{ nota before reading ; chapitre non corrigé / à vrai dire j'écris ça avant chaque chapitre même si je les ai déjà relu, je suis stressée oui.
Je sais que je poste peu, mais là on est en vacance et je vais essayer de changer ça, vraiment. }
Les quatres saisons de Vivaldi sont mes compositions classiques préférés. Je trouve ça tellement plus distingué et chic de manger sur de la musique classique, surtout celle de ce grand Vivaldi. Je me sens riche quand je le fais. Enfin, correction :
Je me sentais riche quand je le faisais.
Je ne peux en aucun cas écouter cette musique en mangeant les plats de la maison. Je peux l'écouter sans rien faire bien sûr, un vieux poste nous a été légué avec plusieurs CDs comme par exemple un des classiques du classique... Histoire de nous distraire mais...
La nourriture est tellement infâme ici que je ne veux pas réduire ces chefs d'oeuvre à ces choses ressemblant à des appâts à poissons.
Et dieu sait que je hais le poisson.
La viande fraîche, finement coupée et cuisinée pour ensuite finir dans une assiette de brillante porcelaine, couverts en argent et verre en cristal. Fragile comme une vie, en soit.
Et puis, pas n'importe quel type de viande. Celle que j'aime, elle a un goût spéciale. Elle est tout simplement délicieuse, indescriptible. Elle n'a rien à voir avec le bœuf, veau, volatile et autres bestioles possédant cette chaire sanguine ou non. En tout cas, ma préférée est la meilleure. La plus dur à avoir mais la plus gustativement proche du paradis.
En parlant de cuisine, moi qui comptais aller dans le hall du la Psycho House, j'empruntais le couloir le plus court liant ma chambre à l'immense pièce. Ce fut une incroyable chance de trouver un corps humain, couché au sol.
J'ai d'abord réfléchis, peut-être elle dormait simplement. Au milieu du couloir. À même le sol.
Dans le pire des cas, elle aura le temps de se réveiller avant que je ne face quoi que cela soit. " La vie est une jungle " comme on dit.
Je me suis doucement approché et lui ai attrapé le pied, la traînant alors rapidement jusqu'à un endroit " safe ". Je sautai presque dans la première pièce vide assez grande que je vis, prenant bien soin de correctement fermer la porte derrière moi. Dans chaque pièce, la clé était accrochée au mur, à moins qu'elle n'est déjà était prise d'assaut par un de mes colocataires. Dans celle-là, elle était encore présente. La salle était vide, je comprends pourquoi personne ne se l'était approprié. Alors que je récupérai le morceau de métal et l'enfonçai dans une des poche de mon veston, une pensée me percuta.
Pas de corde.
Je me tournai donc vers la demoiselle qui ne bougeai toujours pas, le mouvement de sa poitrine dû à sa respiration ne comptant pas. Je sortis donc, fermant la porte à double-tour derrière moi. Je partis donc en vitesse dans ma chambre, chercher ce dont j'avais besoin.
* * *
JungKook se préoccupait seulement d'une chose sur le moment : son festin. Mais, malheureusement pour lui, il n'avait pas remarquer la personne qui avait regardé toute la scène, cachée et attendant le bon moment pour agir.
TaeHyung se tenait à présent devant la porte de la pièce vide, enfin, plus vraiment à présent. Il guettait l'arrivé de son ami tout en frappant doucement sur la porte.
_ X-Xiko ?
Il n'osait pas crier plus fort. Le dilemme était immense. L'aider et oublier pour le moment sa gène apparue depuis cette bagarre. Ou la laisser, trop gêné pour le faire.
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blood sweat and tears
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