Partie 3: Une lueur d'espoir?

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Après cet épisode malheureux, et une fois que le village fut calme, je sorti du lit et commençai à marcher jusqu'au village voisin où je demandais de l'aide. J'étais la seule survivante de ce massacre et très vite, je fis la une des journaux du pays. 

 Je leur donnais donc le nom de la sœur de ma mère que je n'avais pas connue mais dont ma mère me parlait tellement. Elles ne s'étaient pas revues ou reparlées depuis ma naissance, je ne savais pas exactement pourquoi car ma mère ne voulait jamais s'étendre sur le sujet, mais je savais qu'elle l'aimait beaucoup. C'était la seule famille qui me restait. C'était la sœur de la femme que j'aimais le plus au monde et qui m'avait aimé au-delà de tout ; elle ne pouvait que m'aimer et vice-versa. 

La réalité n'aurait pas pu être plus brutale. 

J'ai rapidement compris que ma mère et sa sœur étaient complètement différente. Elle me détestait autant que ma mère m'aimait. Elle haïssait et méprisait mon père et elle m'en voulait d'être venue au monde. Du haut de mes 8 ans je ne comprenais pas tout ce qui m'était reproché ni pourquoi. 

J'étais seule, perdue et effrayée. 

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