Chapitre 13

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Jouvre la porte de chez moi et maperçois que personne nest là.

– Inayaaaa ?!

Non, personne. Je pose mon sac sur la table de la cuisine puis me serre un verre de jus dorange puis la porte souvre.

– Ah ! Tiens, vous voilà enfin vous deux ! Puis-je savoir où vous étiez passés ? Mexclamais-je.

Mon père se met à sourire et ma mère reste la, à rien faire, comme si elle avait fait une bêtise.

– Où est ta sur jeune fille ? Minterroge-t-il.

– Présente !!

Inaya dévale les escaliers et saute dans les bras de mes parents. Bon bah, apparemment elle était là.

– Tu sais que quand on cris ton prénom tu es censé répondre ?

– Et tu sais que quand on tappelle tu es censé répondre ?

– Plus de batterie.

– La flemme.

On se regarde puis on explose de rire. Ma mère commence à fermer la porte mais se ravise quand quelque chose la bloque.

– Quest-ce que cest ? Demande ma sur.

– Euh Ma mère ne trouve plus ses mots on dirait.

– Surprise !!

Mon père ayant crié provoque des petits aboiements. Je regarde sur le palier et aperçoit deux magnifiques chiots dans deux cages.

– MAIS SORTEZ LES DE LA CAGE ! ILS SONT TROP ADORABLES POUR ÊTRE ENFERMES !

Inaya court les délivrerwow, quelle héroïne.

– On sest dit que ça vous ferait certainement plaisir, annonce mon père.

– Oui, papa, merci mais largent ? Où lavez-vous trouvé ? Demandais-je perplexe.

– On en a pas eu besoin, un ami à moi habite à Montpellier et la mère de ses chiots à eu une portée de 8 bébés, mon ami me les a donc offert, décréta-t-il.

Je souris en mapprochant de mes parents pour les étreindre. Cest donc pour ça quils nétaient pas là.

– Je prends la fille, sécrie ma sur, tu te charges du gars microbe.

– Microbe ? Moi ? Pfff, aller, viens Tobby, on sen va !

Tout le monde rit au surnom que jai donné à mon chien.

– Bah quoi, moi au moins jai trouvé ! me défendais-je.

– Moi aussi !! Viens Rasta Rocket, aller, hop !

– RASTA ROCKET !! AH noooon ! Tu pouvais pas trouver mieux ! Mesclaffais-je.

Ma sur prend un air outré et bouche les oreilles du chien.

– Ne les écoute pas, ils sont jaloux, chuchota-t-elle.

Les chiots nont pas arrêté de courir toute la nuit ! Etant donné quil ny a pas de jardin, notre chambre semble être leur repère ! En plus de ça, mon téléphone narrête pas de vibrer, je reçois plein de messages sur Messenger je nen peux plus ! Et Loïs et Ashton cousins, qui leut cru !

– Mademoiselle Matthews, je vous dérange peut-être ?

– Hin ?

Je me suis relevée dun seul coup et maperçois que madame Fella, ma prof despagnol, mobserve avec une certaine rage si je puis dire.

Eternal sufferingOù les histoires vivent. Découvrez maintenant