PDV Freya
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J'étais sur de la trouver là. Dehors appuyé contre l'un des rebords des arcades à regarder le paysage l'air las. Il n'avait plus les yeux rouge de larmes mais il était toujours rouge d'un rouge écarlate qui me faisait peur et son teint était pâle, on aurait dit un linge. Il était vétu d'un pantalon en jean et d'un haut à manche courte noir.
Pendant un instant, j'avais presque de la peine pour lui mais ce n'était qu'un instant.
- Tu devrais te prendre une veste.
- Non, me répondit-il simplment sans changer de position.
- Tu devrais boire aussi sa ne sert à rien de te priver.
- Je ne me prive pas, ok ! Laisse moi tranquille !, s'écria-t-il de rage à cause du manque de sang.
- Oh, calme-toi.
- Désolé. Que viens-tu faire là ? Je sais que tu n'es pas venu pour une visite de courtoisie. Alors viens-en au fait.
- Comme tu voudras. Maintenant qu'il n'y a plus aucune menace je te demande à ce que tu partes.
- Quoi ?, s'exclama-t-il incompris.
- Je veux que tu partes de ce palais. Que tu ailles sois sur Anacron sois sur Emillion, je m'en fiche mais je ne veux plus te voir.
- Te connaissant, je m'y attendais.
- Tu le mérites après tout le mal que tu as fait, il faut que tu parte et te faire discret. Sois heureux que je n'ai pas pu te faire exiler.
- Tu crois qu'elle est morte à cause de moi ?
Son expression se durcit.
- Oui, c'est toi qui la cherché, qui la emmené et ...
- Sa suffit !, s'énerva-t-il de nouveau.
- Part c'est tut ce que je te demande.
- Je partirais mais j'ai plutôt l'impression que dans votre tête il n'y a que Soma qui a disparut. Il n'y a pas qu'elle ! Il y a aussi Aron et des centaines de personnes.
Je ne voulais le laisser m'accabler, je le regarda durement mais il ne céda pas et je partis. Heureuse d'être libéré d'un poids qui a causé beaucoup trop de problèmes dans sa vie.
PDV Koga
Le soir était venu et j'avais déjà préparé mes valises. La demande de Freya avait était très claire. Je savais que quand plus rien ne me retiendrais, elle me jetterais dehors. Elle n'attendais que ça, pouvoir m'accabler de la mort d'une autre personne. Elle me détestais pour ce que j'avais fait dans mon passé, ce que j'avais fait à sa famille et à Soma.
Sauf qu'il n'y avait pas que Soma qu'on pleuraient. Il y avait aussi Aron qui nous avez quitté durant l'assot.
Je descendit les marches pour me retrouver au sous-sol du châteaux, la morgue. C'était ici, qu'on mettait les corps des personnes défuntent. Entre autre celui d'Amélia et Aron. Je voulais allez le voir, une dernière fois avant son enterrement qui se déroulera demain matin.
Il était là, allongé sur une des tables avec un drap blanc sur lui. Malgré le nombre incalculable d'hommes que j'ai vu mort, sa ma toujours fait bizarre de les voir comme sa étendu, blanc et immobile.
Un frisson me parcourut, j'avais froids et il fallait que je remonte. Je lui fis mes adieux et mon regard se posa sur une table. Elle était vide, alors qu'elle ne devrais pas l'être. Il y avait un drap blanc étendu à la vas vite.
Je m'approcha et pris le drap que j'enleva. Il n'y avait aucun corps. Sur le bord de la table, une étiquette avec un nom était collé, je la lu :
"Amélia".
Je restai perplexe un moment avant de comprends, que le corps avait disparut. Mais qui aurait pu le prendre ? Personne. Voilà, la vérité, je connaissais Amélia et je savais que personne n'aurait pu la prendre. Pour l'emmener où ? Chez elle. Sa na aucun sens. Amélia était partit. Elle était vivante et la connaissant elle reviendra bientôt.
Un sentiment de peur m'envahit et je m'élançai dans l'escalier. Il fallait la retrouver et pas plus tôt que maintenant. A elle seule, elle était une menace que tout le monde ignorait ...
Sauf moi ...
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Coucou,
Chapitre très court mais voilà c'est le dernier. La suite sera l'Epilogue.
Merci pour les votes et commentaire.
Bye. <3<3<3
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Dimension [EN RÉÉCRITURE]
Paranormal- En quoi tout cela me concerne-t-il, m'agaçais-je. - Soma, tu es l'Espoir ! *** Un évènement peut tout changer. En une seconde une vie peut basculer. Et sur les 7 milliards de gens qui peuplent cette Terre, il fallait que sa tombe sur moi. Mais...