Chapitre n°57

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PDV Freya

Casi ouvrit la porte pour nous laissé apercevoir ...

Soma ...

Elle se trouvait dans un sacré état car des bandages bandés ses blessures et sa peau était presque aussi blanc qu'un linge.

- Elle va bien ?, demanda Casi.

- Sa à l'air, elle se rétablie plutôt bien, répondit Koga.

PDV Casi

- Casi, je peux te parler en privée, ajouta-t-il anxieux.

- Oui.

Nous sortîmes de la pièce laissant Liam, Aron qui était enfin de retour, un médecin et Freya seuls dans la pièce avec Soma.

- Qu'est-ce-que tu as à me dire ?, questionais-je inquiète qu'il me sois sans doute mentit sur l'État de santé de mon amie.

- Ne t'inquiète pas Soma va réellement bien, dit-il comme il avait lu dans mes pensé, je voulais te montrer ça et savoir ton avis.

On traversa le couloir pour se retrouver devant sa chambre.

- Que dois-je voir dans ta chambre et sois dit en passant, je sort déjà avec quelqu'un.

- Ne te méprend pas. Je sais que tu est en couple et en plus je sais que s'est avec Evan. De plus je ne sais pas pourquoi vous tenez à ce que votre relation reste secrète, enchaîna-t-il.

- Je ... C'est compliquer. Avec toute cette guerre et le travail que nous avons ...

- Je comprends, me coupa-t-il, ce qui m'empêcha de continuer.

Dans la foullé, il ouvrit la porte et me laissa entrer. Ce que je vis me fis encore plus froid dans le dos que Soma étendu.

J'avais une vu sur l'une des personnes que je détestais le plus au monde.

Emmerik.

Lui aussi se trouvait dans le même état que Soma.

- Je l'ai trouvé au coté de Soma, s'exclama-t-il.

- Et que faisait-il là ?

- Je ne le sais pas vraiment. J'ai aussi trouvé le corps inanimé de Amélia à leur coté.

- Ils ont tué Amélia ?, fus-je surprise mais en même temps je ne pouvais empêcher un sourire de se former sur mes lèvres. Mais pourquoi le gardes-tu là ?

- Je sais que tu n'aimes pas Emmerik mais il est tout de même mon frère. Et ... J'aurais besoin de toi pour que tu puisses m'aider à la cacher.

- Pourquoi ?! Il ne mérite pas plus que la prison.

- Je sais, me répéta-t-il.

Seulement cette fois-ci il ne le pensais pas. Le regard de Koga sur moi devint plus supliant, plus pressant et plus fort. Il avait un certain pouvoir de persuasion. Je me demandais même si cela ne venait pas de son vampirisme.

- Pousse toi, soufflais-je.

Je m'approcha du lit et mis mes mains au niveau de ma poitrine. Plaça mes mains de sorte qu'elles sois face au plafond, me concentra puis psalmonisa un sort.

- Voilà. Par contre personne ne pourra le voir à part ceux qui seront invité dans ta chambre.

- Merci, me remercia-t-il.

- Tu feras quoi de lui quand il ira mieux ?

- Il repartira sur Anacron. Il n'est pas le bien venu ici.

Dimension [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant