Que pour de faux ou ...

Chapitre XXXVII

PDV TYLER

Je suis adosser à la fenêtre,  je commence à m'inquiéter Summer n'est toujours pas rentrée et en plus elle est encore avec ce mec, j'en suis sûr.

Je tourne la tête vers l'extérieur car j'ai entendu un moteur de voiture.
Elle est enfin la saine et sauve. Mais elle est avec ce mec qu'elle a l'air de tant apprécier... Ça m'énerve!!

Je les vois discuter,  putain j'aimerais tant savoir se qu'ils disent.
Attend mais pourquoi elle le prend dans ses bras, il y a qu'à moi qu'elle peut faire ça... Oula je devient flippant moi elle fait ce qu'elle veux,  je ne l'aime pas je la déteste même voilà c'est ça je la déteste.
Même si je la déteste curieux comme je suis je re regarde en leur direction,  et voilà qu'il la fait rire maintenant,puis elle le gifle, elle serait pas un peu lunatique celle la? A moins que se soit une gifle amicale...non il manquerait plus que ça. Mais pourquoi sa m'énerve tant que ça?
Putain on dirait un vrai couple c'est horrible. Pourquoi il la prend par la taille là?

S'en ai trop pour moi je ne me contrôle plus j'ai tous mes muscles contracter, même certain donc je ne connaissais pas l'existence.

Je me dirige vers la sortie bien décidé à casser la gueule de cet enculé, et cette fois rien ne m'en empêchera!

Maman: tyty, tu vas ou comme ça?  Met une veste il fait froid dehors!!  Me dit t'elle à la fois autoritaire et protectrice.

C'est vrai elle a raison. Où je vais?  Je vais casser la gueule à ce mec alors que Summer est une homosexuelle et de base elle est mon ennemie...

《 alors pourquoi est tu jaloux 》

Je ne suis pas jaloux, je ne serais jamais jaloux. 
TYLER ADAMS NE S'ATTACHERA JAMAIS À QUELQU'UN.

《 TYLER ADAMS C'EST DÉJÀ PLUS QU'ATTACHÉ À SUMMER BLACK 》

cette putain de conscience jamais là pour me soutenir.

Maman: oh... Oh, tyty, t'es bloqué ou quoi pourquoi tu reste planté là?

Je revient dans le monde réel et je vais a toute vitesse dans ma chambre.

Je m'allonge sur mon lit et me retient de ne pas tout casse dans cette pièce.

J'en ai marre, marre de mes sentiment pour une fille innaccésible, et surtout marre de rompre la promesse que je me suis faite, après le départ de mon père et la tromperie de mon premier amour: plus jamais je ne m'attacherais à quelqu'un.
Car quand tu aime quelqu'un il finit toujours par te faire du mal et de ce côté la je pense que j'ai assez donné...

Des bruits de pas me font sortir de mes pensées.
Non je ne veux pas la voir,  je vais m'emporter elle aussi et ça va partir en couille...
Elle ouvre la porte et rentre dans la chambre.

Summer: c'est moi qui dort là, dégage sur l'autre matelas. Dit elle énervé.

Pourquoi est elle énervé?  C'est a moi de l'être.

Moi: commence pas a me faire chier, rentre chez toi si t'es pas contente. Dit je sur un ton méprisant sans même la regarder.
Se qui au passage me démange.

Summer: pourquoi tu me parle mal je t'ai rien fait!! Me répond t'elle sur le même ton.

Elle ose me demander ça, si elle n'aurait pas était une femme je l'aurais déjà mis KO.

《 En même temps si elle avait pas était une femme tu ne l'aimerai pas. A moins que t'es changé de bord? 》

Je ne fait pas attention à cette remarque totalement débile et reprend.

Moi: et toi pourquoi tu m'agresse à peine rentrée?

Je change de sujet pour ne pas avoir à lui dire pourquoi je lui en veux.

Summer: parce que tu m'a pris mon lit!!

Moi: fait pas chier je t'ai dit. Si sa te convient pas vas dormir dehors avec les chiens, tu doit bien les connaitre vous êtes de la même race.

Summer: tu insinus quoi là?  Hurle elle outrée.

Moi: que tu est une salle chienne. Lui répondit je dans le plus grand des calme pour l'énerve encore plus.

Summer: pourquoi tu me dit dit ça Tyler?  Dit elle avec une goutte qui roule sur sa joue.

Tout d'un coup je regrette, je ne sais plus quoi dire.
Puis elle reprend en pleurs.

Summer: j'ai fait quoi pour m'ériter ça, hein,  J'AI FAIT QUOI??

Je dit de la merde moi, non je regrette pas elle la mérité c'est elle qui m'a fait du mal avec l'autre connard...

Moi: qu'est ce que t'as fait... Pff tu me fait rire. Lui répondit je avec un léger sourire de mépris. Puis je reprend: réfléchit un peu, pose toi les bonnes questions... Summer tu veux que je te dise tu n'est qu'une pute voilà ce que tu est.

Elle me regarde avec les yeux grands ouverts et ses larmes qui coulent de plus en plus.
Voyant qu'elle ne répond pas je tourne la tête avant de regretter mes paroles.

PDV SUMMER 

Il m'a traité de pute... De pute. Comment a t'il pu après ce que je lui ai pardonné et ce que j'ai fait pour lui?  

Il faut que je me calme et que je lui réponde quelque chose qui lui fera mal mais quoi...

Ah je crois bien que j'ai l'idée parfaite. J'empêche mes larmes de couler encore plus puis je lui dit avec tout le mépris possible:

Moi: je suis d'accord avec toi je suis une pute. Il me regarde surpris, mais je reprend: alors je vais jouer mon rôle de pute jusqu'au bout. La nuit,  quand tu feras t'es cauchemards, je laisserai ton père faire ce qu'il a à faire. Lui dit je avec un sourire vengeur.

Il me regarde à la fois surpris mais tellement énervé.

Tyler: COMMENT TU SAIT QUE MON PÈRE...

Je pense qu'il s'arrête de peur d'en dire trop.

Moi: mon cher tu parle trop dans la nuit. Lui répondit je tout calme comme il sait tant le faire.

Tyler: JE T'INTERDIT DE PARLER DE MON PÈRE TU SAIT RIEN SUR MOI RIEN!! Me hurle t'il hors de lui.

Je veux l'énerver et le blesser comme il me la fait alors je reprend sur un faut ton inquiet:

Moi: oh mais tyty tu est énervé?

Je crois que c'est la goutte de trop, il se lève d'un coup, s'approche dangereusement de moi, me plaque contre le mur.
Il commence à vraiment me faire peur là il ne va quand même pas me frapper?
Il lève son poing qui tremble tellement il est contracté, puis je vois le poing s'approcher de moi à une vitesse folle. Je ferme les yeux le plus fort que je peux,  mais je ne sens rien, même pas une petite douleur. J'ouvre les yeux mais il n'est déjà plus la, je ne comprend plus rien, j'ai les jambes qui tremblent,  j'ai eu trop peur. Je me retourne face au mur pour m'appuyer de peur de tomber, et je vois un énorme impact dans le mur. Puis je m'écroule en sanglots au sol.