La véritable histoire du Titanic

Le calme...avant l'ouragan !

Le calme... 

Avant l'ouragan ! 

J''entrais dans la cabine du capitaine. Ne le trouvant pas, je me dirigeais sur le pont, pensant le trouver à la barre.

En effet, il était en train de transmettre à l'aide d'une radio, qu'avait inventé Marconi quelques années auparavant, il semblait soucieux. A ses côtés, des employés du Titanic en veste blanche s'agitaient.

- Capitaine, il faut que je vous parle ! dis-je d'un ton qui n'admettait pas de refus.

Il me fit taire d'un regard, frappant la radio à grands coups, énervé par la réponse de la personne qui se trouvait derrière l'engin.

Une magnifique invention...m'extasiais-je un moment avant d'insisté : Capitaine s'il vous plaît...

Enfin, il se décida à lever le nez de sa radio pour me lancer un regard furibond.

- Voyez pas que je suis occupé ? ! lâcha-t-il en serrant les dents.

- Vous êtes au courant pour l'attaque ? questionnais-je.

- Mademoiselle, tout le monde est au courant et les forces de sécurité du Titanic ont maîtrisé la situation que je sache ! Si c'est pour me faire perdre mon temps vous devriez...

- En réalité je ne suis pas venue ici pour ça, même s'il faut préciser que j'ai bien failli mourir tout à l'heure et que vos "forces de sécurité" ont mit le temps d'arriver ! me moquais-je.

Ne le laissant pas placer un seul mot, j'enchaînais : il se trouve que j'ai remarqué des secousses anormales depuis une heure déjà...

Le capitaine se rembrunit.

- Justement...une enquête a été lancée sur ce sujet...répliqua-t-il prudemment en me jetant un regard soupçonneux. Mais je suis certain que ce n'est rien ! s'empressa-t-il d'ajouter comme s'il craignait que je ne panique et ne reparte en hurlant que le Titanic allait couler.

- Il pourrait y avoir un iceberg devant votre nez que vous ne le verrez pas ! m'emportais-je.

J'allais continuer lorsqu'une secousse, encore plus forte que toutes les autres, nous projeta violemment à terre.

Malheureusement, ce qui allait suivre dépasserait l'imagination ! Car ce n'était encore que le début...