CHAPITRE 12 - Peur Au Ventre

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POV TOM

Le temps passait et mes plans de mettre le monde à mes pieds n'avançaient pas du tout. Cette femme irréelle me faisait changer d'avis. Elle était du côté de la liberté, de l'amour en bref tout ce que je n'ai pas.

Un soir, je voulu me dégourdir les jambes après une très longue soirée de correction. Je monta à la tour d'astronomie. À son sommet, je remarquais qu'elle était déjà occupée. Une chevelure ondulée volait au gré du vent. Un corps svelte aux formes généreuse. C'était elle. Cette magnifique déesse. Son visage délicat était éclairé par la douce luminosité de la plaine Lune. Je m'attardais un peu plus sur ses traits. Un larme perla sur sa joue.

-Harry, Ron si vous savez à quel point que sans vous tout est plus compliqué. Personne ne sera me réconforter, me fâcher comme toi seul savait le faire Ronald ou bien encore attirer les problèmes qu'Harry pouvait bien s'attirer. Plus rien n'est pareil. Le trio d'or n'est plus depuis mon départ, de puis votre mort.
Elle éclata en senglot. Je me sentais si mal pour elle. Je ne pouvais rien faire pour sécher ses larmes vu que je suis supposé être quelqu'un d'insensible au émotion.

-Je vous vengerai tous! Tout les innocents qui on périt de ses mains seront enfin libre de reposer en paix. Je ferais tout ce qui est mon pouvoir pour le détruire, l'arrêter avant qu'il ne soit trop tard. Attends moi face de serpent, tu sentiras la souffrance de tes victimes qui te seras infligés par mes propres mains.
Je n'avais jamais senti une si grande colère mélangé d'une tristesse infini.
"Alors cette jolie jeune femme a bel et bien vécu des choses horrible. Je suis ébranlé par ses sentiments. Je me sens touché par eux, par elle. Je pouvais être différent."
Lorsque je la regardait, j'avais l'impression qu'elle pouvait s'envoler. Qu'elle était libre et que si je la fessait mienne, elle serait prix en cage. Que je lui couperais les ailles.

Je tourna les talons en sentant un pincement au cœur.
"Je suis peut-être malade?!" me dis-je à moi-même. Je la laissa seule dans sa détresse et retourna dans mes appartements.
Je me sentais coupable de la laissé ainsi seule, mais bon.

...

Les jours passaient puis un matin, je me réveillais avec un mauvais pressentiment. Quelque chose n'était pas comme d'habitude. Je prie ma douche et mis de côté mon sentiment d'inconfort.

J'enseignais à des premières années la transformation d'un animal en coupe quand j'eus comme un puissant coup au cœur. La douleur était forte mais supportable. Mon sentiment désagréable me submerga d'un coup. J'arrêtais mon cour lorsqu'un un élève de Griffondor rentra sens frappé.

-Ne vous à ton jamais appris à frapper aux portes jeune homme, dis-je avec un regard froid que moi seul à le secret.

Le petit me regardait avec une panique grandissant de seconde en seconde.

-Mais monsieur! Le Professeur Dragonfière est...
Je ne lui laissa pas le temps d'en dire plus et partie telle une flèche se décrochant de son arc. Devant sa classe, je remarquais que cette dernière était fermée et incapable d'être ouverte. De la fumée noire sortait de sous la porte. La peur me tordit le ventre brutalement. Puis la pire de chose qui pouvait totalement me faire perde l'esprit se produit. Ma belle venait de crier mon prénom avec une telle détresse dans sa voix que n'y une n'y deux je fis exploser le seul mur qui nous séparait. Une épaisse boucane sombre s'échappa du trou qui était anciennement la porte. Je me précipitais sur une masse qui reposait au sol en pierre. Je la prise dans mes bras pour la sortir le plus vite possible de cette endroit. Je ne cessais de l'appeler et de rester avec moi mais je ne sentais aucun souffle dans mon cou où sa tête était posée. Je ne fessais plus attention à ce qui m'entourais. J'avais oublié qui j'étais, mon but mais je ne portais attente qu'à la magnifique créature qui reposait dans mes bras. Elle était salit de sui mais cela ne gâchait en aucun cas son visage d'ange.

Je rentrais comme une balle dans l'infermerie ce qui fit crier Miss Pompon. Mais dès qu'elle vu Edelweiss, son expression de colère changa d'un claquement de doigt en devenant des traits crispés par la peur. Elle me demanda de la déposer sur un lit immaculée et me jeta à l'extérieur.

Je n'avais même pas pus la voir avant d'être jeter à en dehors du grand local blanc.

Pour la première fois de ma vie, j'ai eu peur mais surtout, cette peur était destinée à une personne et non à moi ou à mes plans.

Les jours passaient et aucune nouvelle d'elle ne m'étais fait. Je voyais bien que depuis son entrer à l'infirmie, le Professeur Dumbledor avait perdu dans son regard les étincelles de malice. Cela m'inquiètais beaucoup. J'espérais la revoir sourir, la regarder et j'espèrais secrètement qu'elle m'appartiennent. Qu'elle sois mienne.
"À ton réveil, ton destin ne sera plus celui dont tu aurais cru. Tu seras mienne et je serai tien."

Il y a toujours une possibilité Où les histoires vivent. Découvrez maintenant