PDV Soma
Encore une fois, je me concentra et fit apparaître une boule de feu dans ma main et je m'engagea dans ce sombre couloir ...
Une fois arrivé dans la petite pièce, je remarqua que rien n'avait changé : l'arbre était toujours là mais il y avait aussi des coffre. Avec le feu contenu dans ma main j'alluma tout les flambos et la salle s'illumina juste assez pour que je puisse remarquer une partie des détaille qui s'offrait à moi.
Tout d'abord, je me dirigea vers l'arbre et la regarda de plus près me gardant bien de le toucher. Je remarqua aussi que le nom de "Layala". Je le fixa et réfléchit en me posant des questions du style : Est-elle toujours vivante ? Quesque sa me ferait d'avoir une sœur ? Et est-ce bien ma sœur ? ...
Mais l'une restait en suspend car je ne voulais pas la prononcer et encore moins avoir à parler d'eux devant ma "famille" : Qui était mes vrai parent ? Au font de moi je ne savais pas si je voulais vraiment le savoir ou si plutôt c'était de la curiosité.
Durant toute ma vie, je n'ai jamais ressentit le besoin de savoir qui était ma vrai famille. Ce que je veux dire, c'est que Isis m'avait suffit... Bon, j'avoue que j'ai peut être prononcé cette phrase une ou deux fois.
Je me tourna de l'arbre et regarda ce qui s'y trouvait en face. Par terre, dans l'ombre à l'abrit de la lumière ce cachait des coffres assez volumineux pour y mettre des choses. Je mis approcha et me mis à genoux, de façon confortable, et examina le coffre. Ce dernier était marron foncé en cuir, bien sûr ce cuir avait vieillit avec le temps et la poussières. Je le tira pour l'approcher de la lumière la plus proche et souffla dessus pour enlever le maximum de poussière possible et je finis ce travail à la main. Une fois le maximum de poussière enlevé, je chercha le loquet. Quand, je l'eu trouvé, je remarqua une plaque en or gravé des initiales "F.F ". Je ne chercha pas à comprendre leur sens et j'ouvrit en grand le coffre. Dedans, il s'y trouvait des carnets, des boites et des objets en tous genre. Je sortis en premier les carnets que je posa en une pile sur le côté le temps de mieux regarder ce qui s'y trouvait à l'intérieur.
Comme je le disais, il y avait des objets en tout genre cela passait du stylo jusqu'à une flèche cassé en deux. Ce que je pouvais être sûr en voyant tous ses bibelots, ils ne devait pas dater d'hier car la plus part faisaient référence à des outils utilisé il y a plusieurs années. Je décida de laisser tomber tous ce bazard et de me pencher sur les carnets entassés à côté de moi.
Eux aussi devait dater d'un moment car ils étaient recouverts, eux aussi, d'un cuir vieillit pas le temps et les pages étaient elles aussi jaunit par le temps. Quand j'en ouvrit un le bruit caractéristique d'un livre non ouvert depuis longtemps ce fit entendre. Je fis attention de ne pas déchirer ou abimer des pages coller malencontreusement. En feuilletant les pages, je remarqua a quel point l'écriture était clair et fluide, elle était agréable à lire. Au bout de quelques pages, je m'arrêta sur un passage et je le lu.
"Mardi 19 Novembre,
La neige à déjà commencé à tomber. Le ciel c'est assombrit mais pas que ... Car il n'y a pas que le ciel qui est sombre, nuageux et menaçant, il y a aussi mes relations, ma famille et moi.
Voilà un petit moment que je ne t'ai tenu au courant de rien mais ce temps et révolu aujourd'hui car tout ce que je croyais fini et sur le point de recommencer. Et tu dois bien te demander de qui je parle ? Bé, cette personne ce nomme Irina. Cependant, comme tu as du le lire, j'avais écrit des pages et des pages sur elle mais ce n'est pas de ses pages que je veux te parler. Je veux te parler de qu'elle est en train de causer : la fin. Oui, j'ai bien écrit ça car vois-tu tout ce casse la figure. Irina monte tout le monde contre elle et ne fait que chercher les noises mais encore personne ne fait rien pour y remédier.
Comme tu la su la dernière fois que je t'ai parlé d'elle, ses pouvoirs flanchent au rythme de son humeur. Des jours, elle peut être sympa et joyeuse et un autre, devenir tout sauf joyeuse et violente.
Elle est tombé amoureuse du cousin de Chronos tant dis que moi, je suis tombé amoureuse du jeune Emmerik. Qui ne pourrais as résister à son charme dévastateur ? Bon, c'est vrai que j'en fait peut être un peut trop mais vois-tu j'ai des sentiments et cela m'énerve de ne pas pouvoir savoir si ses sentiments son vrai ou si ce n'est que le fruit de mon imagination ou plutôt de la malédiction. Et oui ... encore cette malédiction ... Et à vrai dire, je ne suis pas près de m'en séparer car tu voilà sa fait des jours que je suis sur le grimoire familliale à la recherche d'un sort permettant de mettre fin à cette malédiction qui ne fait que nous pourrir la vie.
Mais, il est tant que je revienne sur le sujet concernant Irina. Hier quand j'ai voulu sortir dans le parc du palais, je l'ai croisé, elle est sa sœur Lauren.Toute deux était en train de parler voir de ce crier dessus pour je ne sais plus qu'elle raison. Mais lorsque j'ai écouté leur discutions j'ai entendu une chose : ..."
Je fus coupé par le bruit de pas, je ferma rapidement le journal et le pris les autres avec que je fourra dans le coffre mais quand je fus sur le point de le ferma. Je remarqua que les pas entendu étaient à présent tout près de moi ...
^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
Hey,
Voilà le chapitre enfin poster la suite viendra très prochainement j'espère.
MERCI pour tous ceux qui lise mon histoire et qui la vote car je vois qu'elle vous plait et sa m'insite à continuer. Encore merci (aussi pour les commentaire (avis + ou -)).
Bye.
VOUS LISEZ
Dimension [EN RÉÉCRITURE]
Paranormal- En quoi tout cela me concerne-t-il, m'agaçais-je. - Soma, tu es l'Espoir ! *** Un évènement peut tout changer. En une seconde une vie peut basculer. Et sur les 7 milliards de gens qui peuplent cette Terre, il fallait que sa tombe sur moi. Mais...