鬼滅の刃 | 𝐊𝐈𝐌𝐄𝐓𝐒𝐔 𝐍𝐎 𝐘𝐀𝐈𝐁𝐀
𝘒.𝘔𝘶𝘻𝘢𝘯
Le monde fait d'amour et de bonté auquel elle aspirait s'avère être un véritable enfer. Coincée au travers des griffes du démon qu'elle croyait être Dieu, Amanai suit les traces de Muzan s...
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Elle ne lui laissa pas de répit. À peine entré au salon, Tamayo s'était jetée sur son maître agrippant fermement, la manche de son kimono. Avec laquelle, celui-ci la propulsa, pour toute l'aversion qu'il lui portait. Le contact physique avec son excellence ne devait être fait qu'en son accord, or là, il avait été enfreint.
Tamayo avait appréhendé le moindre de ses mouvements ainsi que sa réaction précieusement anticipée, il fallait dire qu'elle devait user de la ruse pour parvenir à approcher Muzan, et ça, de plus près.
" Qu'est-ce qui te prends. "
" Vous devez être fatigué maître ? N'est-ce pas mon devoir de vous aider à décompresser ? "
Ses petits yeux plissés accentuaient l'expression qu'elle arborait. La réaction inattendue de Muzan fut qu'il resta figé face à ce dilemme qu'était, l'ignorer ou se laisser approcher. L'entrée d'Amanai dans le salon rendait la tâche d'autant plus compliquée pour Tamayo qui connaissait parfaitement les goûts et les couleurs de Muzan.
De plus, si ils avaient couché ensemble comme elle l'entendait, il était évident qu'il la délaisserait pour rester avec sa préférée, pourtant, il restait bien là. S'installant même au creux de son canapé.
" Vous ne serez pas déçu maître... ma présence ne pourra que vous lénifier. "
" Je l'espère bien. "
Muzan se prêtait au jeu, pour le plus grand bonheur de Tamayo, qui n'avait espéré pas mieux que cela. Son corps fut instinctivement attiré par lui de par les hormones bouillantes qui le constituaient. Ses mains rencontraient premièrement le creux de ses épaules, rejoignant petit à petit, l'arrière de sa nuque.
Sa peau était si brûlante qu'elle s'y laissait s'assoir au-dessus, au milieu de sa cuisse, qu'il avait très vite écarté pour qu'elle y prenne place. L'échange était assez mutuel pour qu'il agisse de son plein gré, facilitant la tâche à Tamayo d'assouvir ses désirs comme elle l'entendait.
" Désirez-vous quelque chose de particulier, maître ? "
" Impressionne moi. " Lui ordonnait-il.
Une double pression s'emparait d'elle face à un tel cas. Pas une pensée, ni même un espoir ne devait la traverser, puisque si proche de lui, il pouvait tout entendre. Le contact de ses yeux était si intense qu'elle ne pouvait soutenir un regard de plus, finissant par baisser les yeux, de peur ou plutôt d'effroi.
