Chapitre n°61

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PDV Soma

Qui était là ? Emmerik ou quelqu'un d'autre cherchant ma mort ou à commettre une attaque ...

Je me retourna et aperçu un tout petit écureuil marron se baladant.

- Ne me dit pas que tu as eu peur d'un écureuil, me lance une voie.

Je ne chercha même pas à qui elle appartenait car je le savais. Emmerik.

Je me leva et me jetta sur lui en le serrant dans mes bras dans un doux câlin.

- Tu m'as manqué, m'exclamais-je.

- Toi aussi.

Il pris mon menton entre ses doigts pour le soulever et il déposa ses lèvres sur les mienne. Ce baisé fut doux remplis de passion, de désir et d'amour. Je me détacha de lui pour reprendre ma respiration qui était devenu saccadé.

- C'est toi que je choisis, soufflais-je. Toi que je veux.

Il me répondit d'abord par un baisé encore plus profont. Il sourit contre mes lèvres et me dit :

- Moi, c'est toi que je veux et toi que j'aime. Peut importe ce que j'ai ou tu as fait par le passé. Je t'aime.

- Je t'aime aussi.

Nous avions marché dehors dans le froid et la nuit en parlant de tout et de rien ce remémorant par fois les bons moment passé sur Terre. 

- Mais que faisais-tu sur Terre à cet époque ?, demandais-je. 

- C'était compliqué, me répondit-il en passant nerveusement un main dans ses cheveux. Chronos étant le dirigeant de ma dimension voulait que je surveille le comportement des personnes au servisse de Dirthéa. 

- Comme Evan ?, ajoutais-je en arquant un sourcil. 

- Entre autre. Mais il te cherchait aussi et au début quand nous étions ensemble je n'avais pas encore compris que tu étais celle qui devait mettre fin à toute cette guerre. 

- Et comment l'as-tu compris ? 

- L'attentat perpétré par une personne de mon peuple. Tu avait changé. 

- Mais toi aussi, je te rappelle. 

- A cette époque, j'écoutai  ce que l'on me disait puis j'ai appris à ouvrir les yeux. 

- Mais ton frère quand il était arrivé au lycée tu ne l'avais pas remarqué ?

- Si, mais il avait tellement changé mais je l'ai surtout ignoré. Mais toi tu en pense quoi de cette guerre, déclara-t-il en s'arrêtant pour me faire face. 

Je luis pris ses deux mains et les entrelacèrent aux miennes. 

- Que ce ne sont que des bêtises. Tout ça pour quelque chose qui c'est passé il y a des siècles. Et toi ? 

- Je suis du même avis. Cette guerre ne nous amène rien d'autre que la mort. 

- Cependant tu es dans quel camp ? 

La question le laissa perplexe. Emmerik me lâchai les mains et repartit vers la place d'où nous étions partit. 

- Je ne suis pas dans celui de Chronos. Mais cela ne voulais pas dire que je suis de votre coté, dit-il d'un air sévère. 

Nous continuâmes de marché jusqu'au palais. 

- Passe moi tes mains. 

Il me regarda en arquant lui aussi à son tour un sourcil. Je lui pris quand même n'attendant pas son avis. Je me concentra en visualisant ma chambre. Quelques secondes plus tard, nous apparaissâmes dans l'endroit que je souhaitais. Je n'attendis pas plus longtemps pour me diriger vers la porte et de la bloquer avec la clef. 

- T'as vraiment pas peur qu'on se face souper. 

- Personne ne rentre dans ma chambre et il doit être deux heure du matin alors qui pourrais venir à cette heure là. 

Il s'approcha de moi et ses lèvres se recollèrent aux miennes tandis que ses bras entouraient mes hanches. 

Nous restâmes pendant un moment couché l'un à coté de l'autre sur mon lit ses doigts parcourant délicatement la peau de mon bras. 

- Je vais devoir y allez, me prévient-il. 

- Déjà.

- Oui, le soleil va pas tardé à se lever et j'ai des choses à faire sur Anacron. 

- D'accords. Mais revient vite. 

- Je te le promet. Je t'enverrais un mot pour te prévenir.

J'ocha la tête d'un signe positif et nous nous levâmes. On s'embrassa une dernière fois et il partit comme la dernière fois par la fenêtre.

Quand il fut partit, je me changea et me démaquilla avant de partir me coucher et de m'endormir presque aussitôt.

Le lendemain, je me réveilla sans doute un peu trop tard car le soleil était déjà à son zénith malgré les nuages qui l'encombrait. Encore une fois, je partis me laver et m'habiller. A mon retour, je remarqua un papier sur mon bureau :

Salut Soma,

Réunions dans la salle adjacente à la principale.

Dirthéa.

Le mot était bref mais compréhensible. Je partis alors vers la pièce me demandant pour quelle raison, je devais m'y rendre.  

Je m'arrêta devant la porte, à mon avis ils était déjà plusieurs car plusieurs voix se faisait entendre. 

- Nous ne pouvons pas financer une telle attaque, se plaina une personne. 

- Nous pourrons le faire en plusieurs années mais imaginez que ça puisse enfin mettre un terme à cette guerre. 

- Sa fait déjà des siècle que cela dure et ce n'est pas cette attaque qui signera la fin. Et en plus tous ses soldats vous les trouveraient où ? Ils trouverons la mort là-bas et ils nous verrons arriver. Je suis contre. 

- Moi, je suis pour. Je vous rappelle que Koga, ici présent sais comment entrer et sortir ainsi que les entrées secrètes. 

- Je t'ai dit que tout à pu changer depuis mon départ, répondit Koga. 

Les voix se mélangèrent les unes aux autres.

Ils voulaient lancer une attaque sur Anacron et les faire tomber. Le pour et le contre se bousculaient dans ma tête mais une chose était sur j'avais beau aimé et avoir choisit Emmerik. Il fallait mettre un terme à cette guerre ...

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Coucou à tous,

J'ai bien réfléchit et je maintiens les 1 chapitres par semaine et je ne sais pas encore si je montrais à deux car j'ai déjà plusieurs chapitres d'avance.

Merci pour vos votes et vos commentaire si vous en poster pour que je puisse m'améliorer. 

Bye <3<3<3

Dimension [EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant