Remember

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REECRIT LE 15/10/2017

PDV Soma

Avant qu'il ne parte son visage était tirer par l'inquiétude mais qu'est-ce-qui pouvais l'inquiéter ? ...

- Bonjour, je suis Katherine Shwal, je travail pour le gouvernement et j'aurais des questions à te poser par rapport à l'attentat.

- Bonjour, répondis-je poliment en m'asseyant sur la chaise qu'elle me proposa, face à son bureau.

La première question qu'elle me posa fut : connais-tu la personne qui a poser la bombe ?

- Non et à vrai dire je n'ai rien vu du tout sauf des gens s'amuser, dis-je en commençant déjà à me lasser de cette convocation. 

Ils allaient donc me poser des questions auquel je ne savais rien et même si j'en savais ... Je ne devais tout simplement rien dire et nier les chose qu'il fallait nier.

- As-tu vue un quelconque objet par terre ?

- Je pense que la question que vous m'avez posé avant y répond. Je n'ai rien vu de suspect et aucun objet n'avais attiré mon attention. 

La troisième question arriva et ce fut presque la même que la première : d'après toi qui aurait pu commettre l'attentat qui a mit fin à la vie de 106 personnes ?

- Si je vous dit que je ne soupçonne personne, commençais-je à m'emporter, que je n'ai rien vue d'anormal et que pour terminer je n'ai vue personne.

Son regard et son expression se durcit n'appréciant pas trop le ton sur lequel ma phrase avait été prononcé. 

- Vous pouvez disposer, lança-t-elle soudainement en rangeant des papiers trainant sur son bureau.

Son irrespect me laissait de marbre. Je me leva, pris mon sac que j'avais précédemment posé par terre et partit en fermant la porte, en veillant à ne pas la claquer.

***

- Et ben, c'est temps-ci tu n'as vraiment pas de chance, déclara Mélissa quand je la rejoignais devant sa salle de cour.

- Je sais mais je suis bien obligé de faire avec, lui répondit-je d'un ton las et d'un geste des épaules.

Après le rendez-vous, j'avais été rejoindre mon cour de français avec une bonne demi-heure de retard. Mais rien qu'en y réfléchissant j'aurais d'eu le séché car pendant le reste du temps, une migraine atroce avait pris place dans ma tête, m'empêchant de suivre le cour. Sauf que cette migraine n'était pas normale, non, elle avait été causé par ses voix qui n'arrêtaient pas de dire : "vivement ce soir" ou "ce week-end" et les "j'ai faim". Il y a de quoi vous rendre fou. 

Une fois arrivé dans le self et servit, nous partîmes sur une table pour commencer à manger. Cependant, le repas n'était pas vraiment fameux car entre la tarte au poireau, assortiment de légumes a la vapeur, poisson plus précisément de merlu avec une sauce gélatineuse blanche et en désert yaourt avec fruit. Ce n'était pas vraiment fameux.

Je commença à manger ma première boucher quand quelqu'un posa sa main sur mon épaule. Je me retournais pour voir qui c'était : Alec. Il m'embrassa vite fait en me disant qu'il m'aimait et partit en direction de la sortit.

- Alors, ça a l'air d'avancer avec Alec ?, me lança Layla.

- Tu parles, soufflais-je en levant les yeux au ciel.

- Quand je pense que Lucy nous laisse complètement tomber pour son mec !, s'énerva Séréna.

- Oui, mais si elle est vraiment amoureuse et puis tu ne serai pas jalouse Séréna ?, ironisa Evan.

Dimension [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant