This one's for you. {Hugo Lloris} Terminée (en cours de réécriture)

Neuvième chapitre.

Précédemment dans "This One For you" :

Le  goal me regarde pendant plusieurs secondes sans rien dire, comme s'il  réfléchissait à ce que je viens de dire, pesant peut-être même le pour  et le contre. Son visage reste cependant fermé, je ne peux même pas savoir si mon idée est bonne ou non.  Alors que je recommence à me mordre les lèvres fasse à la longue  attente, le brun se lève brusquement m'attrape les bras avant de me  tirer vers la porte de ma chambre.

- Il faut qu'on aille voir tout de suite Didier, ton idée est géniale Juliet !

Alors  que nous commençons à courir comme des fous dans le couloir de la  propriété, le brun s'arrête dans un coin où personne ne peux nous voir,  son regard se pose sur moi avant qu'il ne m'attire contre lui afin de me  prendre dans ses bras.

- Mais qu'est-ce que tu es en train de me faire Juliet, je ne me reconnais plus depuis que tu es ici.

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- Hugo, je murmure le regard fixé sur ses lèvres fines. On ne devrait pas.

- On ne devrait pas faire quoi Juliet ?

- Ça, je commence honteusement.  Le fait que l'on soit là, tous les deux, caché dans un coin du couloir,  moi dans tes bras, nous fixant comme si nous allions nous sauter  dessus. C'est mal.

- Et en quoi, c'est mal, m'interroge-t-il légèrement vexé.

- Mon père m'a parlé de l'interdiction des relations amoureuses.

- Sérieusement, Juliet ? Demande Hugo en s'éloignant de moi.

- Quoi ? Qu'est-ce que j'ai dit de mal ?

- Rien laisse tomber.

Le  brun s'éclipse rapidement de notre petite cachette avant de dévaler les  escaliers sans se retourner une seule fois malgré mes nombreux appels. Je commence à le suivre dans le hall d'entrée, dans celui-ci, je tombe nez à nez avec Benoit et Olivier.  Alors que les garçons se trouvent face à moi, j'essaye de les  contourner par la gauche, mais ceux-ci suivent mon mouvement et me  bloquent une fois de plus le passage. Je tente alors de passer par la droite, mais une fois de plus les deux joueurs me bloquent.

- Je n'ai pas le temps pour vos conneries les gars.

- C'est bien, nous non plus on n'a pas le temps, dit Benoit avant de m'empoigner l'avant-bras, suivit rapidement par Olivier.

- Mais qu'est-ce que vous, je commence avant de me stopper lorsque les deux me tirent en arrière.

- Tu viens avec nous.

Je  me débats faiblement, plus par principe qu'autre chose parce que je  sais très bien que les garçons ne me laisseront pas partir. Ils ont une idée derrière la tête, mais quoi ?

- On va où les gars ?

- Dans le bureau de ton père, répond Olivier. Hugo nous a dit de te stopper, que tu ne devais pas le suivre et qu'on devait t'amener dans le bureau de ton père.

- Il avait l'air sur les nerfs le capitaine, ajoute le gardien.

Une fois devant le bureau de Didier, les garçons me lâche les mains  et je tombe sur les fesses comme une vieux sac à patate. Ce qui fait  bien rire mes amis.

- Ha ha ha, j'ironise en me relevant. On se fend la poire ici.

- Pète un coup Juliet.