posa ma main sur son n'épaule et elle se recoucha immédiatement.
Moi- Ema!
***
J'était finalement arriver à l'hôpital, coucher sur un grand drap absorbant et une médication planter dans mon bras. Quelques secondes plus tard je réussit à parler à un docteur.
Doc- Vous faites actuellement une émoragie utérine, on doit opérez. Écoutez, je ne passerais pas part quatre chemin, je ne crois pas que le pouvoir de la médecine puisse sauver le bébé.
Et la dernière chose que je puissent faire durant se profond moment de panique fut de pleurer. La vie venait de trouver le moyen de me faire regrettée d'avoir empêché mes enfants de venir au monde.
VOUS LISEZ
La fille du coach (Fanfic)
Fanfic"we have a choice; to live or to exist" Harry Styles. C'était dans mes plans de le retrouver , pas le trouver lui. Mais si je ne l'aurais pas trouver lui, elle n'aurais jamais exister. Fanfiction avec One directions connue.