PDV Soma
- Qu'est-ce-qu'elle fait là ? ...
Lança la voix d'Emmerik en sortant des bois.
- Elle a voulut venir mais il n'y aura que moi qui parlera, prévenais-je en regardant Freya.
- Que ce passe-t-il ? Je vois bien que tu ne m'a pas appeler pour qu'on sois tout les deux.
- J'ai quelque chose à te demander, dis-je en baissant les yeux de honte. Je voudrais que tu me donne les plans du palais d'Anacron, débalais-je d'un seul coup.
- Attends. Tu n'ai pas sérieuse quand même ?!, commença-t-il à s'énerver.
- Si. On aurait peut-être un moyen de mettre fin à cette guerre, répondit Freya à ma place mais comme réponse elle recu le regard froid et glacée d'Emmerik.
- Sa serai bénéfique à nous tous. On pourrai retrouver la paix et l'on pourrait se voire sans se cacher tout le temps. Et ce n'est pas toi qui me disait un peu plus tôt qu'hier que tu voulais mettre fin à tous se bazars ?, argumentais-je.
- Si, mais faire ce que tu me demande c'est trahir ma nation.
D'un air sérieux, il se mit à réfléchir.
- Il faut que j'y réfléchisse, ajouta-t-il.
- Il nous faudra une réponse au plus tôt.
- Vous l'aurez demain soir, même heure, même endroit, dit-il avant de nous tourner le dos et de partir.
Je ne savais pas s'il se sentait trahi par moi. Emmerik avait à la fois l'air énervé et compatissent à notre cause.
- Soma. Tu viens il faut qu'on rentre, s'exclama Freya.
- Va-y je te rejoindrais après.
A son tour, Freya partit et je me retrouvais seul.
D'un seul coup, sous l'effet de la surprise, mes jambes cédère sous moi. Une douleur vive s'établit dans mon bras. Je releva la manche de mon tee-shirt et vis que la marque recommençait à briller.
- Merde, sortis-je à moi même.
La douleur devenait de plus en plus forte se qui m'arracha une grimace. Je regardais impuissante la marque grandir d'encore un centimètre. Par précaution, je remis la manche sur la marque et me leva. En me levant, je sentis la couleur de mes yeux changer de couleur. N'était plus bleu mais devenait rouge.
Je ne pouvais pas avoir fin, j'avais mangé avant de partir.
Malheureusement si. J'avais fin mais il y avait autre chose : j'avais envie de tuer. Je n'étais plus moi même comme possédé.
Un bruit se fis entendre à l'orée du bois et des faisceaux de lumière firent leur apparitions.
Je devais partir.
Je commençai à me retourner pour partir mais je fus incapable de faire plus.
- Vous êtes perdu ?, me questionna l'une des personnes derrière moi.
Je ne répondis pas. Ils étaient deux j'en étais sur car j'entendais parfaitement leur deux cœur battre à l'unisson. L'un deux commencé à avoir peur car son poul s'accéléra.
- Mademoiselle, vous êtes perdu, répéta-t-il.
Je ne bougea pas ne parla pas. J'était telle un zombie ou un être possédé ne pouvant plus rien faire. J'avais mal très mal, mon bras, ma tête, mon corps. Cependant, le plus insupportable de tous était ce feu dans mes veines qui me brulait.
Tuer.
Tel et le mot qui résonnait en boucle dans ma tête. Un homme se rapprocha de moi et mis sa main sur mon épaule pour que je lui fasse face. Alors, je me retourna contre la volonté. Un homme assez grand et costaux se trouvait devant moi. Son collègue, un homme plus jeune, environ la vingtaine se tenait toujours à l'arrière. Ils avait peur je le sentais. Car se retrouver face à quelqu'un d'étrange et sombre en plein temps de guerre n'était pas bon signe.
Le serpent enroulait autour de mon poigné se mis à bouger. Sans y avoir réfléchit, ni pensé, ma main s'enfonça dans la poitrine de l'homme. Je tenais sa vie entre mes mains. Il me regarda avec un regard apeuré et suppliant mais je n'en eu rien à faire car ma main se referma sur son cœur et lui arracha. L'homme tomba au sol inerte tandis que moi, j'avais son cœur entre mes mains. Je le lâcha et il s'écrasa par terre dans une flaque de sang.
Le compagnon de l'homme que je venais de tuer fis un pas en arrière, ce qu'il ne d'eu pas faire car m'a tête se releva et je l'observa. La peur trahissait ses traits, son poul battait à la chamade et ses mains tremblèrent. Il ne bougea plus calculant son coup. Il n'aurait fallut qu'un moment d'inattention de ma part pour qu'il parte à toute jambe sauf qu'il se trompait et il l'avais compris. J'étais concentré attendant le moment opportun pour le tuer à son tour.
Risquant à nouveau sa vie il recula d'un mètre avant de partir en courant. Moi, voulant absolument ma proie, mon bracelet j'agita pour se dérouler et former un foué qui fendit l'air pour s'enrouler autour de son cou. L'homme tomba à terre, le souffle coupé pendant que mon arme se libéra pour retourner à sa place. Il se leva tremblant de peur avec une coupure au niveau ne la joue.
- Tu n'iras pas plus loin, l'avertis-je.
Encore une fois mes gestes et mes mots sortirent tous seuls contrôlé par la force inconnue qui avait pris place en moi.
- Je vous en pris ..., me supplia-t-il en titubant au fur et à mesure qu'il reculait car j'avançais dangereusement de lui.
Le désespoir se lisait sur son visage. Cependant, plus pour longtemps car je me retrouva en moi de temps qu'il n'en faut pour le dire à coté de lui. La peur retrouva sa place sur son visage et je passa un doigt sur sa blessures d'où coulait quelques perles de sang. Je mis mon doigt à la douche et son gout me fit l'effet d'un choc électrique.
C'était donc ça le gout du vrai sang humain.
A cette aperçut, je le regarda droit dans les yeux et lui ordonna :
- Ne bouge pas. Ne crie pas. Ne cherche à avertir personne.
Le jeune homme ne me répondit pas et je me jeta à son coup.
Dix minutes plus tard, j'étais assise à coté du corp du premier homme que j'avais tué en train de m'essuyer la bouche d'un revers de la manche. Les deux hommes sont mort et je reprenais progressivement mes esprit. J'étais horrifié par ce que j'avais commis et les larmes commencèrent à couler. Il fallait que je les cache. Je ^ris le bras de l'homme le plus jeune et le rapprocha de l'autre et me concentra.
Quelques instant après, on se trouvait au milieu de la foret. Avec mes pouvoirs, je creusa deux trous et enterra les deux compagnons. Une fois que j'eu fini, les larmes redoublèrent en intensité et je m'effondra les mains sur les yeux.
Ce soir, j'avais tué deux innocents, deux personnes qui ne me voulaient rien d'autre que m'aider. J'étais un monstre, une meurtrière ...
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Coucou,
Un chapitre un peu plus long. Mais il ne reste plus qu'une dizaine de chapitres et nous seront à la fin et je commencerai la réécriture. Donc je sortirai plusieurs chapitre dans les jours à venir.
Merci pour vos votes et vos comentaires.
Bye <3<3<3
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Dimension [EN RÉÉCRITURE]
Paranormal- En quoi tout cela me concerne-t-il, m'agaçais-je. - Soma, tu es l'Espoir ! *** Un évènement peut tout changer. En une seconde une vie peut basculer. Et sur les 7 milliards de gens qui peuplent cette Terre, il fallait que sa tombe sur moi. Mais...