Coucou ! Bon, j'ai pas grand-chose à dire, le texte parle de lui-même, alors je vous souhaite simplement une bonne lecture !
Vous nem très fort les gens, et j'espère que vous allez bien. Sur ce, à tout de suite pour un petit racontage de vie ! :3Je suis rentrée du lycée il y a à peu près une heure, après une évaluation de sport sous un soleil à trente-cinq degrés - en d'autres termes, c'était étouffant et trop lumineux à m'en donner mal au crâne, mais on s'en fiche. Je me suis donc douchée, et allongée, au frais, avec de l'eau glacée, un jus, la pénombre et de la musique douce pour tenter de faire passer ça, parce c'est un peu désagréable, après avoir vérifié mes messages et Wattpad. Sauf que dans ces moments-là, quand je suis fatiguée, aussi, je deviens assez pensive, et ma journée, comme certains souvenirs, se répète dans ma tête, et aujourd'hui, il est arrivé quelque chose que je voulais vous raconter. Je crois qu'aux yeux de la majorité, c'était pas très important. Ça a duré peut-être dix minutes, les dix premières minutes du cours de français, avec cette enseignante, la même dont j'ai déjà parlé dans ce rantbook (peut-être pas pour ses bons côtés - rire - il est temps de se rattraper), et c'était une parenthèse avant de reprendre nos textes classiques, nos lectures analytiques et tout ce qu'il faut pour les examens. Je crois que les filles de ma classe ont pas du tout écouter, et j'étais toute seule, en l'absence de son meilleur ami, même si je sais que lui aurait compris pourquoi ce que je m'apprête à raconter compte tant à mes yeux. Qu'est-ce que ma professeure de français a fait ? Rien de mal, cette fois, croyez-moi, elle s'est même rachetée à mes yeux. Elle nous a parlé du pouvoir des mots, très sérieuse, toute la classe faisant silence, et je m'interroge sur les raisons qui l'ont poussée à faire ça, mais j'en suis très contente.
Elle nous a dit que ce que l'on disait pouvait affecter les gens, en bien ou en mal, et elle a expliqué à nouveau à ma classe que les autres peuvent livrer des batailles dont on ne sait rien et que les paroles peuvent blesser et les briser, mais qu'un mot pouvait aussi aider. Elle nous a dit que l'expression "mauvaise langue" n'avait pas été inventée pour rien, et nous a demandé de faire attention aux mots qu'on prononçait, parce qu'on avait beau regretter ensuite, il serait trop tard pour les effacer. Je ne me rappelle plus ses tournures de phrases exactes, ça ne m'a pas marquée, peut-être parce que je me raccrochais à des textes écrits par mon frère de coeur et par le garçon qui m'est un Ange de Musique, parce que leurs phrases me font sourire, malgré la solitude, et m'emplissent le coeur d'espoir, me poussant à poursuivre encore mes rêves - quand on parle du pouvoir des mots - tout en me faisant oublier à quel point je me déteste, parfois. Parce que, si je dois être totalement sincère, j'ai une estime de moi-même qui doit sans doute être la raison pour laquelle les mathématiciens ont inventé les chiffres négatifs, même si je le cache derrière un sourire, beaucoup de sarcasme, un brin d'orgueil et de la joie, et je doute constamment. J'ai peur de blesser les gens que j'aime, parce que je ne me considère pas comme une bonne personne, et derrière les fous rires, les délires, les textes lumineux, colorés, il y a aussi l'Ange de Littérature, comme certains m'appellent, avec ses textes tristes. Mais c'est une autre histoire...
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Nuit étoilée de la connerie
Non-FictionIl était une fois, dans une galaxie lointaine, très lointaine... Deux elfes, étendus côte à côte dans l'herbe tendre leur faisant comme un lit. Tous deux observaient les étoiles, et riaient doucement, quand quelque chose qu'ils n'auraient jamais pu...