Chapitre n°62

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PDV Soma

Il fallait mettre un terme à cette guerre ...

J'ouvris la porte d'un coup sec et les mots sortirent tous seuls.

- J'ai peut être une idée.

Tous le monde me regarda d'un air perplexe et à la fois surpris que j'apparaisse de la sorte.

Koga d'eu le deviner car il se détacha du groupe et me pris par le bars. Il m'emmena à l'écart dans un coin de la grande salle.

- Tu n'es pas sérieuse quand même ?

- Si, Koga. Je peux demander à Emmerik.

- Et tu crois qu'il t'écoutera et qu'il te donnera le moyen de détruire notre dimension ?, s'énerva-t-il.

- Votre, je croyais que tu en avais rien à faire, répliquais-je.

- Peut-être mais je suis née et j'ai grandi là-bas.

- Emmerik aussi à se n'empêche pas que vous vouliez que tout s'arrête. Car j'aimerais te rappeler que vous m'avait amené ici dans le seule but que je mette fin à cette guerre.

Il ne me répondit pas alors je continua :

- Koga, je suis prête. Il est tant de mettre fin à cette guerre une bonne fois pour toute. Et qui sais peut être que tu pourras devenir le nouveau dirigeant d'Anacron.

Son air parût inquiet par les paroles que je venais de prononcer.

- Il y en a bien d'autre de ma famille qui convoite le trône d'Anacron, répondit-il enfin.

- Alors que choisit tu avoir la guerre pendant des décennies ou y mettre fin maintenant ?

- Y mettre fin, dit-il avec difficulté.

Je me dégagea alors de lui et repartit vers la salle. Quand, je rentra les regards se tournèrent à nouveau vers moi.

- J'ai une idée, commençais-je.

- Et qu'est-ce-que c'est ?, me demande un homme que je ne connaissais pas.

- D'abords vous voulez attaquer où ?, questionnais-je.

- Le palais.

- Je pourrais me procurer les plans du palais.

- Et comment ?

- Sa ça n'a aucune importance.

Tous ce mette à réfléchir eux aussi pesant le pour et le contre ainsi que les conséquence que cela pourrait engendrer.

- C'est vari que ce serais une bonne idée et sa nous faciliterai la tache, réfléchit Casi à haute voix.

- Oui, je suis partant, lance Evan.

- Moi aussi.

- Pareil.

Lancèrent plusieurs voix. Un sentiment de fierté m'envahit mais ce moment était le plus facile car je devrais m'occuper du reste. Tout le monde c'était prononcé pour sauf une personne, une femme qui ne semblait encore hésiter.

- Alors Sylvia ?, s'impatienta Dirthéa.

- Je vais vous faire confiance mais je ne suis pas vraiment pour.

Sylvia était une femme noir au cheveux crépu. Sans doute la quarantaine.

- Soma tu pourrais nous les avoir pour quand ?

- Je ne sais pas sans douce d'ici deux trois jour mais rien est dit qu'on me les donne.

La réunion s'était arrêté là et tout le monde était retourné à ses occupation. Sur le chemin du retour, j'appela Freya qui partais prendre l'air dans la cour du la forteresse.

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