This one's for you. {Hugo Lloris} Terminée (en cours de réécriture)

Cinquième chapitre.

Lisez le blabla d'auteur à la fin.

Précédemment dans "This one's for you" :

Alors que presque tous les joueurs sortent de ma chambre, une main se pose sur mon avant-bras avant qu'un souffle se pose sur mon cou.

- Et moi, je n'ai même pas le droit à mon gâteau préféré.

- Hugo, dis-je en me tournant vers lui. C'est quoi ?

- Un crumble aux pommes.

- Je t'en ferrais un aussi demain.

- Merci, murmure le capitaine tout en déposant un baisé sur ma joue. Je t'apprécie vraiment beaucoup Juliet.

Moi aussi, je commence à t'apprécier Hugo... Tu me fais me sentir vivante.

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Après un début d'après-midi bien tranquille, notez l'ironie, je décide de me rendre dans le bureau de mon père afin de passer un peu de temps avec lui. Après tout, je suis venue ici pour lui en premier lieu et non pour me faire de nouveaux amis. Je cache mon corps dans mon gros gilet en maille avant de descendre les marches et de me mettre à chercher mon paternel. Je commence mes recherches dans son bureau, mais celui-ci se trouve être vide, bon, je décide donc d'aller voir sur le terrain d'entraînement, il y serait surement. Je m'engage sur le sentier de pierre blanche au creux de la petite forêt pour rejoindre le terrain, sur la cime des arbres, un merle ainsi qu'un petit rouge-gorge voltigent de branche en branche tout en sifflotant des airs synonymes de beau temps. J'aime écouter le chant des oiseaux, cela a le don de m'apaiser. J'aime me réveiller le matin en entendant le pépiement des moineaux et écouter par la même occasion le vents soufflant entre les branches et les feuilles des arbres près de mes fenêtres. Je sors du sentier et me dirige d'un pas rapide vers le stade lorsque je vois une silhouette au loin. Malheureusement, ce n'est pas mon père, mais Benoît et Hugo s'entraînant, un se trouve dans les buts tandis que l'autre tire pour que l'autre l'arrête. Je m'approche quand même d'eux, peut-être qu'ils savent où se trouve mon père.

- Dites les gars, vous n'avez pas vus Didier, je le cherche depuis tout à l'heure.

- Il est en conférence de presse, dit Hugo tout en tirant dans les cages du jeune gardien rennais. Il devrait avoir fini d'ici une heure, une heure et demie, je pense.

- D'accord, merci les gars et amusez-vous bien.

Je commence à partir lorsque Benoît cri mon prénom.

- Juliet, reste avec nous, viens jouer.

- Je n'ai jamais joué au foot, je hurle depuis le bout du terrain.

- On va t'apprendre, ce n'est pas comme-ci tu traînais avec des joueurs de football hein.

- Ça va être une catastrophe.

- Tu as battu Benoît ce matin à FIFA, donc il se peut que tu sois douée en foot, après tout, c'est dans ton sang.

- Merci de me rappeler que je me suis fait battre à plate couture par la fille de l'entraîneur, grommelle le perdant.

- Bon ok, je veux bien essayer, j'avance vers Hugo. Mais je ne suis pas en tenue.

En effet, je porte toujours ma combinaison kaki ainsi que des sandales à talon. Même si je ne m'y connais pas trop en foot, je sais que cette tenue n'est pas faite pour tirer dans le ballon rond. Hugo semble réfléchir avant de partir en trottinant vers son sac de sport et de revenir avec lui.