CHAPITRE 15 - Impossible

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POV TOM

Le Directeur Dumbledor m'avait envoyé une missive. Cette dernière me demandais au plus vite dans son bureau. Je fini mon cour et parti vers le bureau directaurial.

Depuis quelques jours je me demandais pourquoi Madame Pomfraiche ne voulait pas que je rentre dans l'infermerie. Je voulais seulement voir mon ange mais il m'y étais interdit. Et depuis ses quelques jours, mon ancien Professeur de Métamorphose n'avait plus la même joie de vivre. Le pétillement de ses yeux c'étaient arrêtés du jour au lendemain. Cela m'inquiètais de plus en plus de l'état la belle Dragonfière. Je ne voulais pas me faire des tas de scénarios horribles où je devais la perdre. Mais cette foutu lettre ne m'aidait pas du tout. Devant la gargouille cachant les escaliers se tourna suite au mot de passe qui était un peu trop "sucré" à mon goût. Je ne pris pas la peine de cogner que j'entrai pour venir choir dans le fauteuil devant le bureau en bois massif où Albus Dumbledor était assis derrière. Nous nous regardions pendant un peu plus d'une minute sens cliniquer des paupières. Un lourd malaise s'introduit entre nous. Rien n'annoncait de bon avec ses sourcils foncés et ses traits durcient.

-Tom, je ne veux nullement tourner au tour du peau. Je ne veux pas vous blesser plus que vous ne l'êtes déjà vu que Miss Dragonfière n'est pas présente. Je sais quel genre de personne vous êtes mon garçon. Votre enfance a n'a pas été ses plus facile, je vous l'accorde mais de punir les gens innocents de votre malheur n'est pas le mieux que vous pouvez faire. Miss Dragonfière était là pour vous venir en aide. Vous savez, lorsque je l'ai vu pour la première fois, je n'ai pas cru une seconde qu'elle aurait réussi à vous sortir de votre noirceur. Cette enfant est un miracle en sois. Seulement les miracle doit prendre fin. Notre miracle à nous c'est étain il y a quelques jours. Edelweiss nous a quitté à son arrivée à l'infirmerie.

Je n'en croyais pas mes oreilles. Ma lumière venait de s'éteindre. Mon coeur se brisait. Je ne voulais pas y croire. Pas elle. Pas ma sauveuse. Cette sublime créature qui a fait de ma vie un enfer avec chaque jour le désir de la faire mienne et un pur paradis avec ses si magnifiques sourire. Plus jamais je ne les reverraient, ses yeux noisettes aux éclat d'or, ses lèvres pulpeuses, ses sourires, son rire cristallin, mais plus dure est de ne plus la revoir elle.

Pour la première fois de ma vie, des larmes ruissellaient sur mes joues.

-C'est impossible. C'EST IMPOSSIBLE. VOUS MENTER.
Je ne pouvais pas le croire.

-Jamais je ne pourrai mentir sur cela mon petit. Cette enfant était comme ma propre petite fille. Je l'ai perdu et je dois accepter que maintenant elle est mieux où elle est. Avec tout les horreurs qu'elle a vécu pour un si jeune âge est inhumain. Elle mérite d'être en paix Tom. Tu dois l'accepter.

-NONN!!!

Puis la porte s'ouvrit sens prévenir. Elle était la devant moi. " Comme est-ce possible!? On m'annonce que je viens de perdre la seule personne dont j'étais enfin prêt à ouvrir mon coeur était décédé car je n'étais pas arrivé à temps pour la sauver et tout à coup POUF elle apparaît comme si de rien était. J'en peu plus de cette histoire à la con." Je sorti comme une flèche du bureau et retourna dans mes appartements qui se trouvaient dans les cachots. Je m'écrasait sur mon divan noir ébaine comme ma chevelure et regardais les flammes dancer dans l'âtre. Ces braises me fessait penser à ses yeux lorsqu'elle les posaient sur moi. Je n'étais jamais sûr de se regard. Jamais sûr de quel sentiment si trouvait. Elle était une énigme pour moi. "Un jour, je te percerait à jour ma jolie." J'essayais mes joues humides par l'eau salé. "Merde! Elle m'a vu pleurer. Jamais je ne pourrai me montrer devant elle. J'ai trop honte!" Plus rien ne coordonnait dans ma tête et pour que tout s'arrête le seule moyen pour que tout redevienne à la normale était une bonne nuit de sommeil. Je m'étendais sur le sofa et tomba dans les bras de Morphé.

Je ne sais combien de temps s'était écoulé mais je fus réveillé par des petits coups à ma porte. Je me levais difficilement et alla ouvrir pour engueuler le gamin qui venait me tirer de mon sommeil suite à ma dure journée. J'ouvris brusquement et tomba nez à nez à une beauté fatale qui me regardait avec une tristesse non dissimulée.

Il y a toujours une possibilité Où les histoires vivent. Découvrez maintenant