~ Le dictionnaire définit le chagrin comme une intense souffrance mentale ou une détresse due a une peine ou une perte, une douleur aiguë, un douloureux regret. ~
Lui - Qu'est ce que tu fais ?!
Quand il avait prononcé ses mots j'avais sursauté, et je commencé a tremblé comme une feuille. J'avais la tete baissé sur ma valise les yeux rempli de larmes, mais je le sentais s'approché de moi.
Lui - Je t'es parler !
Moi - Sale violeur ! Espece de batard ! Conard ! Fils de pute !
Je lui avait crier toute sorte d'insulte et il arriva a ma hauteur je lui donner des coups sur son torse de toute mes forces j'y mettais toute ma haine. Je le gifla meme, je m'étonnais meme pas force.
Il me regarda avec un sourire, et me prit dans ses bras sans que je comprenne. Il doit avoir des problemes psychologiques ce n'est pas possible.
Il me regarda un long moment toujours avec son sourire et me jeta sur le lit et se mit rapidement sur moi.
Lui - Tu continues on dirait que tu n'as pas compris, ou alors tu es vraiment une pute et tu en redemande ?
Il m'avait soufflé tout cela a l'oreille pendant que j'essayer de me debattre. Et voila encore qu'il faisait ce qu'il avait a faire sans que je ne puisse faire quoi que ce soit. J'etais a bout, j'etais vraiment fatiguée, je n'arrivais meme plus a reflechir, j'etais comme une pierre en dessous de son corps.
A force de pleurer, j'avais le nez bouché, les yeux gonflé et j'en avais mal a la tete, mais lui etait toujours sur moi. Je ne pleurer plus mais c'etait comme ci mon ame etait sortie de mon corps, je ne sentais plus rien, je fixais simplement le plafond.
Il retomba a mes cotés et se leva directement pour sortir de la chambre.
Moi ?
J'etais rester la a ma place a fixer le plafond vider de toute emotions.
J'etais rester comme ca jusqu'au matin, j'apercevais la lumiere du jour qui entrer par la fenetre. Je pris une grande inspiration et me leva enfin du lit. J'etais toujours comme une zombie sans vie. Je pris une douche mais mon esprit etait toujours ailleurs, loin dans un vaste néant noir.
Je pris ma valise, mes clés et quitta la maison, je ne pouvais rester ici plus longtemps. Mais malheureusement pour moi il m'avait rattrapé dans les escaliers et avait prit ma valise de force et m'avais pris violemment le bras en me tirant pour que je rentre.
Je crier tout en me débattant, je ne pouvais pas remettre les pieds dans cette appartement apres ce qu'il m'avait fait. Il montrer son vrai visage et ce coté obscur de lui ne me plaisais pas.
Je continuer a crier et j'aperçu ma voisine de palier sortir sa tete, elle s'approcha de nous.
Elle - Tout va bien ?
Mouss - Ce n'est rien, j'essaie de la retenir car elle veut partir, mais c'est ma femme et je ne peux pas la laisser partir. Ne vous en faites pas !
Il se retourna et me fit un regard qui me figea sur place. La voisine me regarda avec un regard de pitié et remonta chez elle. Je savais tres bien qu'elle continuerai a nous regarder depuis le judas de sa porte pour savoir si on aller rentrer ou non.
Mouss me porta comme un sac a patate, j'en profiter pour lui donner de nombreux coups dans le dos avec mains, ou alors avec mes jambes, mais on dirait que ca ne lui faisait rien. Il me posa sur le canapé et ferma la porte a clé.
Je pleurer et continuer a crier toute les insultes du monde envers sa personne. Il s'avança vers moi et me gifla, puis il commença a me ruer de coups.
Coups de poing, au visage, au ventre, sur les cuisses, il frapper vraiment chaque surface de mon corps avec une telle force que mon corps trembler, chaque coups qu'il me donner etait comme ci on me poignarder. J'avais extrêmement mal, mes larmes couler et a chaque coups qu'il me donner je crier.
J'avais l'impression que mes os se briser un par un, a chaque fois qu'un de ses membres se posé sur moi.
Il disait des choses que je ne comprenais pas a cause de la douleur que je ressentais.
Il se levais de moi apres des minutes qui etait pour moi des journées, il me regarda avant de me cracher dessus et de partir de la maison. J'entendais les clés se tourné dans la serrure, il m'avait enfermé.
J'essayais de me relevé mais j'avais tellement mal au jambes et au bras, j'avais du mal a me soutenir sur mes bras pour me relevé. J'avais enfin reussi apres de longue minutes d'acharnement sur mon mentale et j'allais directement dans ma chambre ou je m'endormie directement sans pourvoir penser a quoi que ce soit.
Je ne sais combien de temps j'avais dormi, mais quand je me reveillé le soleil etait deja couché depuis longtemps et je pouvais apercevoir depuis ma fenetre quelque etoile.
J'avais un mal de tete horrible, on dirait qu'on était entrain de m'enfoncer des centaines de clous en meme temps.
J'essayais de me relever mais d'un coup je fus prise par un courant dans le corps, je frissonna de la meme occasion. J'avais mal extrêmement mal a tout mon corps. Je touchais mon visage et senti les bosses et les blessures.
Ca faisait deja un moment que j'etais allongé sans vraiment penser, je voulais que mes larmes sorte mais je pense avoir épuiser le stock d'eau dans mon corps.
Je n'avais rien avaler depuis la veille et pourtant je ne ressentais pas la faim. Enfin mon corps etait affaibli, lui voulais ce redonner de la force mais mon esprit ne penser pas a ca.
Il fallait que je parte d'ici. Que j'appel mes parents.
Je me levais avec beaucoup de difficulté il fallait que je préviennes mes proches, il pourrait m'aider et je divorcerai de cette homme.
Je n'avais que ca en tete trouver mon portable.
J'avais presque retourner la chambre malgré la douleur que me procuré mon corps, mais je ne l'avais pas trouvé, j'ouvris la porte de ma chambre en faisant attention a ne pas faire de bruit au cas ou, ou il serai la mais il n'etait pas dans la maison.
Je pris le fixe mais sa ne fonctionnais pas. Il avait etait tres malin et avait couper le fil du téléphone. Je n'y crois pas, j'ai épouser un psychopathe ! J'essayais d"ouvrir la porte d'entré mais elle était fermé et il avait pris les clé et les doubles avec lui...
Comment je vais faire... Je ne peux pas rester ici...
VOUS LISEZ
Sabr : La force d'une femme
RandomPatience... & Force... Mes seuls armes. SABR : la force d'une femme Date de creation : 29/10/16 Aucun plagiat ne sera toloré ! Plume_Orientale.