Ce sont peut-être des meilleurs amis mais seulement une soirée a tout changé.
Bianca x Théo
Merci à mon corazoncito (qui change tt le temps de pseudos mais je ne lui en veux pas) pour le cover
first update → 10/07/2017
last update → 22/10/2017
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Après que Bianca soit partie, j'ai continué à réfléchir en regardant le vide.
Je sais que Bi veut faire plaisir à ses parents en ne tombant pas enceinte mais après la bêtise qu'on a fait... j'en doute qu'elle ne tombe pas enceinte car je n'sais pas de quel trou je l'ai fourrée.
Ne pense plus à ça Théo. On va croire que tu es un pervers de première classe !...
Je prends mon téléphone qui est à ma gauche, la déverrouille. Pendant un moment, j'ai bloqué parce que je regardais mon écran. C'est Anaïs et moi s'embrassant. J'aime Anaïs, c'est certain sinon, jamais je ne serai avec elle. Ensuite, j'appuie dans les SMS.
« 📩Théo
avant de que tu ais le temps de voir les actualités, sache que je t'aime. Je peux pas te dire sincèrement que je t'aime car tu me haïras après la révélation que je te dirai. J'ai fait une énorme connerie et je peux t'avouer qu'il y a 50% que je regrette mon acte et l'autre moitié que j'assume ; j'ai couché avec Bianca en étant saoul. Je sais qu'en regardant ce message, tu te sentiras brisée, tu ne voudras plus me parler, je comprendrais. Si tu crois que je me foutais de toi, détrompe-toi sinon je n'aurais pas à t'écrire ce message long. Je t'aimais réellement mais j'ai compris que je ne t'aimais pas comment tu m'aimais donc je préfère qu'on s'arrête à là. Je sais que c'est pas cool de se faire larguer par message mais je ne pouvais pas t'appeler non plus. Le SMS est la seule chose que j'ai trouvé pour m'expliquer. Je te respecte ta décision. Au revoir Anaïs. »
J'entends les pleurs de Mía résonner dans mes oreilles. Je vais à l'étage pour la prendre. Elle me regarde et me sourit.
- Coucou Mía! Je la porte.
Je vais au salon avec elle en même temps que mon frère et ma belle-sœur entrent dans leur demeure.
- Oh, la petite princesa de son papa est réveillée ? demande Antoine en s'exclamant.
- Nan, répondis-je bêtement, elle dort encore vois-tu ? roulai-je des yeux dans les rires d'Erika.
- J'vais te...
- Anto, l'avertit sa femme.
- Niquer.
- Anto, regarde-là, pointe Erika le sol, de l'index.
Il regarde le sol et fronce les sourcils. Il n'a pas eu le temps de faire quoi que ce soit qu'il reçoit une violente gifle derrière son crâne. J'explose de rire.
- Ca, c'est pour avoir compléter ta phrase alors que Mía est ici, imbécile !
