Chapitre n°70

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PDV Soma

Cependant, cette scène ne m'était que trop familière ...

Ce cauchemars que j'avais fait il y avait peut ... Non. C'était purement et simplement impossible que mon rêve se produise mais pourtant tout me semblait si réelle mais à la fois si irréelle. 

- Soma, ça va ?, me demanda Emmerik en me regardant d'un air suspicieux.

- Euh ..., Oui, Oui, ne t'inquiète pas. 

Son frère ne pris même pas la peine de se retourner pour savoir qui et de quoi parlait la personne qui venait de me parler. Nous avançâmes prudemment. Koga s'arrétta prusquement dégénant son arme et regarda tout autour de lui ne captant même pas son frère. 

- Un jour spéciale pour une fille si spéciale, dit une voix sortant de nul part. 

A mon tour, mon épée se transforma en arc dont je tendis la corde prête à tirer, Emmerik aussi à l'affut de la moindre personne. 

- Deux traitre défendant les mêmes idées. 

- Chronos, compris Koga, montre toi !

- Je suis là. 

Ce dernier sortit du noir et apparue en allumant les lumières d'un mouvement circulaire de la main et fermant brusquement la porte. 

- Tu sais ce qui me déçoit le plus, ajouta-t-il en marquant une pause, c'est toi Koga. 

- Pourtant, j'aurais parié qu'Emmerik était cette personne, répondit-il d'un ton moqueur en se tournant rapidement vers son frère avant de remettre son attention sur son frère. 

- Non, Emmerik, ne m'a pas déçu car je savais depuis longtemps qu'il voulait mettre fin à cette guerre et à l'apocalipse qui reigne ici. Je savais aussi que certains soirs, il partait pour aller la rejoindre. 

- Alors pourquoi je te décevrais je te rappelle que je suis partis et que je vous est laissé pour rejoindre Emillion alors qu'Emmerik ne l'a pas fait. 

J'écoutais sans rien dire, j'attendais patienment le mielleur moment pour attaquer. 

- Je connais ton passé, Koga, les errreurs que tu as produite resterons à jamais dans ma tête.

L'interpelé grimassa à cette réponse. Il avait des choses à cacher, je le savais, comme tout le monde. Il a grandit avec eux, dans cette dimension. Même Emmerik en cache mais apperement de moins important que son frère. 

- Chronos rend toi !, ordonna Koga en changeant de sujet. 

- Non et tu le sais très bien. 

D'un mouvement de bras, une grande vague d'énergie nous emporta, nous clouant tous au sol sauf que les garçons avec beaucoup plus reculé que moi et ils se prenèrent tout deux la porte qui plutôt avait été fermé. 

- Vous perdrez. Nous sommes plus nombreux. 

- Pas forcément, ajoutais-je en lui envoyant une boule de feu faute de ne plus avoir d'arme. 

Les garçons se relevèrent pendant que Chronos avança vers moi d'un air menaçant. 

- Laisse la en dehords de sa, demanda Emmerik en envoyant une boule d'énergie. 

Chronos, sans doute bien plus expérimenté que nous, disparut et réapparut en face d'Emmerik et Koga. Ce deuxième, plus rapide et plus agile, attrapa son frère par le bras et lui donna une décharge électrique. Chronos ne broncha pas et envoya Emmerik à l'autre bout de la salle inconscient. Il se tourna vers Koga et une épée apparut dans ses mains. Comme un réflexe Koga sortit la sienne et barra le coup. Plusieurs coups se succédèrent avant que l'un d'eux prenne l'avantage et que Koga s'éffondre dans un cris de douleur. Je me leva et essaya de la rejoindre mais Chronos ne me laissa pas le faire et me lança à mon tour une décharge qui provoqua des convultions à mon corps. De nouveaux, je m'effondra sous l'éffet dela douleur qui accentua celle de la marque.

Tant bien que mal, Koga se releva et expédia plusieurs boules de feu en direction de chronos qui les écartas tous d'une main en créant un bouclier.

Il était trop fort ... On allait perdre ... 

Au font de moi, tout espoir été perdu. Emmerik était sur le sol inconscient pendant que son frère se faisait torturer criant de douleur en tombant encore sur le sol. Cependant, cette fois-ci, il y resta. 

A présent, je me retrouvait toute seule laissé à mon propre sort. J'allais sois mourir sois vivre. 

- Non, criais-je en voyant Koga tomber inerte sur le sol.

Chronos se retourna pour en finir. Je fut plus rapide. Je me jeta sur mon arc tombé à terre et envoya une flèche puis une autre. L'une se logea dans son cœur et l'autre dans son épaule. Ses yeux s'illuminèrent d'une couleur rougeâtre et il retira les flèches comme si de rien n'était. Il les jeta par terre répendant des gouttes de sang noir. 

Mon armes ne fonctionnait pas. Il ne me restait plus que mes pouvoirs en espérant que ça marche. Je mobilisa toute mes forces restant laissant ma douleur de coté malgré la douleur incéssente qui régnait dans mon bras. Mon bracelet en forme de serpent repris sa place sur mon poigné en ondulant. 

- Je me souviens de ce bracelet, il appartenait à Irina qui ne la pas gardé longtemps et toi aussi tu ne le gardera pas plus longtemps qu'elle. 

Sa voix menaçante résonnait dans la pièce. J'avais même l'impression que le sol tremblait à chaque pas qu'il faisait ou était ce mes jambes ?

Je me concentra essayant de reproduire le champs magnétique qui nous avais renversé et se réussit car au moment ou il me lança une de ses attaques, une sorte de spectre noir, il s'écrasa sur mon bouclier et comme une extention de moi je le progetta sur Chronos qui tomba à terre. 

Il avait beau être imposant mon attaque avait été plus forte que celle à quoi il s'attendait. Pendant, que je le pus, je recula prenant le plus de distance possible entre nous. 

Je devais trouver un moyen de le détruire. Mais quoi ? 

Une arme, un pouvoir, une faiblesse, un poison ...

Une faiblesse. Voilà, ce que j'allais attaqué même si je n'étais pas sur qu'il en ai une. Je le regarda observant sa conduite, son attitude en recherchant un indice me permettant de pouvoir le tuer. 

Plusieurs coups résonèrent sur la porte fermé. Freya et les autres sans doute mais je ne pretta pas plus d'importance que ça, ils sauront se débrouiller. 

Je devais viser sur son cœur coute que coute. Mon serpent s'agita de nouveaux et se transforma en une sorte de boumerang à deux branches que j'envoya sur lui. Ce dernier lui entailla le cœur assez profondément pour qu'une de mes flèches s'y loge avant que cette faille ne se referme. Je rettrapa l'arme à la volet et elle se modifia en un arc. 

Son regard opréssant sur moi me fis tressailler. Ses lèvres commencèrent délicatement à bouger et une vive douleur en moi me fis crier de soufrance. La marque gra,dit annormalement jusqu'à mon coude et des coupure plus ou moins profonde fire leur appartion sur mon corps. 

Des larmes de douleur apparue et mes cries redoublèrent d'intensité. Je le suplia insistant pour que cette douleur s'arrète. 

Sur moi, sur le sol et mes vètement du sang noir gouttait et imprégnait les habils. Mon sang. 

La panique m'envayt. Je devais en finir. Pas avant, pas plus tard, maintenant. Je me positiona correctement, visa en prenant bien mon arc en main. 

Chronos d'eu sentir la fin car des gouttes de sueur apparurent le long de son front. 

Juste une flèche. Une seule. 

J'envoyai ma flèche en direction de sa blessure qui s'était déjà à moitié refermé et elle y rentra. Mais je ne pus crier victoire car avant qu'il ne tombe, mort, sur le sol sont sort m'avait déjà atteint ...

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Coucou,

Un chapitre beaucoup plus long. Dite moi si vous les préféraient longs ou courts. A mon avis, il ne me reste plus que deux/trois chapitre avant la fin.

Je poste la suite maintenant.

Merci pour les votes et commentaires.

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