Dimension [EN RÉÉCRITURE]

Le début des ennuis

REECRIT LE 23/10/2017

PDV Soma 

Ma vision se troubla et je fermais violement les yeux avant de les rouvrirent dans un endroit qui m'étais totalement inconnu ... 

A présent je me trouvais dans une pièce où régnait le noir et l'humidité. Malgré cette obscurité quelques petits filaments de lumière faisaient leur apparitions. Un sentiment de peur et d'inquiétude montait en moi. 

Où était-je ?

Mon regard descendit le long de mes bras pour allez à mes mains qui n'étaient plus du tout les même. Elles étaient épaisse, usé et sale tout l'inverse des miennes qui était fini, délicate et propre. Ma respiration s'intensifia avant de se couper pendant un instant à la vue et à l'écoute des paroles d'un homme dos à moi : 

- C'était pourtant simple, je t'avais demander de la ramener ici et tu me dit que deux personnes proches de Dirthéa sont déjà à la cautoiller !, cria L'homme de dos énervé.

Il était grand, sombre et rien qu'à le voir de dos des frissons de terreur parcoururent mon corp apeuré. Derrière lui, il y avait quelqu'un, un homme mais je ne pus le voir distinctement à cause de cette masse. 

- Je suis désolé mon frère. Mais ...

- Je ne veux rien savoir ramène la moi morte ou vivante.  Il ne faut surtout pas que ses gens l'emmène avec eux, renchérit L'homme.

Puis tout disparu dans une fondu de noir. Lorsque, je rouvris les yeux, je me trouvais chez moi, couché dans de la porcelaine et de la nourriture. Précautionneusement, je me levais et m'essuyais avec mes mains mais bêtement, une vive douleur me pris dans le creux de ma main. J'observais ma paume où s'était logé un morceaux de porcelaine. De l'entaille où s'était mis le bout coupant s'écoula une goute rouge qui longea la moitié de ma main avant de tomber par terre. Je pris le morceaux et le sortis de ma main dans un frisson et une grimace de douleur. Je le jetais et regardais de nouveaux ma main après l'avoir essuyait avec mon pouce. 

Mes yeux s'agrandirent sous la surprise en même temps que mon cœur loupa un battement. L'entaille avait disparu remplacé par une trace rouge. La peau s'était refermé et aucune blessure n'était visible. 

Comment cela était-il possible ? 

La panique prit le dessus et plein de questions sans réponse arrièrent dans ma tête.

Devenais-je folle ? 

Que venait-il de se passer ? 

Qui était-ils ? 

Je secouais vivement la tête de façon à faire partir ses questions de ma tête et pris mon téléphone pour appeler Layla, Séréna et Mélissa. Je ne pouvais pas dormir seule et il fallait que je me change les idées.

Durant, le temps qu'elles mirent à arriver, je commençais à ranger et à nettoyer ainsi qu'à me faire vite fait à manger. 

***

- Vous avez quoi demain ?, s'exclama Mélissa quelques heures après qu'elles furent arrivé.

Mon angoisse avait tout de même baissé mais je savais qu'elle restait là pas loin attendant un feu vert pour m'hanter de nouveaux.

- Journée complète de cours pour moi, répondis-je.

- Pareil pour moi, rajouta Séréna.

- Donc on commence toute à huit heure demain ?

- Oui.

- En plus demain Soma à son rendez-vous avec le nouveaux !, s'enthousiasma l'une des filles et je compris qu'il s'agissait de Layla.

- Ce n'est pas pour se draguer mais pour travailler, rétorquais-je avec tout le contraire de ce qui pouvais être de la rigolade.

- Tu en es sur ?

Toute commencèrent à me regarder avec instance attendant une réponse du style : Oui, je veux sortir avec lui ... Mais ce regard me fit plus effet de gène et je sentis le rouge colorer mes joues. 

- Pourquoi vous me regardez toute avec insistance ? 

- Tu rougis, ria Layla. Avoue il te plait ? 

- Je n'arrête pas de vous le répéter que je ne veux pas sortir avec quelqu'un, dis-je en insistant sur le "veux". Mais j'avoue qu'il peut-être beau garçon. 

- Sa se comprend vue ce que ta fais Alec ...

- Je ne comprendrais jamais pourquoi il a fais sa !, s'énerva Séréna à cause de l'incompréantion. 

- Oui, mais Soma a aussi eu le culot d'aller fouiller dans son téléphone pour chercher des informations, sur le coup j'eu l'impression de me prendre un mur mais je n'en voulut à pas à Mélissa qui avait prononcé cette phrase qui disait un peu la vérité.  

- Mais tu préfère quoi ? Que je sorte avec un imbécile qui me trompe et qui couche avec une autre fille ou que je sois célibataire et non accablée quand j'apprendrais cette nouvelle ?

- J'opte pour la deuxième.

Je regarda l'heure à l'horloge. Il était minuit.

- Pardon, de gâcher l'ambiance les filles mais il est minuit et on à cour demain, dis-je.

Soudain, je me reçu un coussin en plein visage. Je le pris et l'envoyais au hasard sur l'une des filles. Nous finîmes par toute rire. 

Cependant, je savais que je ne pouvais garder indéfiniment ce qui venait de ce passer et ses questions. Car d'un moment à un autre, elles allaient refaire surface et toute leur conséquences avec ...

*** ***

La vision ? 

Qui sont ses hommes ? 

De quoi parlaient-ils ? 

Merci pour les votes et commentaires (pour que je puisse m'améliorer et savoir vos impressions et idées).