Chapitre 4

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PDV: Iris Warwick

Je me réveillai à cause d'une raffale de coups sur la porte. Je me levai en traînant des pied et ouvrit la porte. Mon oncle se trouvait devant celle ci.

-Iris dépêche toi il est onze heures et Ryder préférai que tu soit prête pour quatorze heures.
-Je pars aujourd'hui? Demandai je.
-Oui aller bouge. Dit il en ébouriffant mes cheveux.

Je soupirai et choisi mes affaires. Un short noir et un haut blanc avec un perfecto en cuir noir. Je me tressai les cheveux sur le côté et descendis vers onze heures trente.
Mon oncle parlait avec d'autres loups en dehors de la Maison. Tana m'accueillie avec un bon petit déjeuner.

Vers midi j'ai été faire mon sac histoire d'être prête.
Ryder lui je ne l'avais pas vu de la matinée. A treize heures trente on pris le déjeuner au self et une patrouille de la meute revint quelque peu énervés. L'Alpha les pris à part et discuta du problème. Quatorze heures c'était l'heure. Je descendis mon sac attendant Ryder à la porte. Je le vis descendre sans bagage.

Il me salua en effleurant mon front du bout des doigts et j'en eu un frisson. Il fit la même chose à d'autres loups. Il me fit signe de le suivre. On monta sur un quad bleu, noir et blanc. J'enroulai mes bras autour de sa taille et il démarra l'engin. Je m'agrippai un peu plus en collant ma joue à son dos -que je pouvais deviner musclé-.

Je vis une voiture de police nous suivre en nous faisant signe de nous arrêter.

-Accroche toi. Dit Ryder.

Je le serrai un peu plus encore contre moi et je sentit ses muscles se contracter. Il accéléra d'un coup semant la police. Je me mis à rire. On arriva face à une forêt et il s'arrêta. Il marcha devant et je le suivis jusqu'à un petit chalet. On entra et j'admirai la décoration en faisant des petits commentaires. On monta les escaliers et il me montra la chambre. Je m'assis sur le lit et il me regarda.

-Tu es libre de faire se que tu veux dans la maison tant que tu ne viens pas dans ma chambre. Dit il.
-Oui bien sûr pourquoi je viendrais?
-Ça c'est à toi de me le dire le jour où tu entrera. Et il partis.
-Attends! Je vais chasser tu veux venir?
-... Non merci ça ira. Ton épaule va mieux?
-Oui c'est bon.

J'haussai les épaules et partie dehors. Je retirai mes affaires et couru lorsque je tombai sur un loup -un vrai loup gris- blessé à la patte.
Je repris forme humaine et emprisonnai sa patte entre mes mains. Je fermai les yeux et je sentis une vague de chaleur venir de mon cœur pour se répendre dans mon corp et aller dans celui du loup. Lorsque je rouvris les yeux me loup était guéri. Il me lécha la main et repartit en trottinant. Quand à moi je repris la chasse.

Au final je n'ai tuer qu'un cerf. Je m'étais rhabillée et je traînai à présent le cadavre de l'animal. Je le ramenai dans le chalet et le déposai dans la cuisine. Il commençait à se faire tard. Je découpai le cerf et ne gardai que les parties les plus tendres. Je fis une assiette à Ryder que je montai après avoir manger la mienne. Je toquai à sa porte et je n'eu aucune réponse.

-Ryder?

Rien. J'entrai ma tête dans l'entre bâillement de la porte.

-Ryder je t'ai apporter à manger... Tentai je.

Rien. Lorsque je me tournai je me cognai contre un torse. Je reculai et fis face à Ryder. Il me fit comprendre qu'il n'était pas vraiment content.

-Je t'ai apporter à manger. Dis je timidement en tendant l'assiette.
-J'ai pas faim. Et il jetta le plat à terre.

Je me retenai de ne pas lui faire la morale et descendis dans le salon. Je vis une armoire pleine à craquer de DVD j'en choisi un et le mit dans le lecteur CD. Je ris beaucoup et je sentis le fauteuil s'affaisser de l'autre côté du canapé. Je ne levai pas les yeux pour deviner que c'était Ryder qui c'était assis à côté de moi.

Six jours passèrent comme ça. On s'évitait le plus possible. Je faisais à manger et il se débrouillait par la suite. Et tous les soirs je l'entendais casser des choses dans sa chambre. Je n'y pouvais rien. Se soir j'allai me coucher en la pleine lune était après demain. Je ne l'avais jamais vraiment subit puisque Madeleine et Martine s'arrangeaient pour m'enfermer dans une pièce bien isolée. Nous pouvons subir les effets de la pleine lune seulement à la majorité soit cent ans.
Je me mis en sous-vêtements et me mis dans le lit.

Il devait être minuit lorsque je me réveillai à cause de cris. Ceux de Ryder. Je restai allongée dans mon en essayant de penser à autre chose mais rien n'y faisait et les cris persistaient. J'entendis un bruit sourd comme quelqu'un qui tombait du lit. Trop c'est trop. Je me levai du lit après avoir enfiler un jogging et un t-shirt manche courtes. J'allai devant la chambre de Ryder et frappai à la porte.

-Ryder? Rien juste des cris. Ryder? M'inquiètai je.

Je rentrai en furie dans la chambre et ne le vis pas. J'allumai la lumière et vis la chambre sans dessus dessous. J'esquivai les bouts de verres et allai derrière le lit. Je vis Ryder qui cauchemardait en frappant dans le vide et en se coupant dans les débits de verres. Il ne portait pas son casque juste un bandage qui recouvrait la partie droite de son visage.

Je m'agenouillai face à lui et éloignai les bouts tranchant pour prendre la tête de Ryder et de la poser sur mes cuisses. Il leva sa main et aggripa mon bras et de son autre main il attrapa le t-shirt dans le dos. Je carressai ses cheveux brun. Il se redressa après de longues minutes et me regarda.

-Ne dis rien. Je sais je n'aurais pas dû entrer mais je...

Il posa sa main sur mon épaule.

-C'est n'est rien.

Je lui sourit et l'aida à se lever pour le mettre sur son lit il s'assit et enleva son haut.
Il retira quelques bouts de verres en grimaçant.

-Tu peux... commença t'il.

Je ne lui laissai pas finir sa phrase et je me mit au travail. Une fois les petits débrits retirés de sa peau celle ci se referma ne laissant aucune trace. Il se tourna enfin vers moi et me regarda de son œil visible.

-J'ai une question à te poser Ryder. Dis je.
-Je te dois bien ça non?
-Est ce que... Ton œil sous le bandage. Est il encore valide?
-Oui il l'est. J'ai un service à te demander dit il m'a à l'aise.

Je penchai légèrement ma tête pour lui faire signe que j'étais toute ouïe.

-Tu... tu pourrais rester... enfin après ce qu'il s'est passé...
-Eum... Oui... si tu veux...

Je me mis sous les couvertures et m'endormis sous le regard de Ryder.

Masqué [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant