Il y a toujours une possibilité

CHAPITRE 14 - Retour

POV HERMIONE

L'atmosphère était forte différente de celle de la gare. J'ouvris difficilement les yeux que je referma précipitamment pour les couvrir avec mes mains. La lumière du jour m'agressait fortement. Je me demandais se qui venait de se passer avec Harry et Ron n'était qu'un simple rêve.

"Même si cela n'étaient que des images produites par mon subconscient, ses voix que j'ai moi-même imaginée, avait une vérité dans leur propos. Enlever la vie à un meurtrier n'est peut-être pas la meilleure chose à faire malgré qu'il est enlevé des vies et détruit des familles. La pire des choses qui puisse arriver, c'est qu'il reste avec ses crimes sur la conscience. Et bien alors je le ferais changer de bord avec la plus simple ou la plus difficile des manières: l'amour. Je lui apprendrai comment aimer et d'avoir le sentiment d'être aimé."

Je me levais en position assise sur le lit de l'infermerie. Je vis Madame Pomfraiche sortir de son bureau.

-Bonjour Madame. Dis-je par politesse. Elle me regardait sans comprendre puis je vis ses genoux lâcher sous elle. L'infirmière était à genoux devant les grandes portes. Je me précipitais sur elle pour lui venir en aide.

-Êtes-vous correct Pompon?! M'esclamais-je.

-Co...Comment est-ce... Possible? Ses yeux auraient pus être comparés à des suçons tellement ils étaient écarquillés. De sa main, elle toucha mon visage.

-Je vous croyais morte mon enfant. Me murmura-t-elle. J'ai signée votre avis de décès. Il faut prévenir le Directeur Dumbledor le plus rapidement possible. En disant cela, elle se leva d'un bon et couru vers un parchemin pour y écrire. Mais je l'arrêta dans son air d'aller.

-Si vous permettez, j'aimerais bien le prévenir moi-même de mon "ressuscitation". Dis-je avec les doigts montrant les guillemets.

-Mais... Mais..., je la coupa pour insister.

-S'il vous plaît! Cela lui fera une surprise, si nous voulons. Lui fessant les yeux doux.

-Bon, d'accord. Mais avant tout, je dois vous faire passer des testes médicaux pour voir votre état de santé ma chère. Revenir parmi les morts, pourrait avoir des séquelles sur votre physique ou psychologique.

...

Suite aux multiples testes, je pus enfin me doucher dans les appartements de l'infirmière. Cela fessait un bien fou! Des habits n'appartenant me fit apporté par un petit elfe de maison. J'enfilais une robe dans le bleu marine qui finissait évasé au niveau de la jupe qui arrêtait en dessous des genoux. Une mince ceinture noir à la taille pour marquer la finesse de cette dernière. Un volant noir et une paire de chaussures Converse basse à la teinte bleu foncé. Je laissa mes cheveux détacher suite au séchage par baguette puis une petite touche de maquillage. Un habit simple mais jolie. J'avais dîner avec Madame Pomfraiche. Je partie ensuite en direction du bureau directeurial. Il n'y avait plus d'élèves dans les corridors vu l'heure tardive. J'arriva devant l'imposant aigle et prononca le mot de passe à la statut.

-Sucette gelée au citron. L'oiseau en bronze pivota pour laisser place à un escalier en colimaçon. Je la grippa et rendu au sommet, je pouvais entendre distinctement la voix de deux personnes en plaine conversation qui semble quelque peu mouvementée. Je n'avais pas vraiment le goût de cogner pour cette fois alors j'ouvris la porte en bois pour surprendre deux hommes en grosse conversation. Devant moi, se trouvait le Directeur Dumbledor qui me regardait avec les yeux qui exprimaient plus que de la surprise et l'autre homme n'était autre que Tom Jedusor. Ce qui me surpris le plus, c'étaient les larmes qui coulaient sur les joues rougi du futur mage noir.

"Alors ça, c'est à marquer dans les anales de l'histoire de Poudlard en lettres majuscules pour ne pas le manquer. TOM JEDUSOR C'EST PLEURER CHERS LECTEURS!"

Les deux messieurs me regardaient choqués comme si ils avaient vu un fantôme.

"Et bien en y repensent, ils ont raison de le croire. C'est pas tout les jours qu'un mort vient dire bonjour en chair et en os."

Le professeur sauta presque par-dessus son bureau pour venir me prendre dans ses bras. Cela me surpris plus que tout.

-Mon enfant, vous êtes bel et bien là? Cela n'est pas une illusion, n'est pas? Me murmura-t-il à l'oreille.

-Non... Non je suis bien là. C'était plus fort que moi. Je me mise à sangloter par l'émotion trop fort. L'air était lourde dans le bureau. On se détacha l'un de l'autre et mon regard se posa sur Jedusor qui n'avait pas bronché. Il ouvrait la bouche comme un poisson hors de l'eau. Puis, il partie sans rien dire. Un lourd poid venait de tomber sur mon cœur.

"Me déteste-t-il autant pour ne même pas vouloir me voir?"

Mon attention se repporta sur mon grand ami que je considèrait comme un père. Nous parlions toute la soirée sur le temps qui c'était écoulé depuis ma mort. J'étais heureuse d'être avec une personne que j'aimais et qui m'aimait en retour.